GALA VIDEO - Fanny Leeb : après son cancer, son père Michel Leeb donne de ses nouvelles
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Voici - Florent Pagny atteint d'un cancer : cette décision radicale qui pourrait avoir de lourdes conséquences
Fern Wormald, mordue par un animal ou un insecte inconnu, vit dans la peur constante d'une septicémie mortelle depuis cinq ans.
L’hypertension artérielle est la maladie chronique la plus présente en France. Impliquée dans les maladies cardiovasculaires ou même neurodégénératives, elle peut être responsable de démences, mais ses effets sur le cerveau sont encore mal connus. Dans une nouvelle étude, des chercheurs ont mis en évidence le rôle de la pression artérielle dans la perte des fonctions cognitives et ont identifié les régions du cerveau pouvant être impactées à long terme par cette maladie.
Le syndrome d’apnée du sommeil est un trouble qui provoque un arrêt de la respiration pendant le sommeil. Le manque d'oxygène qui en résulte active un réflexe de survie, qui vous réveille juste assez (sans que vous en soyez forcément conscient) pour reprendre votre respiration. Si ce réflexe vous maintient en vie, il interrompt également votre cycle de sommeil.
Encore à l’essai, un traitement prometteur pourrait améliorer le bien-être et l'espérance de vie des personnes souffrants d'insuffisance cardiaque. On vous explique.
Les chercheurs ont voulu déterminer l'impact des programmes diététiques sur la prévention des décès chez certains patients.
Avec l’arrivée du printemps, vous souffrez de gêne respiratoire, de toux sèche. C’est vraisemblablement de l’asthme allergique, une maladie chronique des bronches.
Les grimaces trahissent une douleur contenue, les regards pensifs se perdent à travers les hublots... Dans ce Boeing 737, les passagers sortent de l'ordinaire: dans leur âme et dans leur chair, tous ont été touchés par la guerre en Ukraine."C'est la première fois que je prends l'avion. J'aurais aimé me rendre au Danemark dans des circonstances normales, en vacances par exemple, pas pour aller à l'hôpital à cause d'un traumatisme", témoigne Mykola Fedirko.Sur son poignet, un bracelet en silicone avec l'inscription "Ukraine". Sur sa jambe gauche, des broches métalliques fichées directement dans le tibia pour stabiliser la fracture subie en défendant son pays.Vendeur de profession devenu soldat par nécessité, le jeune homme de 22 ans au visage émacié a reçu un éclat d'obus tandis qu'il tenait une tranchée face aux troupes russes dans la région de Donetsk.Accompagné de sa petite amie, "Kolya", son diminutif, est l'un des quelque 2.000 patients à avoir été évacués d'Ukraine pour être réacheminés un peu partout sur le continent depuis le début des hostilités. Des blessés de guerre pour la plupart mais aussi des civils nécessitant de gros traitements.L'AFP est le premier média international à embarquer sur l'un de ces vols d'évacuation sanitaire ("evasan") réalisés par la Norvège dans le cadre d'une collaboration avec l'Union européenne."Nous avons établi ce projet à la demande de l'Ukraine (...) afin d'alléger le fardeau pesant sur les hôpitaux ukrainiens", explique Juan Escalante, responsable du Centre (européen) de coordination de la réaction d'urgence (ERCC).Un mécanisme "sans précédent à l'échelle continentale" mis en place en "un temps record", fait-il valoir.En Ukraine, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a dénombré 859 installations sanitaires touchées par des attaques depuis le début de l'invasion russe le 24 février 2022.Les bombardements d'hôpitaux, de maternités ou encore d'entrepôts de médicaments font que près d'un demi-million de personnes y sont privées chaque mois de l'aide médicale requise, selon les autorités norvégiennes.- Chassé-croisé -Avant d'effectuer des sauts de puce - Amsterdam, Copenhague, Berlin, Cologne et Oslo en deux jours - pour disséminer les patients, le Boeing 737 de SAS transformé en hôpital volant met le cap sur le sud-est de la Pologne et l'aéroport de Rzeszow, à 70 kilomètres de la frontière ukrainienne.Un hub dont l'importance stratégique saute aux yeux: de part et d'autre de l'unique piste, des dizaines de missiles antiaériens pointent vers le ciel, parés à contrer d'éventuelles menaces venues des airs.Si c'est sur cet aérodrome que les patients en provenance d'Ukraine sont redistribués vers le reste de l'Europe, c'est aussi ici que les Occidentaux acheminent armes et munitions destinées à leurs alliés ukrainiens. Dans un cruel chassé-croisé, pendant que des estropiés de guerre sont transférés sur des brancards dans le Boeing médicalisé, d'immenses avions-cargos dégurgitent des palettes de munitions