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Hugo Lloris, l’impasse en retrait

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Hugo Lloris n’a plus enfilé ses gants depuis près de six mois. Ce soir-là, ses Spurs étaient réduits en miettes par Newcastle (1-6), et lui quittait le navire à la mi-temps, après s’être fait mitrailler et transpercer cinq fois en vingt minutes. Depuis, c’est silence radio…

Jusqu’au bout, Hugo Lloris n’est donc vraiment pas une légende comme les autres. Non seulement la grandeur de son immense carrière est remise en cause par certains pour une histoire de tirs au but, mais les commérages au sujet de son actualité sont à l’image de sa personnalité : discrets. Il y aurait pourtant matière à dire. Le joueur le plus capé de l’histoire de l’équipe de France n’a plus joué depuis avril dernier, et personne ne semble se préoccuper d’un éventuel retour du Niçois sur les terrains ou, le cas échéant, quand celui-ci pourra se faire. Le 9 janvier dernier, dans les colonnes de L’Équipe, le capitaine tricolore annonçait, un peu moins de trois semaines après n’avoir décroché que l’argent au Qatar avec les Bleus, mettre fin à sa carrière internationale, après quatorze ans de très bons et loyaux services. Une victoire en Coupe du monde, une en Ligue des nations, et deux autres finales – celles de l’Euro 2016 et du Mondial 2022, cruellement perdues après 120 minutes de jeu ou plus –, seront venues égayer sa longévité record de 145 sélections avec ce maillot. Faut-il y voir le contrecoup de cette décision ? Ou celui d’être passé si proche de brandir une deuxième Coupe du monde de suite ?

Genèse d’un après-Mondial cauchemardesque

Toujours est-il qu’Hugo Lloris a mal digéré son retour sur les terrains britanniques, et les médias locaux s’en sont régalés. Le 1er janvier, pour son premier match post-Mondial, il est directement responsable sur l’ouverture du score d’Aston Villa, qui s’imposera (2-0) à Tottenham. Impérial trois jours plus tard à Crystal Palace (4-0), il retombe dans ses travers dès la rencontre suivante. Coupable d’une faute de main, il marque contre son camp dans le derby londonien face à Arsenal (0-2), puis, quatre jours plus tard, s’écroule en même temps que ses coéquipiers à l’Etihad Stadium, vaincus (2-4) par Manchester City, malgré une avance de deux buts à la pause.…

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