Accusé d'inceste par sa fille, Richard Berry est discrètement sorti du silence dans une publication révélée sur le profil Instagram de Patrick Bruel ce samedi 27 février.
Comme environ 1,4% de la population mondiale, Gérard Darmon et Khaled sont liés par un point commun qu'ils doivent à leur jour de naissance particulier.
Pour les 11 ans de sa belle-fille Violet Madison, le chanteur français lui a écrit un joli message d’amour.
Les archéologues du site de Pompéi ont fait la découverte d'un char de cérémonie orné de décorations, une trouvaille extraordinaire pour la connaissance du monde antique.
Il y a quelques semaines, Joe Biden est devenu le quarante-sixième président des États-Unis après avoir remporté l’élection présidentielle face à Donald Trump. Un résultat que n’espérait sans doute pas Kanye West, lequel avait également décidé de partir en campagne. La somme qu’il a dépensé à cette occasion vient d’être dévoilée dans un rapport de la Commission électorale fédérale.
Près de trois mois après la disparition de Delphine Jubillar, l'avocat de son mari Cédric a fait une révélation étonnante à Planet.fr vendredi 26 février.
Dans un entretien à Télé Star, l’acteur et réalisateur Olivier Marchal a expliqué avoir été contacté par un escroc alors qu’il préparait un long-métrage sur Johnny Hallyday.
Diffusé ce soir sur France 2, Neuilly sa mère, sa mère !, la suite du film Neuilly sa mère !, voit son casting changer. En effet, dans ce nouvel opus, l'actrice Rachida Brakni cède sa place à l'humoriste Sophia Aram. Découvrez pourquoi.
Emmanuel Macron est arrivé dans sa villa du Touquet (Pas-de-Calais) ce samedi 27 février, quelques heures après son épouse, Brigitte. La station balnéaire où le couple présidentiel a ses habitudes ne les avait pas accueillis depuis l'été dernier, où ils étaient venus voter pour le second tour des élections municipales.
Selon une étude, l'eau des sources thermales situées dans la préfecture de Gunma au Japon aurait une efficacité de 90 % pour tuer le coronavirus. Mais quel est le secret de cette eau miraculeuse ?
En publiant le rapport du renseignement américain sur l'assassinat de Jamal Khashoggi, très compromettant pour le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane, l'administration Biden semble avoir acté son rejet de l'homme fort de Riyad. Retour sur une déchéance annoncée. Le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane (MBS) avait raison de redouter l’entrée à la Maison Blanche du démocrate Joe Biden aux dépens de Donald Trump, alors qu’il avait tout misé sur une réélection du milliardaire américain, dont il était l’un des protégés.Au lendemain de la déclassification par Washington d'un rapport du renseignement américain sur l'assassinat de Jamal Khashoggi, qui l'accuse d’avoir "validé" l'opération visant à "capturer ou tuer" le journaliste saoudien, MBS apparaît comme le grand perdant, sur la scène diplomatique du Moyen-Orient, de l'élection de Joe Biden à la présidence des États-Unis.Le démocrate, qui souhaite "recalibrer" les relations entre Washington et Riyad en rompant avec la diplomatie de l’ère Trump dans la région, n’a jamais caché son hostilité à l’égard du jeune prince, notamment pendant la campagne présidentielle.Un désaveu public au retentissement internationalEt si Washington a décidé de ne pas sanctionner MBS, le désaveu public au retentissement international qu’elle vient de lui infliger ruine les efforts du fils du roi Salmane pour réhabiliter son image et celle de son pays déjà très écornées. Il s'agit d’un coup dur pour celui qui se présentait en Occident comme un prince ouvert et réformateur, déterminé à libéraliser, en douceur, un royaume rigoriste et ultraconservateur.Nommé ministre de la Défense, puis prince héritier en juin 2017 par le roi Salmane, sur le trône saoudien depuis janvier 2015, MBS, décrit comme impulsif et pressé, a connu une ascension fulgurante. Notamment grâce à son projet de transformation de l’économie saoudienne – trop dépendante du pétrole – et son engagement à lutter contre la corruption et le terrorisme.Mais ses initiatives ont été rapidement éclipsées par ses méthodes de gouvernance brutales et une dérive autoritaire à l’intérieur du pays. En quelques mois, il devient le dirigeant de facto du royaume wahhabite en le faisant passer d'une monarchie basée sur un consensus entre les différentes branches de la famille royale à un régime personnalisé dans