GALA - Gouvernement : ce qu'il faut connaître
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Deux jeunes militantes thaïlandaises pro-démocratie ont entamé le 18 janvier 2023 une grève de la faim en prison pour demander la libération de plusieurs activistes arrêtés pour crime de “lèse-majesté” – c'est-à-dire pour avoir critiqué la famille royale. Notre Observatrice, leur avocate, détaille comment ce motif permet largement de museler l’opposition démocratique. Badigeonnées de peinture rouge pour imiter le sang, Tantawan "Tawan" Tuatulanon et Orawan “Bam” Phuphong, deux jeunes militantes
Documentaire - L’acteur se confie dans un nouveau documentaire qui a été présenté au festival de Sundance
VOICI - Astérix et Obélix : pourquoi il y a eu de nombreux blessés sur le tournage du film
D'après l'armée russe, "les forces armées ukrainiennes ont frappé à dessein le bâtiment de l'hôpital local avec des lance-roquettes Himars".
VOICI - Danse avec les stars : l'élimination d'Anggun truquée ? Cette phrase de la chanteuse qui met le feu aux poudres
Lucas, un adolescent de 13 ans, vivant à Golbey, dans les Vosges, s’est suicidé le 7 janvier après avoir été harcelé en raison de son homosexualité.
Voici - Le comédien et metteur en scène Gérard Caillaud est mort à l’âge de 76 ans
VOICI Les enfants de la télé : taclé par Laurent Ruquier, Issa Doumbia se venge
En retrouvant sa femme après un séminaire, cet homme ne s'attendait certainement pas à trouver le caleçon d'un autre dans ses affaires.
Dans ses vœux pour l’année 2023 prononcés ce samedi 28 janvier, Pascal Affi N'Guessan, président du Front populaire ivoirien (FPI) et ancien Premier ministre de Laurent Gbagbo, a annoncé que son parti conclura « prochainement » une alliance avec le RHDP au pouvoir. Avec notre correspondante à Abidjan, Marine JeanninLa décision n’a surpris personne. Le président du FPI Pascal Affi N'Guessan n’a pas cessé de s’afficher en public avec Simone Gbagbo et Charles Blé Goudé, mais il n’a jamais caché non
VOICI : "Ma nièce bien-aimée" : Carla Bruni fait une touchante déclaration à Oumy, la fille de Louis Garrel
Plusieurs architectes se mobilisent au côté d'habitants de la cité populaire du Mirail, à Toulouse, pour éviter la destruction de 1.400 logements des années 1960, plaidant leur réhabilitation et dénonçant un projet désastreux sur le plan écologique et économique.Le "Grand d'Indy", barre massive de onze étages, se détache au dessus des arbres, non loin du lac de la Reynerie. L'immeuble, érigé en Y, abrite 243 logements sociaux et doit être détruit en 2023.Six autres bâtiments du quartier sont condamnés à disparaître pour laisser place à de plus petits, allant du pavillon individuel à l'immeuble collectif, suivant un plan soutenu par l'agence nationale de renouvellement urbain."Alors même qu'on manque de logements à Toulouse, c'est une aberration !", s'emporte Michel Retbi, architecte du collectif opposé au projet.Toulouse, quatrième ville de l'hexagone avec plus de 493.000 habitants, figure en zone immobilière tendue en raison d'une offre insuffisante.La démolition des ensembles bâtis par les architectes Candilis, Josic et Woods, inspirés de Le Corbusier, n'est plus défendable dans le contexte actuel de flambée des prix des matières premières et de crise climatique, selon le collectif."Démolir et reconstruire coûte trois fois plus cher que réhabiliter" et "le bilan carbone d'une démolition est le triple de ce que représente une réhabilitation", assure M. Retbi.La rénovation du quartier, à quinze minutes en métro du centre-ville, pourrait se mener sans démolition, martèlent-ils, plaidant pour un moratoire sur les destructions et un concours d'architecture pour imaginer le Mirail du futur.- Logements spacieux -Baptisés des noms de compositeurs et de peintres (Le Tintoret, Messager, etc.), ces grands ensembles "font partie des rares bâtiments qui n'ont pas bougé après AZF", précise Gilbert Pedra, autre membre du collectif.L'explosion de l'usine d'engrais AZF en 2001 a fait 30 morts et détruit ou endommagé près de 30.000 édifices.Ceux du Mirail ont conservé "une structure saine", assure l'architecte, poursuivant dans un éclat de rire: "les logements de luxe en plein centre-ville de Toulouse sont moins bons que ça, et en espace et en qualité, et c'est un architecte qui vous le dit !"Les appartements, presque tous logements sociaux, vont du T2 au T6 et sont "super", sourit Jacques Rovaris, 79 ans, qui occupe depuis plus de 40 ans un T2 au cinquième étage du Grand d'Indy.Avec 66 m2, un séjour lumineux et un large balcon d'où il voit les Pyrénées par beau temps, le retraité se dit "heureux". Un relogement dans "un appartement bien, mais plus petit" lui a été proposé, mais il "ne demande pas à partir, juste à faire quelques petites améliorations"."On peut imaginer toutes sortes de réhabilitations", assure Michel Retbi. Un argument appuyé par la présidente du conseil national de l'ordre des architectes, Christine Leconte, et les architectes Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal, lauréats du prix Pritzker 2021.- Mauvaise image - Ces bâtiments sont vus comme "des cages à lapin" et pâtissent d'une "mauvaise image", regrette Claire Martin, membre du collectif, regrettant l'"association faite entre la paupérisation du quartier et le bâti".Leur destruction s'inscrit dans la volonté politique de transformer le Mirail, miné par le trafic de drogue. Les autorités souhaitent créer de la mixité sociale en diminuant la part de logements sociaux au dessous de 50%.Si l'opération est onéreuse - le coût de la seule destruction est estimé à plus de 87 millions d'euros - Gaëtan Cognard, maire du quartier, assume ce choix: "les architectes pensent aux bâtiments, moi aux habitants"."Il s'agit de démolir maintenant pour nos générations futures", argue-t-il, estimant que les émissions de carbone d'une reconstruction aux normes actuelles seront compensées sur le long terme.Quant au manque de logements, "on ne va pas arrêter tous les chantiers de démolition, surtout quand" ils visent à "renouveler et améliorer le cadre de vie des habitants", estime-t-il.Un objectif auquel peine à croire Brigitte Touillet, 69 ans, habitante opposée au projet. Elle cite un autre secteur du Mirail où "ils ont construit des petits cubes partout"."On nous dit que cela a fait plus de mixité sociale, mais rien n'a changé. Quand on sort du métro, on peut toujours acheter toutes les herbes qu'on veut", raconte-t-elle, en allusion au trafic de drogue.cha/fpp/gvy
Le leader Insoumis considère que l’organisation d’une manifestation le week-end permettrait une plus ample mobilisation et ne concernerait pas seulement les salariés en emploi.
