Des animateurs et animatrices envisageraient de se regrouper pour le poursuivre en justice s'il ne change pas de "comportement", d'après "Le Parisien".
Pendant plusieurs décennies, les enfants Bernard Kouchner ont gardé le secret concernant les abus qu'Olivier Duhamel aurait commis sur l'un de ses beaux-fils. Mais s'ils ont finalement décidé de sortir du silence, c'est pour une raison bien précise.
La messagerie Signal est en tête des téléchargements sur les plateformes Apple Store et Google Play dans plusieurs pays, en Inde notamment, en France, en Allemagne ou bien encore à Hong Kong, ce week-end. L'application de messagerie sécurisée profite du désamour de certains utilisateurs pour son concurrent, WhatsApp, depuis que ce dernier a annoncé vouloir changer ses conditions d'utilisation. Si vous n'acceptez pas nos nouvelles conditions d'utilisation, votre compte sera désactivé le 8 février... Depuis jeudi dernier, voilà le message que reçoivent les quelque 2 milliards d'utilisateurs de WhatsApp. L'application de messagerie va partager davantage de données avec sa maison-mère, Facebook.Le groupe cherche à monétiser sa plateforme en permettant aux annonceurs de contacter leurs clients via WhatsApp voire d'y vendre directement leurs produits. Le contenu des messages restera toutefois crypté.Partout dans le monde, des utilisateurs mécontents ont décidé de passer sur Signal, une application censée être l'une des plus sécurisées du marché et garantie sans publicité. Cela ne s'est pas fait sans mal pour certains. Face à l'afflux de nouvelles connexions, des problèmes techniques se sont produits ces derniers jours, a reconnu l'entreprise.Signal, déjà adopté par le lanceur d'alerte Edward Snowden et par la Commission européenne, a reçu un nouveau soutien de poids la semaine dernière. Le patron de Tesla et de Space X, Elon Musk, a lui aussi recommandé d'utiliser ce service de messagerie chiffrée.
A dix jours de la fin de son mandat, Donald Trump est confronté à des appels à la démission de plus en plus nombreux, y compris dans le camp républicain, pour éviter une difficile procédure de destitution en pleine crise politique, sanitaire et économique.
PARIS (Reuters) - Les premières doses du vaccin élaboré par Moderna seront livrées dès lundi en France, a annoncé dimanche le ministère de la Santé."Après avoir reçu une autorisation de mise sur le marché européenne le 6 janvier, le vaccin développé par la société américaine Moderna a fait l’objet d’une recommandation de la Haute autorité de santé (HAS)", dit-il dans un communiqué.
Ce 9 janvier, Khloe Kardashian a posté un cliché la montrant dans sa salle de sport pour une remise en forme après les fêtes. L'occasion pour les internautes de constater combien elle ressemble sous certains angles à sa petite soeur, Kendall Jenner.
Lors des derniers épisodes, les commentaires désobligeants sur les ongles de pieds d'Alexandra ont été nombreux. Mais contrairement aux suppositions, il ne s'agit pas d'un manque de soin.
Ce samedi 9 janvier, le chef de la diplomatie américaine, Mike Pompeo, a annulé toutes les restrictions imposées au fil des ans aux responsables américains dans leurs contacts avec Taïwan. Taipei s'est réjoui de cette décision. Mike Pompeo n'a pas précisé la nature des restrictions annulées et cette annonce apparaît largement symbolique, une loi de 2018 autorisant déjà « des responsables à tous niveaux du gouvernement, y compris des membres du cabinet occupant des fonctions de sécurité nationale, des militaires et d'autres représentants officiels du gouvernement à se rendre à Taïwan et à rencontrer leurs homologues taïwanais ».L'ambassadeur de Taïwan aux États-Unis, Hsiao Bi-khim, a cependant salué cette décision sur Twitter : « C'est la fin de décennies de discrimination ». « C'est un très grand jour pour notre relation bilatérale. Je me réjouis de chaque opportunité », a-t-il encore ajouté. Le ministre des Affaires étrangères de Taïwan, Joseph Wu, s'est également félicité de la levée de « restrictions qui limitaient inutilement nos relations ». « Le partenariat rapproché entre Taïwan et les États-Unis repose solidement sur nos valeurs et intérêts communs et la foi inébranlable en la liberté et en la démocratie », a-t-il aussi ajouté.