Harvey Weinstein : Gigi Hadid ne sera finalement pas jurée dans son procès
Retenue parmi les jurés potentiels pour le procès d'Harvey Weinstein, Gigi Hadid a finalement été écartée de la sélection. Non Stop People vous en dit plus.
La tradition veut que le président sortant laisse une lettre à son successeur dans le Bureau ovale. Joe Biden a évoqué celle écrite par Donald Trump.
Lola Marois cultive son côté rebelle. Alors qu'elle se trouvait dans un train, la comédienne de Plus belle la vie s'est amusée à retirer son masque. La femme de Jean-Marie Bigard a ensuite publié le résultat dans sa story Instagram.
Alors que plusieurs photos des coulisses de la 42ème édition des Enfoirés ont été partagées sur la Toile, Jenifer n'apparaît sur aucune d'entre elles. Certains se demandent donc si la star sera bien présente sur scène. Une question à laquelle vient de répondre TF1.
Comme des dizaines de milliers de Russes, le président russe s'est plongé brièvement dans l'eau glacée pour célébrer l'Épiphanie et le Baptême du Christ.
Les deux amis et collègues de la chaîne M6 Stéphane Plaza et Karine Le Marchand se sont retrouvés en colocation pendant quelques semaines fin 2020. L'animateur a raconté cette cohabitation, mercredi dans "Culture Médias", qui s'est suivie pour lui de galères immobilières.
La fille aînée de Vanessa et Kobe Bryant, Natalia, célèbre ce mardi son 18ème anniversaire.
Pour Melania Trump il ne reste plus que quelques heures avant de quitter Washington. Si la première dame a fait ses adieux aux Américains sur les réseaux sociaux, elle a en revanche refusé d'offrir à Jill Biden une visite guidée de la Maison-Blanche. Un manquement à la tradition qui a fait grincer des dents...
A l’occasion de son 57ème anniversaire, Michelle Obama a posté un selfie d’elle au naturel qui lui a valu une pluie de compliments. Et on comprend : l’ancienne First Lady est tout simplement magnifique !
Aurore est convaincue que Sandrine a tué Franck. Samuel tente le tout pour le tout et va voir Iris... Charlie met un terme à sa relation avec Gabriel. Clémentine fait une macabre découverte dans un parc !
La Californie a retiré de la circulation plus de 330 000 doses du vaccin COVID-19 produit par Moderna, après les réactions allergiques graves de six professionnels de la santé ayant été vaccinés à San Diego.
Les frères et la sœur de Delphine Jubillar, disparue depuis le 16 décembre, appellent au respect de la vie privée de la mère de famille et assurent ne privilégier aucune hypothèse quant à sa disparition.
Ce mercredi 20 janvier, Joe Biden, 46ème président des Etats-Unis, prêtera serment. La veille, le nouveau locataire de la Maison Blanche a fait ses adieux à l'Etat du Delaware, et confié dans un discours très ému, ce terrible regret concernant son fils Beau, mort à 46 ans des suites d'un cancer du cerveau.
