Accusée d'avoir une mauvaise influence sur son amie Loana, qui a été hospitalisée à la suite d'une overdose, Sylvie Ortega Munos a répondu à Steevy Boulay, Kenza Braiga et d'autres Lofteurs. Elle a notamment dénoncé leur hypocrisie, eux qui ne prendraient jamais de nouvelles de la star.
Ce mercredi 24 février, sur RMC, le journaliste Alain Marschall a exprimé son incompréhension et sa colère devant une décision prise par la préfecture de police de Paris dans le cadre de la crise sanitaire.
Le Premier ministre prendra la parole ce jeudi, pour faire le point sur la lutte contre l'épidémie de Covid-19, dont l'évolution est jugée "préoccupante" dans certaines régions.
Les amis et les proches de Tonton David lui ont rendu un ultime hommage lors de ses obsèques. Sur Twitter, la chanteuse Princess Erika a dévoilé un aperçu de ses funérailles en toute intimité.
Hélène Darroze est l'une des amies les plus proches de Laeticia Hallyday. La cheffe, qui fête ses 54 ans ce 23 février, s'est toujours montrée d'un soutien à toutes épreuves.
Un régime riche en fructose pourrait empêcher le bon fonctionnement du système immunitaire d'une manière qui, jusqu'à présent, restait largement inconnu.
Sur le plateau de C à vous, ce mardi 23 février, Jordan Bardella a taclé les militants d’Europe Ecologie-Les Verts, en assurant qu’ils souhaitent que l’on "abandonne nos libertés".
Opéré d'urgence aux jambes après un terrible accident de la route, mardi, dans la banlieue de Los Angeles, Tiger Woods est toujours hospitalisé mais ses jours ne sont pas en danger.
Ce mercredi 24 février, la légende Alain Prost souffle ses 66 bougies. S'il n'a plus rien à prouver sur les circuits, le pilote peut également être fier de ses trois enfants, Nicolas, Sacha et Victoria.
En Chine, la vaccination anti-Covid-19 sera-t-elle bientôt possible pour les enfants ? C’est, en tous cas, ce que laisse entendre les responsables de Sinopharm, l’un des géants chinois du médicament. De notre correspondant à Pékin,Il ne s’agit encore que d’une annonce, mais elle n’est pas passée inaperçue. Différents sites des médias d’état dont celui du Pangpai ont repris cette annonce de Liu Jingzhen, le président de Sinopharm qui a également donné une interview à la télévision centrale de Chine. Il rappelle que le vaccin inactivé proposé par le groupe pharmaceutique chinois a déjà été administré a plus de 43 millions de personnes dans le monde, dont 34 millions en Chine… Et puis qu’un nouveau vaccin est en phase de développement et que ce dernier pourrait être administré à l’avenir aux plus jeunes. « Pour la tranche d’âge 3 à 17 ans, le résultat de nos expérimentation clinique ne montre pas de grande différence par rapport aux personnes âgées de 18 à 59 ans. Voilà pourquoi je pense que nous pourrons bientôt vacciner les plus jeunes également quand la vaccination sera ouverte », dit-il. 50 millions de Chinois bientôt vaccinésIl n’y a pas de date précise annoncée. Mais cette élargissement de la vaccination aux enfants et aux adolescents serait une première. Pour l’instant en Chine, le vaccin est réservé aux 18 à 59 ans.►À lire aussi: Covid-19: en Chine, une campagne vaccination de masse avant le Nouvel An lunaireEn principe 50 millions de Chinois de cette tranche d’âge devaient être vaccinés avant les vacances du nouvel an lunaire. C’était en tout cas l’objectif affiché par les autorités sanitaires. Deux vaccins inactivés sont utilisés ici principalement : Sinovac et Sinopharm. La campagne de vaccination dite « d’urgence » -avant la fin des essais de phase III- a commencé l’été dernier. Des soldats, des diplomates, des hommes d’affaires, des étudiants se rendant à l’étrangers, puis les soignants, les travailleurs médicaux, les personnels de la chaîne du froid comme les employés de restaurants et des supermarchés, les taxis aussi.Quand on commande un taxi à Pékin, on peut voir via l’application si le chauffeur est vacciné ou non. On est donc toujours dans cette phase dite d’urgence réservée à certains groupes professionnels et limitée en âge effectivement, 18 à 59 ans.Un dentiste sexagénaire interrogé disait regretter de ne pas avoir eu sa dose. Une décision basée sur la prudence disaient les laboratoires qui ont manqué de cohortes de gens mineurs et de personnes âgées dans leurs essais.Des essais de phase II sur les enfantsDans le cas de Sinopharm, des chercheurs ont parlé d’essais de phase II menés sur les 3 à 17 ans avec un nouveau vaccin cette fois à protéines recombinantes développé en partenariat avec l’institut de virologie de Wuhan. Ces essais seraient concluants selon Yang Xiaoming, le PDG du China National Biotec Group, filiale de Sinopharm.Ces essais se poursuivent, le système immunitaire des enfants étant encore en développement, ça demande une plus longue surveillance. La Chine se prépare en tous cas à étendre sa campagne de vaccination. Les plus âgés comme à l’étranger, au Maroc notamment où les vaccins chinois inactivés sont déjà administrés aux plus de 60 ans. Mais aussi auprès des plus jeunes.En tout cas, des affiches ont fleuri devant les résidences en Chine depuis le début du mois, invitant les habitants à prendre contact avec les autorités sanitaires pour se porter candidat au vaccin.
