GALA - Gouvernement : ce qu'il faut connaître
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Sauve-qui-peut - Après avoir revendiqué un « succès » lors des négociations avec Elisabeth Borne, la droite semble bien moins enthousiaste sur le contenu du texte
S’il ne bougera pas sur les 64 ans, le gouvernement est prêt à plusieurs évolutions sur sa réforme. Une clause de revoyure est défendue par le Modem et Horizons. « C’est en bonne voie, j’ai confiance », assure Laurent Marcangeli, président du groupe du parti d’Edouard Philippe. Sur les carrières longues, les LR et des membres de la majorité veulent éviter à certains de travailler 44 ans. Mais la mesure coûte 2 milliards d’euros. Peut-être le prix de l’adoption de la réforme à l’Assemblée…
Le Premier ministre burkinabè a proposé la création d'une "fédération" entre son pays et le Mali, tous deux confrontés à la violence jihadiste et dirigés par des militaires putschistes qui ont exigé le départ des soldats français de leurs territoires. Les précisions de Nina Masson.Lire la suite sur FRANCE 24
Fin de carrière - « On peut diminuer son temps de travail et donc son salaire, et de le compenser par une partie anticipée, un versement anticipé de sa pension de retraite », indique le ministre
Les manifestations contre la très controversée réforme de la justice portée par le gouvernement israélien reçoivent depuis une quinzaine de jours un soutien inattendu : banquiers, économistes et start-uppers montent eux aussi au créneau pour dénoncer les risques que fait peser un recul de la démocratie sur l’économie. En Israël, le secteur financier est en pleine turbulence. Alors que le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, est, jeudi 2 février, en visite officielle en France, analyst
Un mois après l’investiture de Lula à la présidence, ce fut au tour des parlementaires de faire leur rentrée, mercredi 1er février, au Congrès à Brasilia et d’élire leurs présidents. Un vote tendu trois semaines après la tentative de coup d’État, mais qui a finalement débouché sur un statu quo. On prend les mêmes et on recommence. Arthur Lira a été réélu président de la Chambre des députés et Rodrigo Pacheco a été réélu président du Sénat. En dépit de l’alternance et du départ de Jair Bolsonaro,
Un mois après les annonces du gouvernement largement inspirées des travaux du Sénat, le sénateur LR, Patrick Chaize vient de déposer sa proposition de loi sur la sécurisation de la chasse. Le texte d’une quinzaine d’articles prévoit d’instaurer un délit d’alcoolémie, mais n’impose pas de jour sans chasse ni la délivrance de certificat médical annuel pour les chasseurs. Les écologistes réintroduiront ces mesures lors du débat parlementaire.
Apparenté au groupe LR, l’élu de la 8e circonscription des Français de l’étranger devra repasser devant les électeurs.
Le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, s'est dit "convaincu" jeudi qu'il y aura une majorité au Parlement pour voter le très contesté projet de réforme des retraites, critiqué jusqu'au sein du camp présidentiel. Sur le projet de réforme, qui sera examiné à l'Assemblée nationale à partir du 6 février après avoir été débattu en commission, le ministre de l'Economie a assuré qu'il y avait "des marges de discussion au Parlement", énonçant comme seule limite "l'équilibre financier en 2030 du rég
Élisabeth Borne a accordé une interview à France 2 jeudi 2 février, pour défendre la réforme des retraites. La Première ministre assure que son projet de loi « protège les femmes qui ont commencé à travailler tôt ».
Face à une opposition grandissante à sa réforme des retraites, Elisabeth Borne s'explique jeudi soir sur France 2 sur le sens de son projet, qu'elle défend comme "juste" même si elle demande un "effort", autant que sur sa stratégie.La Première ministre sera interrogée pendant 35 minutes par la journaliste Caroline Roux dans l'émission "L'événement". Mais elle ne participera pas au débat qui suivra.Elle entend "continuer à expliquer cette réforme, à rappeler pourquoi elle est indispensable pour sauver le système de retraites", selon son entourage, tout en ayant "conscience de ce que travailler progressivement plus longtemps représente pour les Français"."Je mesure ce que cela représente pour beaucoup de Français et je sais que nous ne sommes pas tous égaux devant le travail. C'est pourquoi nous avons veillé à répartir le plus équitablement possible l'effort", a-t-elle fait valoir devant le Sénat mercredi.Après une mobilisation record mardi, avec entre 1,2 et 2,7 millions de personnes dans la rue, et en attendant deux nouvelles journées d'action la semaine prochaine, le gouvernement dit "entendre" et "comprendre" la colère des Français.Mais Mme Borne a aussi serré la vis en affirmant dimanche que le report de l'âge de départ à 64 ans, qui cristallise le mécontentement, n'était "plus négociable". Alors que l'exécutif cherche désespérément les mots justes pour vendre sa réforme, il s'agit aussi de son montrer résolue sur les fondamentaux: car "l'hésitation est mortelle", résume