GALA - Gouvernement : ce qu'il faut connaître
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Après avoir gardé confidentiel un rapport de l'Inspection général des finances sur les profits des sociétés d'autoroute, le gouvernement semble enfin décidé à s'attaquer à la durée des contrats.
Dans un entretien accordé à nos confrères de Têtu, le ministre du Travail revient sur les menaces dont il a été la cible lors des débats sur la réforme des retraites.
L'ancien Premier ministre socialiste Bernard Cazeneuve appelle le Emmanuel Macron à "suspendre la réforme des retraites" et à rechercher "un compromis" avec les organisations syndicales, dans un communiqué à l'AFP. "La mise sur pause de la réforme contestée peut créer les conditions d'une sortie par le haut de la crise, et mettre fin à la spirale de la violence", écrit M. Cazeneuve, qui vient de créer un mouvement, La Convention, pour rassembler les forces de gauche social-démocrates hostiles à
Apolline de Malherbe était en forme ce vendredi matin pour recevoir François Ruffin à son micro de BFMTV. En voulant...
parlement - Le chef de l’Etat a annoncé mercredi que le projet de loi sur l’immigration serait finalement découpé en plusieurs textes. Une stratégie pour tenter de le faire adopter plus facilement par le Parlement
Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva, 77 ans, a été contraint samedi en raison d'une pneumonie de reporter sine die sa visite d'Etat en Chine, où il devait notamment aborder le conflit en Ukraine avec son homologue chinois Xi Jinping.Lula devait initialement se rendre en Chine samedi, mais en raison d'une "pneumonie légère" le déplacement, qui implique une vingtaine d'heures d'avion, avait été reporté vendredi d'une journée.
EXPERTISE - Téhéran, en proie à une révolte depuis plusieurs mois, a profité des troubles en France pour critiquer la gestion du gouvernement
Alors qu’Emmanuel Macron a annoncé son intention de scinder le projet de loi immigration en plusieurs textes, les députés LR devraient déposer leur propre proposition de loi sur le sujet. Invité de Public Sénat et LCP, le sénateur LR François-Noël Buffet, président de la commission des lois, indique réfléchir lui aussi à présenter un texte qu’il a déjà préparé.
Quelques heures après l'adoption d'une loi qui pourrait lui permettre de se maintenir au pouvoir en cas de condamnation dans son procès pour corruption, Benjamin Netanyahou s'est engagé jeudi à "mettre fin à la division au sein du peuple" près bientôt trois mois de manifestations massives.
Le député LFI-NUPES de la somme est l'invité d'Apolline de Malherbe dans le face-à-face sur BFMTV.
Voilà quarante ans que les stations-essence indépendantes voient leur nombre dégringoler à cause de la main basse de la grande distribution sur le secteur. Le couperet fatal de le Covid-19 et de la crise énergétique a parachevé la tendance, qui devrait encore s'accroître dans les années à venir.
Stanislas Guerini, le ministre de la Transformation et de la fonction publique, était l’invité d’« Extra local » sur Public Sénat ce vendredi 24 mars. Il a reconnu que la colère sociale déclenchée par la réforme des retraites mettait momentanément en suspend la volonté de réforme du président de la République. Il se refuse toutefois à parler de crise des institutions.
La France a "besoin" d'un "texte ferme contre l'immigration irrégulière", a plaidé vendredi le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin, qui a promis le retour "dans quelques semaines" de son projet de loi, reporté par Emmanuel Macron."La Première ministre travaille en ce moment avec les présidents des assemblées et dans quelques semaines nous aurons de nouveau une discussion sur l'immigration", a-t-il assuré, ajoutant que "la France a besoin" d'une telle loi.