Manon Fiorot affronte l’Américaine Victoria Leonardo, le 20 janvier 2021 à Abou Dhabi, à l’Ultimate Fighting Championship (UFC), la plus prestigieuse ligue d’arts martiaux mixtes (MMA) au monde. La combattante âgée de 30 ans est seulement la deuxième Française à l’UFC. Focus. « C’est un rêve. Depuis que j’ai commencé le MMA, c’était mon but. » Ce 20 janvier 2021, Manon Fiorot s’apprête à devenir la deuxième Française de l’histoire après Zarah Fairn Dos Santos à évoluer au sein de l’Ultimate Fighting Championship (UFC), la plus prestigieuse ligue d’arts martiaux mixtes (MMA) au monde.La suite logique pour une combattante à la progression aussi linéaire que rapide. « J’avais déjà trois titres mondiaux, donc c’était le moment d’aller à l’UFC, expose-t-elle. D’autant que j’ai commencé le MMA tard et que j’ai déjà 30 ans. C’était maintenant ou jamais. C’était le bon timing ».Ex-championne de snowboardPourtant, Manon Fiorot aurait pu prendre une voie totalement différente puisqu’elle a été championne chez les jeunes, en snowboard, un sport de glisse. « La vie a fait que je me suis retrouvée dans un sports-études à la montagne, relativise-t-elle. Là-bas, il y avait du snowboard et je me suis essayée à cette discipline. J’ai tout de suite accroché ».Mais la jeune femme est par la suite revenue à sa première passion. « J’ai commencé le karaté à l’âge de 7 ans, raconte-t-elle. Il y avait un club à côté de la maison. Et mon père pratiquait la lutte. On baignait déjà un peu dans les sports de combats. J’aimais le karaté, je regardais les films de karaté. Et mes copains pratiquaient le karaté ».Après plusieurs années sur les tatamis, l’intéressée est montée sur les rings pour des combats de K-1 et de boxe thaïlandaise, deux sports dans lesquels elle a également excellé rapidement.Des débuts délicats en MMA« En parallèle, j’ai débuté le MMA. » Une incursion dans le monde des arts martiaux mixtes délicate, au départ. « J’ai peut-être voulu aller un peu trop vite, souligne-t-elle. Je suis directement allée aux Championnats du monde amateurs [en 2016, Ndlr], alors que je pratiquais le MMA depuis même pas un an. Les débuts ont été un peu compliqués. Il y a eu des défaites ».Mais, finaliste lors des Championnats d’Europe amateurs 2017, Manon Fiorot retente sa chance à l’échelon mondial, quelques mois plus tard. Avec la médaille d’or au bout, cette fois.Confortée par ce succès aux Mondiaux 2017, elle se lance ensuite dans le milieu professionnel. Elle perd certes son premier combat pro, en juin 2018 en Belgique, au sein du Cage Warriors, une organisation britannique. Mais ce revers n’est qu’une simple parenthèse.Émission de télé-réalité sud-africaineEn 2019, changement de destination et de décor. Manon Fiorot s’envole pour Johannesburg afin de participer à une émission de télé-réalité organisée par l’Extreme Fighting Championship (EFC), ligue numéro une de MMA en Afrique. « C’est mon manager qui a trouvé cette opportunité, notamment grâce à mon titre de championne du monde amateure, explique celle qui s’entraîne au Boxing squad de Nice (Sud de la France). Mais, pour être honnête, je n’avais pas du tout envie de participer à ce genre d’émission. En plus, je ne parlais pas anglais. J’étais super stressée. Je savais que j’allais passer deux mois en Afrique du Sud. Ça a été une expérience assez compliquée à vivre mais, au final, j’ai réussi ».Gagnante du jeu, Manon Fiorot décroche alors un contrat à l’EFC où elle ne tarde pas à devenir reine. En décembre 2019, elle domine en effet nettement la Sud-Africaine Amanda Lino, icône du MMA dans son pays. « C’était la star d’Afrique du Sud. Tout le monde criait ‘Amanda’ lors de ce combat ! À ce moment-là, il y avait encore du public dans les tribunes. C’est un très bon souvenir. »Aux Émirats arabes unis, en terrain connuManon Fiorot devient alors championne du monde de l’EFC. Suite à ce sacre, elle se lance toutefois à l’assaut d’une autre organisation pro, l’UAE Warriors, basée aux Émirats arabes unis. Son bilan dans cette ligue ? Trois victoires par KO technique en 2020, autant de démonstrations, et un maximum de confiance engrangée avant de s’attaquer à l’UFC.D’autant que ses débuts dans le saint des saints du MMA se feront aux Émirats arabes unis, ce 20 janvier 2021. « C’est la quatrième fois de suite que je combats, ici. Je me sens super à l’aise, lance-t-elle. Je ne subis pas les effets d’un décalage horaire, contrairement à mon adversaire ».Lors de l’UFC Fight Island 8, elle va ainsi affronter l’Américaine Victoria Leonardo. Une adversaire dont les qualités ne semblent pas l’impressionner. Pas plus que son statut de deuxième Française à l’UFC. « Je suis concentrée sur mon combat. Je ne pense pas vraiment à tout ça, balaie Manon Fiorot. Maintenant que j’y suis, mon objectif va être de gagner mes prochains combats et d’intégrer le plus rapidement possible le top 10 ». Une élite, chez les poids mouche, où elle estime avoir « [sa] place, largement ».
