“Les Innocents de la Candelária”, The Cure, “Dragon Age” : les sorties du moment
Les Innocents de la Candelária, une série qui retrace une nuit d’horreur au Brésil
Mis en ligne sur Netflix le 30 octobre, Les Innocents de la Candelária revient sur un événement tragique qui a secoué le Brésil : l’assassinat par des policiers militaires de huit enfants et jeunes sans-abri qui dormaient devant une église de Rio, dans la nuit du 23 juillet 1993. La presse brésilienne a apprécié cette minisérie qui s’attache à humaniser les victimes. L’œuvre contraste avec “la violence brute des films sur les favelas ou les reconstitutions de crimes réels”, et raconte “ce que [les jeunes de Candelária] imaginaient pour l’avenir – et aussi ce qu’ils avaient vécu avant d’occuper les trottoirs du centre-ville”, à travers des retours en arrière, explique O Globo, quotidien de Rio.
Songs of a Lost World, pour les nostalgiques des Cure
L’iconique groupe de rock britannique est de retour seize ans après son dernier album, pour le plus grand plaisir des critiques britanniques. Ces derniers ont savouré avec nostalgie Songs of a Lost World, sorti le 31 octobre. Un disque si “immersif que vous perdrez la notion du temps”, avertit la journaliste de The Independent, Helen Brown. “Perdue dans un nuage de synthés sur And Nothing is Forever, j’ai été de nouveau plongée dans mes années d’adolescence”, confie-t-elle.
Dragon Age. The Veilguard s’avère à la hauteur des attentes
Dragon Age. The Veilguard, le quatrième volet de la populaire franchise de jeux de rôle, a conquis la presse spécialisée qui l’attendait avec hâte depuis le précédent, sorti il y a dix ans. Ce 31 octobre, ils ont enfin pu découvrir le nouvel univers imaginé par le studio canadien BioWare, où l’on peut choisir des compagnons de route hauts en couleur. “Une fois que The Veilguard est vraiment lancé, les compagnons montrent toute leur bizarrerie, formant une troupe hétéroclite – et je le dis comme un compliment. J’étais vraiment investi dans leurs histoires, j’avais envie de savoir où elles les mèneraient, et je n’avais aucune envie de les fâcher”, s’enthousiasme Todd Harper sur le site Polygon.
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