Emmanuel Macron s'est dit vendredi "à disposition de l'intersyndicale" pour discuter des questions liées au travail, mais sans remettre en cause sa réforme des retraites. Le chef de l’État ne veut pas d'un "pays à l'arrêt" et entend "continuer à avancer" malgré la colère sociale qui a provoqué le report de la visite d’État de Charles III.Au lendemain d'une nouvelle journée de mobilisation marquée par un regain de violences, le patron de la CFDT Laurent Berger a appelé, pour "apaiser les choses", le chef de l’État à mettre "en pause" pendant six mois le projet phare de son second quinquennat.Depuis Bruxelles, où il assistait à un Conseil européen, Emmanuel Macron n'a pas accédé à cette demande."J'ai indiqué notre disponibilité à avancer sur des sujets comme l'usure professionnelle, les fins de carrière, les reconversions, l'évolution des carrières, les conditions de travail, les rémunérations dans certaines branches", a déclaré le président français. "Et donc je suis à la disposition de l'intersyndicale si elle souhaite venir me rencontrer pour avancer sur tous ces sujets". "Pour le reste et la réforme des retraites, elle est devant le Conseil constitutionnel et il est évident que nous attendrons la décision du Conseil constitutionnel", d'ici moins d'un mois, a-t-il précisé.Les syndicats avaient demandé, le 8 mars, à être reçus en urgence par Emmanuel Macron, qui leur avait alors opposé une fin de non-recevoir. La Première ministre Élisabeth Borne les avait alors renvoyés vers le ministre du Travail Olivier Dussopt.-"Bon sens" pour Charles III-Emmanuel Macron a également dû se justifier sur le report de la visite d’État de Charles III, prévue de dimanche à mercredi."Le bon sens et l'amitié nous conduisent à proposer un report". "Nous ne serions pas sérieux et nous manquerions d'un certains bon sens", à "proposer une visite au milieu des manifestations", a-t-il dit.Charles III était notamment attendu à Bordeaux, théâtre d'incidents jeudi, où le porche de l'hôtel de ville a été incendié.Les dirigeants politiques se sont immédiatement emparés de ce report, à commencer par les opposants à la réforme des retraites. "La réunion des rois à Versailles dispersée par la censure populaire", s'est réjoui le leader de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon, en référence au dîner d’État qui était prévu au château des rois de France.Même tonalité à droite: "quelle image pour notre pays de n’être même pas en capacité d’assurer la sécurité d’un chef d’État", a réagi le patron des Républicains (LR), Éric Ciotti.Cette visite d’État, pour laquelle 4.000 policiers et gendarmes devaient être mobilisés, suscitait des interrogations croissantes, renforcées par le regain de tensions de jeudi."Il faut que tout le monde appelle au calme", a de son côté déclaré la présidente (Renaissance) de l'Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet.Entrée dans son troisième mois, la contestation dans la rue a rassemblé jeudi entre 1,089 million de personnes (Intérieur) et 3,5 millions (CGT). Les manifestants ont exprimé leur colère face au 49.3 utilisé par le gouvernement pour faire adopter la réforme et l'intervention mercredi du président de la République.Les syndicats, rassurés par les chiffres de la mobilisation, ont été aussi ragaillardis par des cortèges où les jeunes sont manifestement venus plus nombreux.Des lycées étaient de nouveau bloqués vendredi matin, à l'image de l'établissement Condorcet à Paris. Les syndicats lycéens Fidl et la Voix lycéenne appellent à une mobilisation à partir de lundi et jusqu'à la fin de la semaine.La violence qui n'avait jusqu'ici été que sporadique, a fait une entrée en scène spectaculaire jeudi.Porte de la mairie de Bordeaux incendiée, "scènes de chaos" dénoncées par la maire de Rennes, canons à eau à Lille et Toulouse, manifestante avec un pouce arraché à Rouen, commissariat pris pour cible à Lorient (Morbihan)... Des violences "inacceptables", a jugé Élisabeth Borne.- 457 interpellations -A Paris, des violences ont éclaté en tête de la manifestation avec leur lot de vitrines brisées et de mobilier urbain détruit, et des incidents se sont poursuivis tard dans la soirée dans le sillage de cortèges sauvages, à rebours d'un défilé où la grande majorité des manifestants a marché pacifiquement. Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a fait état vendredi de 457 interpellations, et de 441 blessés dans les rangs des forces de l'ordre.M. Darmanin a également fait état de onze enquêtes judiciaires confiées à l'Inspection générale de la police nationale (IGPN), alors que de nombreux responsables ou observateurs évoquent un durcissement du maintien de l'ordre."Nous avons une crise profondément politique, qui réclame une réponse politique et on y apporte une réponse policière", a dénoncé sur BFMTV le député LFI François Ruffin.Pour Marine Le Pen (RN), "Emmanuel Macron ne peut plus gouverner seul, il doit désormais en revenir au peuple".Le secteur de l'énergie (gaz, pétrole, électricité) reste particulièrement mobilisé mais l'approvisionnement du bassin parisien en carburants par la grande raffinerie de TotalEnergies de Gonfreville-L'Orcher en Normandie a repris vendredi après une intervention des forces de l'ordreEt les mobilisations anti-bassines dans les Deux-Sèvres ce weekend s'annoncent comme un sacré défi pour l'exécutif. grd-lby-chl-bpa/sde/gvy
