Les idées reçues sur l’épilation et le rasage
C’est la coupe du poil qui le fait paraître plus dru ou plus épais car il est alors taillé en biseau. Au naturel, son extrémité est douce au toucher. « Certaines études suggèrent toutefois que des techniques d’épilation électrique ou à la cire peuvent provoquer une inflammation, qui augmenterait la pilosité par le biais d’un mécanisme de communication entre les cellules », commente Marie Jourdan, dermatologue au Centre laser international de la peau de Paris (CLIPP).
Il s’agit plutôt d’une épilation durable. Le bulbe diminue et le poil devient plus fin, moins dense. Près de 20 % des poils disparaissent à chaque passage du laser et environ 80 % sont éliminés définitivement au bout d’un an. Pour cela, il faut entre 8 et 10 séances par zone. Les poils incarnés deviennent rares après 4 séances. Un duvet peut repousser sous l’influence de facteurs, notamment hormonaux, et exiger une retouche 12 à 18 mois plus tard. Mieux vaut donc démarrer après le pic hormonal de l’adolescence.
C’est en effet déconseillé, en raison de la forme elliptique du poil, particularité spécifique aux peaux noires ou mates qui favorise les poils incarnés et la pseudo-folliculite de la barbe. Les séances de laser sont plus adaptées, surtout pour les zones denses et drues (maillot, barbe). De plus, cela peut laisser des marques. « Il faut, dans l’idéal, éviter d’arracher les poils, car l’inflammation qui en résulte peut créer une tache sombre », prévient le Dr Jourdan, dermatologue et ancienne responsable de la (...)
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