lequel les pouvoirs sont concentrés entre ses mains.Ses offensives de charme et ses tournées à l’étranger sont très médiatisées et font quelque peu oublier les campagnes expéditives d’arrestations menées dans le royaume à l’endroit de membres de la famille royale, de militants des droits de l’Homme, d'intellectuels et de critiques.Des dérives plusieurs fois dénoncées par Jamal Khashoggi, qui s’était exilé à partir de 2017 aux États-Unis, dans des éditoriaux sans concession publiés dans le Washington Post.Mais c’est surtout la tempête internationale déclenchée par l’assassinat du même Jamal Khashoggi, le 2 octobre 2018, qui va ternir l’image de Mohammed ben Salmane, et remettre sur le devant de la scène médiatique le lourd bilan de la pétromonarchie wahhabite en matière de droits de l’Homme.Restriction des libertés d’expression et d’association, interdiction des rassemblements pacifiques, liberté religieuse hors islam inexistante, procès inéquitables, discrimination envers les femmes et la minorité chiite, exercice de la torture et peines de mort arbitraires… Si la nature répressive de la monarchie saoudienne, régie par une version rigoriste de la charia, la loi islamique, à l’égard de toute contestation interne a toujours été de rigueur, la situation s’est durcie depuis la montée en puissance du prince héritier.Un allié embarrassant pour les États-UnisAu niveau diplomatique, le bilan censé légitimer MBS sur le plan international est tout aussi négatif, alors que sur ce plan aussi, il a tenté la manière forte. "Qu’il s’agisse du bourbier yéménite qui est devenu un Vietnam aux portes du royaume, qu'il s'agisse encore de l’embargo musclé destiné à faire fléchir le Qatar, ou bien encore du coup de force contre le Liban avec l’affaire de la vraie fausse démission du Premier ministre Saad Hariri… Aucune de ses initiatives n’ont permis aux Saoudiens de renforcer leurs positions sur l’échiquier régional face à l’Iran", résumait il y a quelques mois Karim Sader, politologue et consultant spécialiste du Golfe, interrogé par France 24.Au Yémen notamment, où il avait engagé le combat en mars 2015, les rebelles houthis chiites, soutenus par Téhéran, résistent toujours à la coalition internationale, alors que le conflit a provoqué ce que l'ONU qualifie de "pire crise humanitaire du monde".Adoubé en mai 2017 par le président américain Donald Trump, alors en visite en Arabie saoudite, MBS lie sa diplomatie à celle de l'administration Trump, focalisée comme lui sur la menace iranienne. Il se rapproche de Jared Kushner, le gendre du président chargé du dossier moyen-oriental. Des relations privilégiées et un accès direct au bureau Ovale qui lui seront très utiles au moment de l’affaire Khashoggi.Alors qu’il apparaît désormais comme un allié embarrassant pour les États-Unis, le président Donald Trump le défend personnellement, pour assurer la caution saoudienne à son "deal du siècle" au Proche-Orient et à l'ouverture de relations diplomatiques entre certains pays du Golfe et Israël.Mais de leur côté, la presse américaine et le camp démocrate ne ménagent pas le fils du roi saoudien, qui finit par assumer "toute la responsabilité" de l'assassinat du journaliste tout en démentant en être le commanditaire.En octobre 2018, le magazine américain Newsweek dévoile un entretien inédit – et non daté – avec Jamal Khashoggi dans lequel ce dernier estime que MBS n’est autre qu’un "dirigeant tribal rétrograde", jouissant d’un pouvoir "autocratique" et ne recherchant aucunement une ouverture du régime saoudien à la démocratie. Le journaliste assure également dans cet entretien craindre pour sa vie.Jusqu’ici, Riyad n’a jamais révélé où se trouvait le corps du journaliste, qui n’est pas réapparu après un rendez-vous administratif au consulat saoudien d’Istanbul, le 2 octobre 2018.Avec la publication du rapport de la CIA, l'homme fort de la monarchie wahhabite n’est plus intouchable. L'arrivée à la Maison Blanche de Joe Biden, qui a multiplié les décisions défavorables à MBS (main tendue à Téhéran dans l'optique d’un éventuel retour dans l’accord sur le nucléaire iranien, restrictions sur les livraisons d’armes à Riyad), a sans doute fait perdre au prince le sentiment d’impunité dont il jouissait durant l’ère Trump.Reste à savoir quel sera l’avenir de MBS au sein du royaume, et si l’administration américaine n’est pas en train d’enclencher un processus visant à provoquer sa chute.
