Jean-Louis Aubert déplore les politiques “qui pensent pas mal à eux” : "J'ai vu des égoïstes à gauche et à droite"
Son dixième album intitulé Pas fini, sera suivi de la tournée Pas fini tour... Le message de Jean-Louis Aubert est clair : il est loin d'en avoir fini avec la musique, la scène et son public. Un opus dans lequel son public découvre C'est quand ça commence, un titre politique dans lequel le chanteur de 69 ans évoque la devise nationale de la France : "Liberté, égalité, fraternité... On a parlé d'humanité et qu'il faudrait s'aimer".
"C'est un appel à l'action. Il suffirait de pas grand-chose pour qu'on y arrive", commente Emilie Tran Nguyen face à Jean-Louis Aubert, invité sur le plateau de C à vous ce jeudi 19 septembre. "À l'action individuelle aussi, complète l'interprète des titres Puisses-tu, Alter ego et Voilà, c'est fini. Le changement que l'on rêve de voir dans le monde, je pense qu'il faudrait commencer par le faire soi-même. Ça va très bien se passer si ça se passe comme ça, de l'extérieur ça va être plus difficile si on l'attend". Alors que la chroniqueuse de France Télévisions remarque qu'il s'est "très peu exprimé sur le président de la République, la dissolution nationale, le résultat des Européennes", Jean-Louis Aubert l'interrompt avec humour : "Ça c'est un peu dissout, vous avez remarqué ?"
Jean-Louis Aubert inquiet par la dissolution du gouvernement ?
L'ami de Louis Bertignac poursuit : "C'est compliqué... C'est compliqué pour eux aussi". "Vous avez eu du mal à digérer la dissolution", glisse Anne-Elisabeth Lemoine. Pensif, son invité lui répond : "Ce n'est pas tellement ça. Je trouve, et là, on le sent, qu'ils pensent pas mal à eux et je suis toujours surpris". Après avoir "fréquenté des gens de tous les partis politiques", le chanteur du groupe Téléphone constate : "Le côté humain, je peux le retrouver à droite, à gauche. Et puis, j'ai vu des égoïstes à gauche et à droite, même dans les...
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