quelques mètres plus loin sur la même aire de stationnement. Sur le vol "evasan", l'équipage est civil et le personnel médical militaire. Dans un semblant de normalité, une hôtesse de l'air distribue pizzas, snacks et sodas dans les rangées.Lui aussi touché aux jambes, Oleksiï Radzivil, 28 ans, engloutit sa Margherita arrosée d'un Coca.Détonnant dans la gravité ambiante, cet homme aux cheveux ébouriffés et aux fines lunettes métalliques, ingénieur logiciel avant la guerre, ne se départit jamais de son sourire. Pas même quand il recouvre ses esprits après qu'une roquette russe a détruit son véhicule, le propulsant plusieurs mètres en l'air, en décembre à Bakhmout, épicentre de combats dans l'est de l'Ukraine."J'ai souri parce que j'étais en vie", se souvient-il.Depuis, il est passé par six hôpitaux dans son pays. "J'espère que je vais guérir (...), que les médecins européens aux Pays-Bas pourront me venir aide", dit-il.- 'Lutter contre Poutine' -Sur le Vieux Continent, ces transferts de patients sont présentés comme une forme de contribution à l'effort de guerre."Leur présence ici en Espagne est une autre façon de lutter contre Poutine", soulignait la ministre espagnole de la Défense, Margarita Robles, en visitant l'hôpital militaire de Saragosse l'an dernier.Avec ses 20 couchettes, ses moniteurs, ses équipements de transfusion et de respiration artificielle, ses innombrables flacons d'antibiotiques, le Boeing a tout "d'une petite unité de soins intensifs volante", résume Håkon Asak.Ce lieutenant-colonel du service de santé de l'armée norvégienne arbore lui aussi fièrement un bracelet bleu et jaune "Free Ukraine"."Nous n'avons jamais déploré de décès à bord, Dieu merci", dit-il."La plupart des patients ont l'air d'aller bien mais ils sont encore dans un état grave et nous savons que certains de ceux qui ont été évacués dans différents pays n'ont pas survécu à toute la durée du traitement", précise l'officier.- Rentrer -Derrière le manche, un vieux briscard.Dans sa première vie, au crépuscule de la Guerre froide, Arve Thomassen a été un pilote de chasse qui interceptait les appareils soviétiques dans l'Arctique. A 60 ans, ce truculent Norvégien se dit heureux d'achever sa carrière sur une bonne cause."Quand vous transportez des passagers vers la Méditerranée pour des bains de soleil, c'est le business normal, je ne dirais pas ennuyeux mais ordinaire", dit-il depuis son cockpit. "Tandis que ça, nous en tirons beaucoup de fierté mais aussi d'humilité", ajoute-t-il.Au fil des missions, les impressions s'accumulent, comme autant de coups de dague au cœur: les grands brûlés, cet homme défiguré évoquant les "gueules cassées" de 14-18, et puis ce môme de trois ans atteint de leucémie."C'est impossible à oublier", reprend le commandant de bord. "Une chose, ce sont les soldats blessés mais des enfants souffrants... ça fait toujours forte impression sur quelqu'un, je pense".Pour certains passagers, un sommeil providentiel permet de dérober quelques minutes aux souffrances.Vladyslav Chakhov, lui, ne dort pas. Entrepreneur devenu pilote de blindé, ce barbu brun aux yeux d'un bleu perçant est atteint de tetraparésie, une faiblesse musculaire touchant les quatre membres, depuis qu'un éclat lui est entré dans la nuque."Je ne suis pas à l'aise à l'idée de quitter mon pays", assure le jeune homme de 24 ans. "A l'hôpital en Allemagne, j'espère qu'ils me remettront sur pied rapidement pour que je puisse rentrer".vk-phy/map/sg
La France entend bien prendre une longueur d'avance dans la course à l'intelligence artificielle au service du diagnostic des cancers.Ces médecins pourraient bientôt compter sur le précieux renfort de l'intelligence artificielle (IA).
Le bilan provisoire de l'épidémie de maladie à virus de Marburg qui sévit depuis plus de deux mois en Guinée équatoriale s'établit à 9 morts confirmées, a indiqué jeudi le ministère de la Santé.Mercredi, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) avait appelé la Guinée équatoriale à lui signaler les cas de virus de Marburg en raison de craintes de contaminations plus répandues qu'annoncées.
Alors que l’obésité augmente de façon alarmante chez les plus jeunes, l’Assurance maladie a annoncé le lancement national de la "Mission retrouve ton cap", qui permettra un suivi 100% remboursé pour les enfants en surpoids ou à risque âgés de 3 à 12 ans.
Découvrez les prévisions du mois d'avril 2023 pour le signe du Cancer, soit les personnes nées entre le 21 juin et le 22 juillet.
C'est le premier cas d'infection humaine par ce champignon qui normalement ne s'attaque qu'aux arbres. Le patient infecté est indemne mais la maladie aurait pu lui être fatale.
