"Une honte !" : Emmanuel Macron ose un coup de force qui pourrait lui coûter très, très cher
Une décision prise au nom de la "stabilité institutionnelle". Lundi 26 août 2024, dans un communiqué, l’Élysée a fait savoir qu’Emmanuel Macron avait écarté l’option d’un gouvernement de gauche. Sans nommer La France insoumise, le président de la République a exhorté socialistes, écologistes et communistes à "coopérer avec les autres forces politiques". "Ma responsabilité est que le pays ne soit ni bloqué, ni affaibli", a-t-il assuré avant de préciser : "Les partis politiques de gouvernement ne doivent pas oublier les circonstances exceptionnelles d’élection de leurs députés au second tour des législatives. Ce vote les oblige". Très vite, de nombreuses personnalités politiques se sont exprimées. En colère, Fabien Roussel a appelé sur BFMTV à "une grande mobilisation populaire", et des rassemblements, notamment devant les préfectures.
Jean-Luc Mélenchon : "La réplique populaire et politique doit être rapide et ferme"
Sur X (ex-Twitter), Jean-Luc Mélenchon a estimé qu’Emmanuel Macron avait créé une situation d’une "exceptionnelle gravité". "La réplique populaire et politique doit être rapide et ferme. La motion de destitution sera déposée. Le moment venu, la censure d'un gouvernement de droite viendra. Mais les organisations attachées à la défense de la démocratie devraient engager une réplique commune", a-t-il indiqué. Également sur X, la députée LFI Mathilde Panot a déclaré quant à elle : "Si le Président de (...) Horreur à Oyonnax : ils sont au salon quand leur husky arrive avec leur nourrisson dans la gueule
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