IST : comment (mieux) interrompre la chaîne de transmission ?
Face à la recrudescence des infections sexuellement transmissibles chez les jeunes en France, se faire dépister régulièrement est primordial pour préserver sa santé et celle de son ou ses partenaire(s). Néanmoins, la pandémie de Covid-19 et les confinements successifs ont entraîné une baisse massive du nombre de dépistage, de nombreux retards de diagnostics et en 2022, la plupart des principales IST étaient en hausse.
Quand elles sont prises à temps, certaines de ces infections (chlamydia, gonorrhée, syphilis ou encore trichomonas) sont curables. C’est pourquoi la HAS a partagé de nouvelles recommandations ce 9 mars, avec pour objectif de limiter les chaînes de transmission via une information plus directe pour les partenaires.
#Communiqué | La HAS publie ses recommandations sur la démarche de notification aux partenaires, qui encourage les patients diagnostiqués d’une #IST à notifier leurs partenaires sexuels de leurs éventuelles expositions.
https://t.co/mvA4vKDGj1 pic.twitter.com/CfKtfOJgsf
— Haute Autorité de santé (@HAS_sante) March 9, 2023
Aujourd’hui, lorsqu’un patient est diagnostiqué avec une IST, le professionnel de santé lui recommande d’informer au
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