Les équipes de vaccination ont mélangé des restes de flacons pour constituer une "septième" dose, en plus des six autorisées par flacon, selon nos confrères de France Bleu Normandie.
Hier, face à la presse, le mouvement Rohy est monté au créneau en incriminant le régime et sa manière d'« instrumentaliser les forces de l’ordre ». Avec notre correspondante à Antananarivo, Sarah Tétaud Madagascar, le 18 février dernier, alors qu’il participait à une manifestation estudiantine pour réclamer le versement des bourses d’études, suspendu depuis quatre mois, un étudiant de Tamatave décède des suites d’une blessure par balle. Deux jours après, le gouvernement publie un communiqué dans lequel il explique que la mort du jeune homme est imputable à « un tir de sommation ». La goutte d’eau de trop pour la société civile malgache qui s’est dite « atterrée » par de telles explications.Faraniaina Ramarosaona, coordinatrice nationale du mouvement Rohy, a fait part de sa grande inquiétude face au climat de peur ambiant, soigneusement entretenu par le pouvoir actuel. « Un maintien de l’ordre plus répressif que préventif », une utilisation des forces de l’ordre dévoyée de sa fonction première. « Nous avons l’impression nette que les forces de l’ordre, à l’heure actuelle sont là pour protéger politiquement le pouvoir au lieu d’assumer leur vrai rôle dans le maintien de l’ordre. A savoir de faire en sorte que les manifestations pacifiques se passent bien. Le pouvoir actuel ne supporte aucun doute, aucune critique, il a une très faible volonté de concertation ou d’écoute alors qu’on est quand même en 2021 et non plus dans les années 80-90. Il considère comme ennemis de la nation tous ceux qui sont détracteurs - dont l’opposition -, et tous ceux qui veulent manifester pacifiquement et ils imputent un complot politique derrière toute manifestation publique. C’est un jeu dangereux parce que manifester, je le rappelle, est un droit, dans un pays qui se dit démocratique. »Quant à l’attitude actuelle de l’opposition, décrite comme « jusqu’au-boutiste et peu constructive » par la société civile, cette dernière rappelle que « pendant les élections présidentielles, il y a eu 52% de taux d’abstention. C'est-à-dire que plus de la moitié de la population a décidé de ne voter ni pour M. Rajoelina ni pour M. Ravalomanana. Ce qui signifie également que les deux protagonistes et leurs partisans n’ont pas le droit de penser que le pays leur est acquis. » En cas de nouvelle crise politico-sociale, prévient enfin la société civile, les deux parties seront tenues pour pleinement responsables de l’avènement de cette situation.
Le consultant rugby de Radio France Guy Accoceberry estime que "quelqu'un a fauté" pour qu'un cluster se forme au sein de l'équipe de France de rugby.
La vocation du chercheur israélien Clinton Bailey, un spécialiste des bédouins ayant accumulé des centaines d'heures d'enregistrements sonores sur cette société nomade, est née lorsqu'il faisait son jogging dans le désert du Néguev, en Israël.