PROCÈS - L’ancien Premier ministre Edouard Balladur est jugé avec François Léotard devant la Cour de justice de la République
À la fin des années 1990, Randy Spelling a décroché ses premiers rôles à la télévision. Si sa soeur aînée, Tori Spelling a réussi à se faire une place à Hollywood, pourquoi ce dernier a-t-il souhaité quitter Hollywood et changer complètement de vie ?
Ce mardi 19 janvier, une Thaïlandaise a été condamnée à 43 ans de prison pour avoir insulté la famille royale, la plus lourde peine jamais enregistrée dans le royaume pour crime de lèse-majesté, selon les experts. La condamnation à l'encontre de cette Thaïlandaise intervient alors que le pays intensifie son utilisation de l'article 112 (lèse-majesté) à l'encontre des militants du mouvement pro-démocratie qui réclament une réforme profonde de la toute-puissante monarchie. Mardi, Anchan, dont le nom de famille est tenu secret afin de protéger ses proches, a été condamnée pour 29 chefs d'accusation de lèse-majesté, selon l'ONG Thai Lawyers for Human Rights (TLHR), qui suit de près les procès pour lèse-majesté.Peine réduite de moitié« Elle a été reconnue coupable pour chaque chef d'accusation et condamnée à trois ans pour chacun », ce qui a porté la peine globale à 87 ans, a ajouté l'ONG. Parce que l'accusée a reconnu les faits – elle a posté des messages audio hostiles à la monarchie sur les réseaux sociaux –, « le tribunal a réduit la peine de moitié », soit 43 ans et 100 jours. Ancienne fonctionnaire, Anchan avait été arrêtée en 2015, puis maintenue en détention provisoire pendant trois ans, en raison de sa proximité avec le podcasteur « DJ Banpodj », connu pour ses critiques acharnées contre la monarchie.Avant la condamnation d'Anchan, la peine la plus sévère remontait à 2017, lorsqu'un homme avait été condamné à 35 ans pour une série de publications et de commentaires sur Facebook. L'utilisation de la loi sur le crime de lèse-majesté, appelée « 112 » pour sa section du Code pénal, reste controversée et son abolition est l'une des principales revendications du mouvement actuel mené par la jeunesse.« Des motivations politiques »La peine sévère prononcée mardi pourrait avoir « des motivations politiques », à savoir intimider les étudiants comme cela a pu fonctionner dans le passé, a déclaré l'analyste politique Titipol Phakdeewanich de l'université d'Ubon Ratchathani. Mais « quand on voit l'ampleur prise par le mouvement de la jeunesse depuis l'année dernière, c'est la preuve que (la loi) ne fonctionne plus comme le gouvernement le souhaite », a-t-il déclaré à l'AFP.L'expert estime au contraire que « son utilisation peut détruire la réputation de l'institution de la monarchie aussi bien au niveau national qu'international ». Depuis le lancement du mouvement à la mi-juillet 2020, plus de quarante militants ont été inculpés en vertu de la loi de lèse-majesté pour avoir participé à des manifestations réclamant la démission du Premier ministre, la réécriture de la Constitution et la réforme de la monarchie.(Avec AFP)
Camille Lou, la star de la future série de TF1 Je te promets, profite de vacances bien méritées et ensoleillées avec son nouveau chéri, Romain Laulhe.
