"J’étais très jeune, très naïve" : Élodie Frégé revient sur sa participation à la Star Academy

Une chose n’a pas changé, depuis 2003, c’est l’attention que porte le danseur et chorégraphe Kamel Ouali à vous placer dans un écrin pour votre prestation…

Élodie Frégé : C’est vrai. J’avais demandé à chanter aujourd’hui Glory Box, de Portishead, et je tenais vraiment à ce que Kamel fasse la mise en scène du tableau. C’était très important pour moi. Nous avons un lien, et je crois savoir que c’est en grande partie grâce à lui si j’ai été prise au casting de l’émission. Je ne suis pas sûre que j’étais désirée par tout le monde, mais Kamel a dû sentir quelque chose.

En dix-huit ans, vous avez fait beaucoup d’émissions de télé. Qu’est-ce que Star Academy avait de particulier ?

Nous étions plongés dans une espèce de bulle, avec les bons et les mauvais côtés de la situation, mais c’était notre choix. Suivre des cours avec des gens qui avaient du talent, sous le regard à la fois bienveillant et critique des professeurs, cela m’a énormément aidée pour la suite. Car sans Star Academy, j’aurais avancé moins vite. Je fonctionne aux « coups de pied au cul ». Les épreuves sont faites pour secouer un peu, pour blesser, même, parfois, mais les blessures cicatrisent. De chaque résilience, dans ma vie, j’ai fait pousser des fleurs.

Vous semblez ne rien regretter…

Je fais des choses que j’aime, avec tout mon coeur, mon indépendance et ma liberté. C’est important parce que, à l’époque, ce n’était pas vraiment le cas. Il m’... Lire la suite sur Télé 7 Jours

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