Une jeune femme se suicide à 29 ans, sa mère avait remarqué des détails perturbants dès l'âge de 7 ans

C'est une tragédie qui s'étend sur des décennies, une souffrance invisible qui a commencé à se manifester dès l'enfance, explique The Mirror. Jane, la mère d'Ayla Haines, se souvient encore des premiers signes inquiétants qu'elle avait remarqués chez sa fille alors que celle-ci n'avait que sept ans. Des comportements obsessionnels, des gestes répétitifs, et plus tard, des automutilations récurrentes. Malgré les nombreux appels à l'aide de Jane, Ayla a été ballottée d'un établissement à un autre, loin de sa famille, sans que ses problèmes soient véritablement pris en charge. Aujourd'hui, Jane accuse le système de santé de n'avoir pas su reconnaître et traiter correctement les troubles dont souffrait sa fille, menant ainsi à une issue tragique.

Des signes alarmants dès l'enfance

Jane se souvient avoir observé les premiers signes de mal-être chez Ayla très tôt, des comportements qui se sont intensifiés avec les années. À l'âge de sept ans, Ayla commençait déjà à manifester des comportements compulsifs, notamment en se grattant la peau jusqu'à se faire mal. Cependant, ces signaux d'alerte sont restés sans réponse adéquate pendant de nombreuses années. Les problèmes se sont aggravés à l'adolescence, période durant laquelle Ayla a été hospitalisée à plusieurs reprises pour des automutilations sévères. Jane rapporte que sa fille a parfois ingéré des objets dangereux, comme des lames de rasoir, et qu'elle s'est frappée la tête (...)

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