PODCAST - Dans « Minute Papillon! », entretien audio avec Mathilde Cousin, journaliste vérificatrice de faits, notamment sur les réseaux sociaux, à propos de décès survenus après une vaccination contre le Covid-19
Le Sénat américain a confirmé, mardi, à son poste celle que Joe Biden a nommé ambassadrice des États-Unis à l'ONU, la diplomate chevronnée et fine connaisseuse de l'Afrique Linda Thomas-Greenfield. C'est un succès pour le président démocrate dont d'autres nominations font néanmoins face à de plus fortes oppositions. Le Sénat américain a confirmé, mardi 23 février, à une très large majorité, Linda Thomas-Greenfield au poste d'ambassadrice des États-Unis à l'ONU.Diplomate chevronnée qui fut secrétaire d'État adjointe pour l'Afrique sous l'administration de Barack Obama, Linda Thomas-Greenfield, 68 ans, a été confirmée par 78 voix contre 20 à la chambre haute, qui a le pouvoir d'approuver ou de rejeter les nominations présidentielles.À l'ONU, à New York, les attentes sont grandes au sujet de la nouvelle ambassadrice, qui aura un rang de ministre contrairement à sa prédécesseure sans expérience internationale."Difficilement pire"Ces dernières années, "les États-Unis ont été plutôt absents des débats aux Nations unies, de ses activités (...), des processus de décisions", relève un ambassadeur sous couvert d'anonymat. "J'espère une meilleure dynamique", ajoute un de ses collègues membre du Conseil de sécurité."Ça peut difficilement être pire qu'avec l'administration sortante qui était unilatéraliste à l'excès, qui est sortie de traités, agissait avec la menace. On avait touché le fond et cela ne peut qu'être plus positif", renchérit un troisième ambassadeur en évoquant une ex-administration "dysfonctionnelle".Ce qui est le plus attendu, c'est "un changement d'attitude à l'égard des alliés européens", maltraités par l'administration Trump, indique un diplomate, également sous anonymat. Sous Donald Trump, Washington a bloqué des textes des Européens, proposé des contre-projets et même brandi son droit de veto."Preuves d'amour"À l'ONU, les États-Unis seront aussi attendus sur le règlement de leurs arriérés, estimées à environ 1,3 milliard de dollars, dont 700 millions pour l'année en cours. "Les discours, les promesses c'est bien, mais les preuves d'amour sonnantes et trébuchantes c'est mieux que l'amour", résume un diplomate.Le Sénat a également confirmé à une écrasante majorité Tom Vilsack, 70 ans, comme ministre de l'Agriculture, un poste qu'il avait occupé tout au long de la présidence Obama (2009-2017) : 92 voix en faveur et sept contre.D'autres membres choisis par Joe Biden pour son cabinet font face à de plus fortes résistances, dont son candidat pour diriger le ministère de la Santé, Xavier Becerra, qui passait, mardi, sur le gril des sénateurs en commission."J'ai du mal à voir comment un candidat aussi radical et sous-qualifié pourrait occuper un poste aussi crucial à un moment aussi critique" de la pandémie de Covid-19, a déclaré le chef des sénateurs républicains Mitch McConnell.Les démocrates disposent d'une infime majorité au Sénat : avec 50 sièges contre 50 républicains, ils peuvent compter sur la voix de la vice-présidente Kamala Harris, qui a le pouvoir de départager les votes à égalité. S'il garde le soutien de tous les démocrates, Xavier Becerra, 63 ans, pourra donc être confirmé et devenir le premier Hispanique à la tête de ce ministère.Le Sénat a jusqu'ici confirmé moins de la moitié des 23 membres du cabinet de Joe Biden, arrivé au pouvoir le 20 janvier.Avec AFP
Le maire RN de Perpignan réagissait sur BFMTV-RMC à la mort de deux adolescents en Essonne dans le cadre de rixes.
Marilou Berry a accordé lundi une interview au journal "Libération". La jeune femme a une nouvelle fois affirmé sa position en faveur de sa cousine Coline Berry et en a profité pour s'en prendre à ses détracteurs.
Elle est sur TF1 depuis la création de la chaîne ! Découvrez quelle star incontournable de la Une a dû refuser de participer à Danse avec les stars, et ses explications…
La Fondation pour la préservation des orangs-outans de Bornéo (Borneo Orangutan Survival Foundation - BOSF) a remis en liberté dix singes dans leur habitat naturel sur l’île indonésienne.