La vie de Céline Dion, dans toute sa grandeur, est racontée par la biographe Elisabeth Reynaud dans un livre sorti aux éditions Larousse. A cette occasion, celle-ci a accepté de répondre à nos questions et de faire des révélations étonnantes sur la chanteuse.
Le 26 février, Maeva Ghennam a révélé avoir été victime de sorcellerie. Selon, la jeune star des Marseillais une de ses connaissances aurait engagé une sorcière pour nuire à sa carrière. De quoi alimenter les spéculations chez les internautes !
Invité dans 20h30 le dimanche ce dimanche 28 février, Pierre Richard a partagé la vie de Danielle Minazzoli, mère de ses deux fils.
Le prince héritier d'Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, a "validé" l'assassinat du journaliste Jamal Khashoggi, ont affirmé les Etats-Unis vendredi. Pourtant, aucune sanction n'a été prise contre le prince héritier. "Joe Biden a besoin de l’Arabie Saoudite"', explique la politologue Nicole Bacharan.
FAITS DIVERS - Le jeune homme attendait son procès
Ce samedi 27 février, Maeva Martinez a posté un long texte sur Instagram sensibilisant sa communauté de fans sur le post-partum et les complexes que peuvent avoir les jeunes mamans.
Ils ont investi et ils ont revendu. Les « heureux du bitcoin » ont eu le nez fin : alors que la plus connue des crypto-monnaies atteignait le 16 février dernier des sommets inégalés, franchissant pour la première fois la barre des 50 000 dollars avant de redescendre brutalement, certains ont profité de l’occasion pour revendre leurs actifs et empocher leurs gains. « J’ai immédiatement su que cela allait changer le monde », affirme Leven depuis sa maison sur la côte californienne. Le quadragénaire découvre le bitcoin en 2012, alors que la cryptomonnaie est encore peu connue du grand public. Rapidement convaincu de son potentiel, il investit sans hésiter plusieurs milliers de dollars. Et ne le regrette toujours pas aujourd’hui : « J’ai vendu la moitié de mes actifs en 2018, raconte-t-il. Depuis, j’ai quitté mon travail et je vis confortablement. » Grâce à sa plus-value, l'ancien informaticien a acheté deux maisons et réalisé plusieurs investissements, qui lui ont permis de prendre sa retraite avant ses 40 ans.Mais cette « success story » n’est pas à la portée de tous. « Il n’y a pas d’argent facile, affirme Xavier*. Le seul moyen de devenir riche avec le bitcoin, c’est de prendre énormément de risques ou d’investir beaucoup d’argent au départ. »Le jeune homme de 25 ans est néanmoins « content » de son investissement, qui lui a permis de rembourser sa formation professionnelle. « J’ai gagné de l’argent sans travailler », résume-t-il. Si l’assertion peut paraître immorale, l’apprenti trader assume. « En décembre 2019, j’ai eu une promotion et j’ai commencé à faire des économies. Mais le livret A proposait un taux de rémunération vraiment bas. » Il décide alors d’acheter des bitcoins sur un site dédié, un « exchange », français.Des utilisateurs jeunes et masculins, aux revenus souvent modestesD’après une étude Ifop commandée par le site Cointribune, la majorité des utilisateurs de bitcoin sont ainsi des hommes jeunes aux revenus plutôt modestes, dont la motivation première est la spéculation.C’est le profil de Boris, 31 ans. Employé dans la restauration au Luxembourg, il s’est lancé dans la cryptomonnaie, déçu par les possibilités de placement que lui proposait sa banque et poussé par l’urgence provoquée par le coronavirus et la fermeture des restaurants. « J’ai investi environ 10% de l’ensemble de mes économies, pour ne pas prendre trop de risques », se souvient-il. Car la démarche est dangereuse : les variations du bitcoin, qui