À Taïwan, si certains y voient une dernière pique envoyée par Donald Trump à la Chine, l’annonce n’est pas pour déplaire à la présidente Tsai Ing-Wen, réélue triomphalement l’an dernier justement sur un programme de défense de la souveraineté de Taïwan. « Taïwan est un pays,[...] nous méritons d’être traité comme tel », s’est ainsi réjoui le vice-président taïwanais, William Lai, rapporte notre correspondant à Taipei, Adrien Simorre.Colère de PékinL'annonce du chef de la diplomatie américaine, à moins de deux semaines de la fin du mandat du président Donald Trump, devrait en revanche provoquer la fureur de Pékin, qui considère Taïwan comme partie intégrante de la Chine et qui a déjà violemment protesté contre une visite annoncée à Taïwan de l'ambassadrice des Etats-Unis à l'ONU, Kelly Craft. Mme Craft doit se rendre du 13 au 15 janvier à Taipei pour des entretiens avec des responsables taïwanais. Elle doit aussi y prononcer un discours sur « les contributions impressionnantes (de Taïwan) à la communauté mondiale et l'importance d'une participation significative et élargie de Taïwan aux organisations internationales », selon le département d'État.« Lourd tribut »La Chine, qui considère toujours le territoire insulaire comme faisant partie de la Chine et juge que tout déplacement à Taipei de dirigeants étrangers est de nature à donner une légitimité aux autorités taïwanaises, a menacé de faire payer aux États-unis « un lourd tribut » si ce voyage a lieu. Washington a rompu ses relations diplomatiques avec Taipei en 1979 pour reconnaître Pékin, mais les Etats-Unis ont adopté la même année une loi qui stipule qu'ils devront aider Taïwan à se défendre en cas de conflit.
Alors que le journaliste Martin Bashir tentait d'exploiter les faiblesses de Lady Diana dans les années 90 pour obtenir une interview d'elle, le prince William aurait tenté de l'avertir. Alors adolescent, il a tout de suite senti qu'il fallait se méfier de lui.
INQUIETUDE - Le Boeing 737 réalisait un vol interne entre Jakarta et Pontianak
PANDEMIE - Jadis présentée comme une alternative de lutte contre le coronavirus, en adoptant des mesures laxistes et incitatives, la Suède rétropédale et a voté en urgence une loi pour permettre des restrictions plus fortes. La fin d’un mirage ?
Cela fait cinq jours que l’étudiante sénégalaise Diary Sow a disparu sans donner aucune nouvelle. « Meilleure élève du Sénégal », elle était en deuxième année de classe préparatoire au lycée Louis-le-Grand de Paris. Une situation préoccupante qui a notamment ému le chroniqueur Gilles Verdez.
Depuis le résultat des élections américaines, la Corée du Nord s’était gardée de commenter la victoire de Joe Biden. Ce samedi 9 janvier, l’agence officielle a rapporté que Kim Jong-un avait qualifié les États-Unis de « plus grand ennemi de Pyongyang » à l’occasion du huitième congrès du parti qui se déroule depuis mardi. Le leader a également affirmé vouloir se doter d’un sous-marin nucléaire, des provocations claires à l’égard de Washington. Kim Jong-un a attendu quatre jours d’un congrès où très peu d’images ont été dévoilées au monde extérieur afin d’envoyer un message aux États-Unis, rapporte notre correspondant à Séoul, Nicolas Rocca. Le leader nord-coréen a menacé de continuer à développer les capacités nucléaires du pays, estimant que la politique de Washington, « plus grand ennemi du pays », ne changerait pas, quel que soit le locataire de la Maison Blanche. Pour Go Myung Hyun, chercheur à l'Asean Institute de Séoul, il est clair que Joe Biden ne représente pas une opportunité positive pour Pyongyang.« Ils savent que cela ne viendra pas de Biden, il a d’autres priorités, explique-t-il. Je pense que Biden se met la tête dans le sable en attendant que le problème nord-coréen s’en aille mais cela ne sera pas le cas. La Corée du Nord sait que les États-Unis ne s’intéressent à eux que lorsqu’ils créent des problèmes. C’est leur leçon historique, et ils comptent bien la mettre en pratique ».Politique de rétorsionComme provocation supplémentaire, le pays a annoncé le début d’une politique d’œil pour œil et dent pour dent avec Washington, et la volonté de développer son arsenal nucléaire, notamment avec l’annonce d’un sous-marin nucléaire en phase finale de développement. Il s'agit d'un message clair au nouveau président américain, qui aura donc un début de mandat chargé aussi bien en politique intérieure que sur l’échelle internationale. ► À lire aussi : Corée du Nord, en marche vers une nouvelle stratégie de communication sur les réseaux ?Après avoir échangé insultes et menaces de guerre nucléaire, Kim Jong-un et le président américain Donald Trump avaient opéré un rapprochement, marqué par des rencontres aussi historiques que symboliques.Mais aucun progrès n'a été réalisé sur l'épineux dossier des programmes nucléaire et balistique de Pyongyang. Et les négociations sont au point mort depuis l'échec retentissant du deuxième sommet entre les deux hommes fin février 2019 à Hanoï.Une des raisons de cette impasse a été l'absence de consensus sur les concessions que la Corée du Nord devrait faire en échange d'une levée des sanctions internationales pesant sur elle.Mais Donald Trump n'a jamais inspiré à la Corée du Nord la haine qu'elle voue à Joe Biden, un « chien enragé » qu'il faudrait « battre à mort ». De son côté, le président élu a qualifié Kim Jong-un de « voyou ».
