Un ingrédient présent dans ce fruit pourrait peut-être prévenir le cancer du côlon, selon un survivant

Lorsqu’il était adolescent, un Britannique, David Trusler, a perdu son père d’un cancer de l’intestin. Désormais âgé de 66 ans, il se souvient à quel point cette épreuve a été difficile à vivre. « J'ai perdu mon père quand j'avais 17 ans d'un cancer de l'intestin. Lorsqu’il a été diagnostiqué dans les années 1970, il n'y avait pas d'IRM, pas d'échographie. La plupart des avancées dans le traitement du cancer dont nous disposons aujourd’hui n’existaient pas à l’époque », raconte-t-il au Leichestershire Live. En 2013, il reçoit le diagnostic choc d’un cancer de la prostate. « J’avais l’impression d’être dans un film d’horreur de Hitchcock », se souvient-il. Il a subi une opération chirurgicale pour retirer sa prostate. Le traitement a été efficace, et son cancer n'est pas revenu.

« Je participe à cet essai pour mon père »

Soucieux de surveiller son état de santé, David Trusler participe au programme de dépistage du cancer du côlon depuis 2018. En juin 2024, les résultats du dépistage sont anormaux. Il se dit « oh non, pas encore », et se rend aux coloscopies, très nerveux. L’examen a révélé deux gros polypes et de petites excroissances dans la paroi intestinale, mais aucun n’était cancéreux. C'est à ce moment-là qu'il a été invité à rejoindre l'essai COLO-PREVENT financé par Cancer Research UK. L'essai, dirigé par l'Université de Leicester et le Centre de recherche biomédicale de Leicester du (...)

Lire la suite sur Top Santé

Si vous voulez faire le plein de collagène, au lieu de vous ruiner en crèmes, misez sur ces 13 aliments
"Je prends de la vitamine D tous les jours depuis 10 mois et voici ce que cela a changé dans ma vie"
Une infirmière en soins palliatifs révèle la triste réalité de ce qui arrive au corps humain quelques minutes après la mort
Sandwichs industriels : "on nous trompe sur la marchandise" selon ce médecin
Ce problème financier pourrait être un signe annonciateur d'Alzheimer