un ministre. Ce raidissement expose à d'éventuels blocages, que 60% (+3 points en une semaine) des Français "comprendraient", selon un sondage Elabe publié mercredi, tandis que 71% restent opposés à la réforme. Avant de s'exprimer sur la chaîne publique, la Première ministre a soigné cette semaine sa majorité qui n'est que relative à l'Assemblée. Le texte y a fait des débuts laborieux en commission, avant l'arrivée cruciale dans l'hémicycle à partir de lundi prochain, où chaque voix comptera.Elle s'est d'abord rendue lundi soir devant le bureau exécutif du parti présidentiel Renaissance pour "mobiliser" ses troupes et leurs demander de "porter" la réforme, qui "demande des efforts" mais "sauve le système".Puis mardi, elle a participé à l'Assemblée à l'intergroupe de Renaissance et des partis alliés, Horizons et MoDem, au moment où s'élançait la manifestation parisienne contre son projet, qui suscite des critiques jusqu'au sein du camp présidentiel. "La majorité sera unie", a-t-elle assuré.- "Discipline" -Elle pourra mesurer l'efficacité de son message lors de l'intervention d'Edouard Philippe, président d'Horizons, sur BFMTV deux heures avant qu'elle ne se présente sur France 2. Accusé de ne pas suffisamment soutenir le gouvernement, ce partisan d'un report de l'âge de départ jusqu'à 65, 66 voire 67 ans, irrite au sein de Renaissance alors que son groupe parlementaire sème la confusion, certains députés menaçant de voter contre ou de s'abstenir.La Première ministre "va devoir faire un peu de discipline", juge un ministre, car le débat parlementaire "ce sera un combat de rue", ajoute un conseiller de l'exécutif.Outre sa majorité, Elisabeth Borne veille au grain chez les Républicains, divisés sur la réforme. Or leur soutien lui permettrait de la faire adopter sans passer par le 49.3, outil constitutionnel vu comme autoritaire.Elle a ainsi reçu mercredi matin à Matignon le président du parti Eric Ciotti et le chef de file des députés Olivier Marleix.Peu après, M. Marleix a évoqué un terrain d'entente sur les carrières longues. "La balle est dans le camp du gouvernement", a-t-il dit. LR demande une dérogation aux 64 ans pour les salariés ayant commencé à travailler avant 21 ans. Le député Aurélien Pradié en a même fait une condition de son vote en faveur du texte.Après l'interview d'Elisabeth Borne, qui se terminera vers 21h15, un duplex est prévu avec des représentants syndicaux, dont le patron de la CFDT Laurent Berger, puis un débat politique où le gouvernement sera représenté par le ministre des Comptes publics Gabriel Attal. Il échangera avec la députée de La France insoumise Clémentine Autain, le président du Rassemblement national Jordan Bardella et celui de LR Eric Ciotti.are/jmt/lpa/bow
Le Sénat a massivement voté en faveur d’un texte du groupe socialiste visant à inscrire dans la loi des ratios minimum de soignants par patient dans les établissements de soins. Pour le groupe socialiste, à l’initiative du texte, il s’agit d’assurer de « meilleures condition de travail » au personnel hospitalier d’améliorer la prise en charge des patients.
POLICE - Le projet de réforme de la police judiciaire doit être modifié en profondeur, estime ce rapport publié ce jeudi
Changement de pied au Sénat: la chambre haute à majorité de droite a voté mercredi en faveur de l'inscription dans la Constitution de la "liberté de la femme" de recourir à l'IVG, une formulation qui abandonne la notion de "droit" chère à la gauche, mais permet à la navette parlementaire de se poursuivre.Une rédaction qui ne fait plus référence au "droit" à l'IVG, ce que déplore unanimement la gauche, tout en assumant d'avoir agi "en responsabilité" pour permettre à la navette parlementaire de s
Par un vote unanime au Sénat ce mercredi, les Parlementaires ont adopté une proposition de loi LR qui relève, à partir de 2026, le montant des pensions en changeant leur mode de calcul.
Après le vote historique du Sénat sur la constitutionnalisation du droit à l’IVG, Philippe Bas (LR), auteur de l’amendement de compromis adopté hier soir, met la pression sur l’exécutif. « Il faut qu’il dise s’il veut un référendum ou s’il veut qu’on passe par le Congrès »
En octobre dernier, la Commission des lois du Sénat avait justifié son refus qualifiant « la démarche purement proclamatoire et symbolique ». Cette adoption est une « avancée historique », se félicite la sénatrice écologiste Mélanie Vogel.
À l’origine de la première mouture du texte, la sénatrice EELV Mélanie Vogel, estime au HuffPost qu’Élisabeth Borne doit sortir de « l’hypocrisie » sur cette question.
Pas gagné - Le Sénat, à majorité de droite, a voté mercredi en faveur de l’inscription dans la Constitution de la « liberté de la femme » de recourir à l’IVG
Après un vote historique au Sénat le 1er février, le Parlement a fait un pas de plus vers la constitutionnalisation du droit à l’avortement Mais le chemin vers la révision de la Constitution est encore loin. Explications sur la suite du parcours législatif de cette proposition de loi constitutionnelle.