La victime était accompagnée d'une jeune femme de 23 ans qui a été transférée en urgence absolue à l'hôpital de Mulhouse. Les circonstances de l'accident ne sont pas encore connues.
I'LL BE BACK - L'acteur s'est exprimé dans une longue vidéo pour critiquer Donald Trump et soutenir Joe Biden
SNAPCHAT - Cette semaine, on se penche sur une drôle histoire qui a fait voir double à certains
En Floride, une caméra de surveillance a filmé le moment héroïque où une femme enceinte a rattrapé sa petite fille de justesse, lorsque cette dernière est tombée en arrière du canapé.
FUITE - Deux garçons de 14 ans ont été interpellés à Montauban, après une escapade d’une quarantaine de kilomètres
Ce dimanche 10 janvier, TF1 diffuse Seul sur Mars. Une oeuvre signée Ridley Scott dans laquelle un astronaute (Matt Damon) abandonné sur la planète rouge, réussit à survivre seul durant des mois. Un scénario pas si fantaisiste... La preuve.
L'armée française a réaffirmé vendredi qu'elle n'avait pas commis de bavure dans le secteur de Douentza-Hombori, au Mali, lors d'une frappe contre un groupe jihadiste.La force française antijihadiste Barkhane a indiqué, vendredi 8 janvier, s'être déplacée sur les lieux d'une frappe menée dimanche par son aviation au Mali, réaffirmant qu'elle n'avait touché que des jihadistes alors que des villageois ont rapporté des victimes civiles au même moment dans le même secteur."Dans la matinée, une mission terrestre composée de militaires de la force Barkhane s'est rendue sur les lieux de la frappe française réalisée le 3 janvier dernier au nord du village de Bounti", a indiqué l'état-major dans un bref communiqué. "Les éléments recueillis au cours de cette mission sont en tous points conformes à l'analyse et l'évaluation de situation produites jusqu'à présent.">> À voir : "Sahel : sortir de l'étau jihadiste"Les faits qui se sont produits dans le secteur de Douentza-Hombori suscitent depuis plusieurs jours des interrogations sur l'éventualité d'une bavure au cœur de l'un des principaux foyers de la violence qui ensanglante le Sahel.Des villageois et une association de défense de l'ethnie peule ont fait état d'une frappe aérienne ayant atteint une fête de mariage, faisant une vingtaine de morts dans le village de Bounti. Décrit par plusieurs villageois comme un hélicoptère, l'appareil qui aurait tiré ne pourrait a priori appartenir qu'aux armées malienne ou française, les seules à frapper du ciel malien.Paris exclut l’usage d’un hélicoptèreMais la France, qui a gardé le silence jusqu'à mardi, ainsi que les autorités maliennes, affirment que les frappes aériennes visaient bien un groupe de jihadistes. Paris a exclu l'usage d'un hélicoptère, tout comme la présence d'un mariage sur les lieux."Cette action de combat", effectuée au moyen de "trois bombes", a permis de "neutraliser" une trentaine de jihadistes, avait rappelé l'état-major jeudi soir, ajoutant que les éléments disponibles permettaient "d'exclure la possibilité d'un dommage collatéral".Les autorités maliennes, dominées par les militaires depuis le putsch du 18 août 2020, avaient pour leur part livré une version cohérente avec celle de l'armée française. Elles ont annoncé l'ouverture d'une enquête "pour mieux comprendre ce qui s'est passé".Le silence observé par les autorités avait laissé le champ libre aux spéculations, favorisées par les difficultés d'accès à l'information dans une zone dangereuse et isolée. Aucune image n'est remontée de Bounti.Les versions des armées et des villageois divergent au point que la concomitance de deux événements distincts n'a pu être catégoriquement écartée.Avec AFP