évolue sans être adossé à une banque ou à un État, peuvent amener fortune comme ruine en quelques minutes.C’est d’ailleurs la volatilité du bitcoin, associée à son caractère extrêmement spéculatif, qui a poussé les deux hommes à se retirer du marché, après les y avoir attiré. « Lorsque j’ai vu que cela montait trop haut et trop vite en décembre dernier, je me suis dit qu’il fallait que j’arrête, confie Boris. J’y passais plusieurs heures par jour, cela me stressait trop ».Un apprentissage en autodidacteLes deux autodidactes expliquent ainsi s’être fixé des limites claires pour ne pas se laisser déborder par cette occupation d’un genre nouveau. « Mon objectif était de doubler mon investissement, explique Boris. Quand cela a été le cas, j’ai vendu mes bitcoins, même si cela continuait à monter. Parfois, je regrette un peu, mais je me dis que ce n’était pas du casino : je me suis renseigné avant d’investir, et il faut savoir s’arrêter. »Tous deux ont mené un long travail d’information avant de se lancer, afin à la fois de savoir où aller et de se rassurer. « Je me suis renseigné, explique Xavier. Je n’y suis pas allé tête baissée, il faut savoir un minimum ce que l’on fait. »► À écouter aussi : Bitcoin: une monnaie d’avenir ?Mais d’autres utilisateurs arrivent au bitcoin presque par hasard. Hervé, 58 ans, explique ainsi avoir acheté pour 50 euros de bitcoin en 2018, afin de « voir comment cela fonctionnait ». Attiré au départ par la possibilité de subventionner des auteurs ou des artistes sur internet sans avoir à passer par des cagnottes en ligne, il « s’amuse à spéculer » quelque temps, puis finit par tout vendre avec une plus-value d’une centaine d’euros. « Il y a un côté qui me gêne, comme la bourse, confie-t-il. Cet argent, je ne l’ai pas gagné et je ne l’ai pas mérité. »Des liens avec le DarknetLe bitcoin est en effet souvent critiqué pour son caractère spéculatif, mais également pour ses liens supposés avec le crime organisé sur internet. Avant sa fermeture par le FBI, SilkRoad, un site vendant des produits illicites sur le Darknet, utilisait le bitcoin comme seule monnaie d’échange. Un commerce qui perdure encore aujourd’hui.François* a ainsi acquis ses premiers bitcoin en 2016 avec un seul objectif : acheter de la drogue sur le Darknet. « L’ami qui me fournissait habituellement n’avait pas de plan, explique cet informaticien de 47 ans, fumeur de marijuana et consommateur de drogues récréatives. Il m’a indiqué un site internet ». Il convertit alors 400 euros en bitcoin pour mener ses transactions en toute discrétion, et oublie peu à peu son investissement.C’est ainsi qu’il tombe de haut, début février 2021, en consultant sa « wallet », le portefeuille numérique où il garde ses bitcoins. « J’ai l’équivalent de 2 000 euros, alors que je n’ai investi une telle somme, s’exclame-t-il. Pendant quelques jours, je me suis fait des films, je me suis dit que j’allais devenir millionnaire. » Mais il est depuis revenu à la réalité : « je n’ai pas acheté de bitcoins pour spéculer, affirme-t-il. Ce que j’aime à me dire, c’est que pendant deux ans, j’ai acheté de la drogue gratuitement. »* Certains prénoms ont été changés.
Jeanne Cherhal était l'invitée de Laurent Ruquier dans On est en direct ce samedi 27 février et, suite à une blague de Philippe Caverivière, a fait part de son mécontentement sur le plateau.
Voilà un mois et quelques cacahuètes que Shy'm a donné naissance à son premier enfant, le baby boy auquel elle a consacré une chanson sortie au mois d'octobre. En ce 28 février l'artiste a publié en story quelques instantanés sans bébé. Et sa silhouette va, à n'en pas douter, faire des envieuses...