Atteinte du syndrome de Gilles de la Tourette, Liv Elliot, une jeune australienne, partage ses difficultés, et se confie sur son quotidien.
La recherche et les techniques de pointe aident à mieux comprendre les troubles du neuro-développement (TND) et proposer des interventions adaptées aux personnes autistes, le plus tôt possible, explique à l'AFP le médecin Catherine Barthélémy, directrice du Groupement d'intérêt scientifique (GIS) Autisme et TND. Grâce l'imagerie cérébrale et à la biologie moléculaire, qui permettent de comprendre comment fonctionne le cerveau sans entrer dedans, la science avance beaucoup plus vite pour comprend
Cristina a souffert d'obésité pendant de nombreuses années à la suite de traitements hormonaux pour pouvoir tomber enceinte. Pour vaincre l'obésité, elle a eu recours à une chirurgie bariatrique (ou "sleeve"), qui vise à modifier l'anatomie du système digestif. Cristina nous parle de l'importance du suivi, de l'image d'elle même et de son rapport à l'alimentation aujourd'hui.
Après trois jours de soins pour une bronchite, le pape François est sorti en bonne forme de l'hôpital samedi, de retour au Vatican pour préparer les célébrations de Pâques.
CHRONIQUE. Pour maigrir, certains peuvent être tentés par des médicaments qui réduisent l’appétit. Ces traitements sont-ils vraiment efficaces sur le long terme ?
"Je suis encore vivant": après trois jours de soins pour une bronchite, le pape François est sorti en bonne forme de l'hôpital samedi, de retour au Vatican pour préparer les célébrations de Pâques.Le jésuite argentin, âgé de 86 ans, souffre de problèmes de santé chroniques. Il se déplace en fauteuil roulant en raison de douleurs au genou et a subi une opération du côlon en juillet 2021.Mercredi, le Vatican avait annoncé qu'il se rendait à l'hôpital Gemelli de Rome pour des examens programmés, avant d'admettre qu'il avait éprouvé des difficultés à respirer et souffrait d'une "infection respiratoire" nécessitant un traitement antibiotique.Le pape est finalement sorti de l'hôpital samedi matin, visiblement en bonne forme, plaisantant volontiers avec les nombreux fidèles et journalistes massés aux abords de l'établissement romain."Je suis encore vivant", a lancé le pontife, descendu quelques instants de sa petite Fiat blanche avant de repartir vers le Vatican.Vendredi, il avait effectué une visite surprise dans le service d'oncologie pédiatrique de l'hôpital, apportant aux enfants des œufs en chocolat, des chapelets et des livres.François a également baptisé un nouveau-né de quelques semaines. Sur une vidéo et des photos diffusées par le Vatican, on voit le pape, souriant, appuyé sur un déambulateur, écrivant sur un papier et aspergeant d'eau bénite la tête du nouveau-né.Le pape doit présider la messe du dimanche des Rameaux place Saint-Pierre. Cette cérémonie marque le début de la Semaine sainte précédant les célébrations de Pâques, principal temps fort de l'année chez les chrétiens.- Lourde opération -L'évêque de Rome avait déjà été hospitalisé une dizaine de jours à l'hôpital Gemelli en juillet 2021 pour une lourde opération du côlon. Il a reconnu avoir gardé des "séquelles" de l'anesthésie, qui l'ont poussé à écarter jusqu'ici une intervention chirurgicale au genou.Les douleurs causées par cette articulation, qui l'ont notamment obligé à annuler plusieurs rendez-vous en 2022 et à reporter un voyage en Afrique, sont au cœur de conjectures sur son éventuelle renonciation.Le chef de l'Eglise catholique a toujours laissé la porte ouverte à cette possibilité. Son prédécesseur Benoît XVI avait renoncé à sa charge en 2013, prenant le monde entier par surprise. Après avoir évoqué en juillet la possibilité de se "mettre de côté", il avait jugé en février que la "démission" d'un pape ne devait "pas devenir une mode", assurant que cette hypothèse ne figurait "pas sur son agenda pour le moment".Le pape est suivi en permanence par une équipe de soignants, au Vatican comme lors de ses déplacements à l'étranger.Un précaution d'autant plus nécessaire qu'il a derrière lui un lourd passé médical: à 21 ans, il a failli mourir d'une pleurésie et a subi l'ablation partielle d'un poumon.bur-cmk-gab/lch
Éternuements, nez qui coule, yeux et gorge qui piquent… Les allergies respiratoires sont loin d’être de tout repos. Et la pollution atmosphérique ne fait malheureusement qu’aggraver les choses. Comment agit-elle exactement ? Et comment s’en protéger ? Explications et conseils du Dr Jean-Marie Nguyen, médecin allergologue.