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Grâce à Twitter et Facebook, il décroche un poste de community manager

Capture d'écran du compte Twitter «Bescherelle ta mère».

L'auteur des comptes «Bescherelle ta mère», star des réseaux sociaux, a reçu une offre d'emploi d'une agence de com.

Trouver l’emploi de ses rêves grâce aux réseaux sociaux, Sylvain Szewczyk l’a fait. Ce Lyonnais, auteur des comptes Twitter et Facebook «Bescherelle ta mère», débarquera à Paris dès le mois de mai pour travailler au sein de l’agence de communication Marcel, en tant que community manager. Un poste qu’il n’osait espérer.

Fidèle à ses habitudes, c’est sur les réseaux sociaux que le jeune homme a annoncé la nouvelle. Avec, en prime, une annonce pour trouver un appartement dans la capitale.

Grâce à ce compte, j’ai trouvé un emploi à Paris, merci à tous ! Je recherche donc un 2ch vers Montmartre (coloc) si quelqu’un a une piste.

— Bescherelle ta mère (@Bescherelle) 16 avril 2014

Pourtant, rien ne laissait penser que ce jeune homme d’à peine 21 ans exercerait un jour ce métier. En tout cas, jusqu’au mois de mars 2014, date à laquelle Sylvain Szewczyk considère avoir connu la «notoriété». Alors que «Bescherelle ta mère» ne cesse de voir son nombre de fans augmenter, sur Twitter comme sur Facebook, France 2 contacte le jeune internaute afin de réaliser un reportage pour le journal télévisé. «C’est à ce moment-là que Bescherelle est entré en contact avec moi, raconte-t-il. Un matin, j’ai reçu un avertissement en me connectant sur Facebook. C’était Hatier, qui me demandait de retirer la photo du Bescherelle affichée sur la page

Le jeune homme a aussitôt contacté le service juridique de Hatier, leur expliquant qu’il «n’avait pas l’intention de leur faire du tort». «Ils m’ont demandé de faire les démarches pour retirer le mot Bescherelle des pages Facebook et Twitter. Mais je ne l’ai pas fait de suite, j’ai temporisé. Le lendemain, le service de communication me rappelait, en m’expliquant qu’ils voulaient juste que je me détache de la marque plus clairement, mais que je pouvais garder mon compte. Ça n’était pas dans leur intérêt que je le supprime.» (...) Lire la suite sur Liberation.fr

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