Publicité

Greffe rénale : quand le don issu de votre vivant sauve un proche

Maladies non-transmissibles : réduire d'un tiers les décès d'ici 2030

Du 16 octobre au 3 novembre, l'Agence de la biomédecine lance sa campagne de sensibilisation sur la greffe de rein à partir d'un donneur vivant. Objectif : informer sur les conditions de prélèvement et le nombre de vies à sauver chez les patients atteints d'insuffisance rénale chronique. Depuis ce lundi 16 octobre et jusqu'au 3 novembre se déroule la campagne d'information sur le don du rein de son vivant. Créée par l'Agence de la biomédecine, cette dernière vise à renseigner les Français sur cet acte altruiste encore mal connu. Des brochures sont distribuées dans les centres de dialyse et auprès des associations de patients. Ces mêmes documents sont téléchargeables sur le site de l'Agence de la biomédecine. Répondre aux donneurs ! Pour suivre la campagne sur Facebook, rendez-vous sur la page « Dons d'organes et de tissus ». Toutes les informations précisant les démarches à effectuer sont disponibles sur le site www.dondorganes.fr. Vous y trouverez les réponses aux questions les plus communes sur ce sujet. Des exemples ? Qui peut donner un rein à qui ? A condition d'être majeur (et compatible), « le donneur peut être le père ou la mère du receveur, son conjoint, son frère ou sa soeur, son fils ou sa fille, un grand-parent, son oncle ou sa tente, son cousin ou sa cousine germaine, le conjoint de son père ou de sa mère ». Mais aussi toute personne « apportant la preuve d'une vie commune d'au moins deux ans avec le receveur, ou bien d'un lien affectif étroit et stable depuis au moins deux ans avec le receveur» ; Quels tests sont effectués pour choisir le donneur ? Tout donneur potentiel est hospitalisé pendant quelques jours pour effectuer un bilan clinique (évaluation du risque chirurgical...), radiologique (observer l'anatomie précise du rein), biologique (tester la compatibilité sanguine et tissulaire HLA* entre le duo donneur-receveur) et psychologique (apprécier les éventuelles conséquences (...) Lire la suite sur destinationsante.com


Cancers : les généralistes, pas assez informés
Purificateurs d’air : une efficacité loin d’être prouvée
L’eau, polluée, gaspillée, cher payée
Recevez la newsletter de Destination Santé
Accédez à la rubrique Destination Femme