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Ce devait être le baroud d’honneur du Sénat à Madagascar, hier, lundi 18 janvier. Il n’en a rien été. À la veille de la fin de leur mandat, les sénateurs ont présenté quatre rapports d’enquêtes parlementaires. Des enquêtes, lancées fin novembre, portant sur des thématiques très diverses : l’importation illégale d’armes de guerre sur l’île, les anomalies dans les listes électorales, la grande évasion de la prison de Farafangana en août dernier, mais aussi la gestion des fonds Covid-19. De notre correspondante à Antananarivo, Sarah TétaudSi des révélations étaient attendues, les rapports se sont contentés de souligner un manque de transparence de l’administration malgache dans ces affaires, déjà maintes fois pointées du doigt par la société civile et les médias sans apporter de nouveaux éléments. ►À lire aussi: Madagascar: un rapport épingle de nombreux problèmes dans la gestion des fonds Covid-19Ils voulaient apporter plus de transparence et d’éclaircissements sur certains dossiers chauds de ces deux années passées sous le régime d’un président de la république issu d’une autre couleur politique que la leur, montrer qu’ils remplissaient leur rôle de contrôle de l’action du gouvernement et terminer, disaient-ils, « leur mandat en beauté ».Des enquêtes limitéesLes sénateurs n’ont pas franchement réussi leur coup. Leurs rapports d’enquête se limitent à souligner des anomalies, incohérences, et opacités qui ont déjà été mis en exergue par le passé, par d’autres entités que la leur.Jean-Rémy Rafidiarison, président de la commission d’enquête sur la gestion des fonds Covid, se défend : « Nous, on a voulu faire l’enquête Madame ! Mais ce n’est pas de notre faute, puisque les personnalités, les ministres, les directeurs généraux concernés n’ont pas répondu à nos convocations pour être auditionnés. (NDLR : Les ministres des Finances, de l’Intérieur, de l’Eau, de la Population, de la Communication, ainsi que le Maire et le Préfet de la capitale ainsi que le coordonnateur général du Centre Opérationnel de Commandement Covid-19 ne se sont pas présentés à leur convocation, affirme le Sénat. Seul l’ex-ministre de la Santé, Ahmad Ahmad est venu répondre aux questions des sénateurs). Le ministère chargé de l’Economie et des Finances en personne a dit “cela ne le concerne pas.” Pourquoi ils ne sont pas venus ? Hein ? D’après vous ? C’est qu’il y a quelque chose qui ne va pas là, quelque chose à cacher. Il reste donc à la population d’en tirer la conclusion : ça a été mal géré. »Avant de rappeler que ceux ou celles qui refusent de se présenter devant la commission d’enquête sont passibles, selon la loi 2015-007 « de 2 ans d’emprisonnement ».Manque de moyensLes sénateurs expliquent aussi avoir manqué de moyens. Leur budget a été coupé en octobre dernier pour réunir des preuves probantes des fautes commises par les membres du gouvernement actuel. « Ces enquêtes, nous les avons faites sur fonds propres », affirme ainsi le sénateur Jafetra Randriamanantsoa, président de la commission d’enquête sur l’évasion dans le milieu carcéral à Farafangana.Pourquoi, aussi, avoir attendu la veille de la fin de leur mandat pour rendre publics ces rapports d’enquête, qui concernent des faits survenus il y a dix mois pour les anomalies des listes électorales. Au sujet des 23 prisonniers abattus par les forces de l’ordre à Farafangana le 23 août dernier, le premier Questeur du Sénat, Mourad Abdirassoul botte en touche : « L’essentiel, c’est que l’information est sortie et que tout le monde sait quelles sont les failles de l’exécutif par rapport à ce massacre. »Ces failles déjà connues, nommées et pointées du doigt par la société civile il y a plusieurs mois. Par leur ultime action, les sénateurs ont surtout réussi à prouver que le dernier bastion institutionnel qui se disait de l’opposition depuis l’élection d’Andry Rajoelina, n’en était finalement pas vraiment un.
Pascal Obispo s'est lancé dans un grand projet. Le 8 janvier dernier, il a dévoilé son application Obispo All Access, sur laquelle il promet de nombreux podcasts. Certaines des interviews seront d'ailleurs menées par son épouse Julie Hantson, qu'il a souhaité défendre sur un point.