Des milliers d'Israéliens se sont rassemblés samedi à Tel-Aviv pour continuer à protester contre la réforme judiciaire voulue par le gouvernement, avant une semaine cruciale qui devrait être marquée par d'autres dispositions législatives et de nouvelles manifestations de masse.Les manifestations se succèdent chaque semaine depuis la présentation en janvier par le gouvernement de Benjamin Netanyahu, l'un des plus à droite de l'histoire d'Israël, d'un projet de réforme qui divise le pays. Suscitant l'inquiétude dans le pays mais aussi à l'étranger, la réforme vise à accroître le pouvoir des élus sur celui des magistrats. Selon ses détracteurs, elle met en péril le caractère démocratique de l'Etat d'Israël. - "Valeurs" -"Nous sommes ici aujourd'hui pour manifester et joindre notre voix aux centaines de milliers, voire aux millions, d'Israéliens qui soutiennent les valeurs sur lesquelles ce pays a été fondé", comme la "démocratie" et la "tolérance", a déclaré à l'AFP Daniel Nisman, 36 ans, qui travaille dans le secteur de la high-tech. Samedi en début de soirée, des milliers de personnes étaient rassemblées à Tel-Aviv, selon un journaliste de l'AFP."De plus en plus d'Israéliens se réveillent", a estimé Josh Drill, un porte-parole d'un des mouvements de protestation, dit "des parapluies"."Nous n'allons pas vivre dans une dictature", a déclaré à l'AFP ce jeune de 26 ans.Les principaux alliés d'Israël, y compris Washington, ont remis en question les projets visant à donner plus de pouvoir aux politiques et à réduire le rôle de la Cour suprême. Le président américain Joe Biden a exprimé ses "inquiétudes" concernant ces réformes judiciaires, a déclaré mercredi la porte-parole de la Maison Blanche, Karine Jean-Pierre. Vendredi à Londres, où il a rencontré son homologue britannique Rishi Sunak, M. Netanyahu a également été accueilli par des centaines de manifestants.M. Sunak a souligné lors de la rencontre "l'importance de respecter les valeurs démocratiques qui fondent la relation (entre les deux pays), y compris dans le projet de réforme judiciaire en Israël", selon un porte-parole à Downing Street.- "Mettre fin à la division" -M. Netanyahu et ses alliés d'extrême droite et ultra-orthodoxes estiment nécessaire ce projet de réforme pour rétablir un rapport de force équilibré entre les élus et la Cour suprême, qu'ils jugent politisée.Les députés israéliens devraient se prononcer la semaine prochaine sur un des éléments centraux de la réforme, au coeur des inquiétudes de ses détracteurs, prévoyant le changement dans le processus de nomination des juges. M. Netanyahu, qui était jusque-là resté en retrait sur ce dossier, s'est engagé jeudi soir dans un discours à "mettre fin à la division au sein du peuple", tout en soulignant sa détermination à faire avancer la réforme.Le lendemain, il a été rappelé à l'ordre par la justice qui a jugé "illégale" son intervention publique, compte tenu de ses procès en cours pour corruption.Le texte du projet a été amendé en commission pour en adoucir la teneur en vue de parvenir à un vote plus large, mais sans l'appui de l'opposition qui continue d'exiger "une pause" dans le travail législatif sur la réforme avant toute négociation avec la majorité. rsc/ila/vl
La journée du jeudi 23 mars a été rythmée par de nombreux épisodes de violence partout en France. Dans la capitale, des éléments radicaux sont parvenus à déjouer la vigilance des forces de l’ordre pour commettre de multiples saccages dans la capitale. En région, le porche de la mairie de Bordeaux a été incendié. Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin ne pointe pas seulement du doigt les « black blocs ».
Vladimir Poutine et Xi Jinping ont salué hier l'entrée dans une "nouvelle ère" de leur relation "spéciale" face aux Occidentaux…. C’est le message délivré après la visite du président chinois en Russie. Vladimir Poutine a soutenu prudemment le plan chinois pour régler le conflit en Ukraine, tout en accusant Kiev de le rejeter.
PROJET - C’est une surprise, la ville de Nice annonce la création d’un nouvel espace de congrès pérenne qui sera le théâtre de la conférence des Nations unies sur les océans, organisée par la France et le Costa Rica en juin 2025
Les conseillers territoriaux martiniquais veulent pousser le gouvernement à élaborer une loi d'orientation et de programmation sur le chlordécone, un pesticide toxique relié à l'apparition de nombreux cancers dans les îles.
Deux personnes sont décédées parmi une quinzaine de migrants qui "suffoquaient" dans un train immobilisé par les autorités au Texas (sud des Etats-Unis) après un appel d'urgence anonyme vendredi, a annoncé la police locale dans un communiqué.Les garde-frontières américains ont arrêté le train à l'est de Knippa, une bourgade du sud du Texas non loin de San Antonio, a-t-elle précisé.