Voici une sélection de 7 BD pour célébrer l’édition 2023 du plus grand festival BD du monde, qui fête cette année son 50e anniversaire du 26 au 29 janvier.
Alors que diverses affaires ont secoué la profession, le Collège national des gynécologues et obstétriciens français se réunit afin de restaurer la confiance des patientes envers la profession. Examen gynécologique, douleur, violences... Peut-on refuser des examens ? Réponses.
Un protocole d'accord est soumis de 14H à 16H au vote des délégués du Congrès socialiste à Marseille, entérinant la victoire d'Olivier Faure comme premier secrétaire du PS, à l'issue de plusieurs jours de contestations internes.Selon la direction, le texte détermine que son rival Nicolas Mayer-Rossignol, sceptique vis-à-vis de l'alliance de gauche Nupes et qui contestait jusqu'à présent sa victoire, deviendra premier secrétaire délégué au côté de la maire de Nantes pro-Faure Johanna Rolland.Hélène Geoffroy, chef de file des anti-Nupes, prendra la présidence du conseil national, le parlement du parti. Des ajustements à la marge étaient encore en discussion à midi, au deuxième jour du Congrès, au Palais du Pharo."Nous sommes prêts à un accord", à l'issue d'un "échange transparent et démocratique", a expliqué Nicolas Mayer-Rossignol à la presse, après l'avoir présenté à ses partisans.Le maire de Rouen, critique sur l'alliance de gauche Nupes dont Olivier Faure est un artisan, a contesté pendant plusieurs jours la victoire du premier secrétaire sortant (avec officiellement 51,09%).M. Mayer-Rossignol dit incarner une ligne centrale, moins pro-Nupes que ne l'est celle d'Olivier Faure. Il ne cache pas ses réticences vis-à-vis de LFI et d'un accord qui a déçu beaucoup de socialistes.Interrogé par l'AFP pour savoir s'il reconnaissait que M. Faure était désormais sans conteste le premier secrétaire, il a défendu, sans précision, qu'il s'agissait d'une "gouvernance globale".Le terme "direction collégiale", qu'il souhaitait, n'a pas été retenu dans le texte, a précisé la direction.Les deux camps ont passé la nuit à négocier.- organigramme -Les discussions concernaient notamment la proposition d'Olivier Faure d'intégrer ses rivaux dans l'équipe de direction, mais en reconnaissance de sa victoire. "Il y a une architecture à construire dans le respect de ce que les militants ont exprimé", expliquait le chef des députés Boris Vallaud, c'est-à-dire un "équilibre des rapports de force" qui se traduit en "secrétaires nationaux thématiques" et dans "l’ordre dans l’organigramme".A l'issue d'un premier vote sur le texte d'orientation, Olivier Faure avait obtenu 49% des voix et le maire de Rouen autour de 30%, devant une troisième candidate, la maire de Vaulx-en-Velin Hélène Geoffroy (autour de 20%). Les négociations se sont notamment débloquées lorsque cette dernière, qui n'avait pas pu se maintenir et avait décidé de soutenir Nicolas Mayer-Rossignol, a indiqué qu'elle ne souhaitait pas intégrer la direction, mais rester dans l'opposition."Ils assument d'être la minorité, mais ne sont plus avec Nicolas Mayer-Rossignol, ce qui change la donne" et le rapport de force, explique une proche d'Olivier Faure."Notre but, c'est de rassembler les gens et de ne pas les écraser", a expliqué cette même source, alors que la guerre intestine que se livrent les deux camps a fracturé le parti et dégradé l'image du PS, déjà fragilisé par l'échec historique de sa candidate à la présidentielle, Anne Hidalgo (1,7%). Mais la proche du patron sortant du PS a souligné que chez les militants d'Olivier Faure, réunis vendredi soir, la tension avait été "forte", car ils étaient "remontés" après les accusations de fraudes dans le vote formulées par Nicolas Mayer-Rossignol.caz-bap/bpa/rhl
Trois personnes ont été tuées et au moins quatorze blessées ce samedi dans une frappe russe sur Konstantynivka, dans l'Est de l'Ukraine. Moscou accuse pour sa part Kyiv d'avoir ciblé un hôpital.
RECORD - Environ 360 œufs, 30 kg de sucre, autant de beurre… Le Centre de formation d’apprentis (CFA) d’Eschau, dans le Bas-Rhin, devrait présenter dimanche la plus grande galette des rois au monde.