GALA Emmanuel Macron : ce qu'il faut connaître
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La vice-présidente exécutive de Reconquête, invitée de 22h Max sur BFMTV ce jeudi soir, a pointé les "grandes embardées idéologiques" du Rassemblement national sur les retraites.
L'Ukraine a réagi suite aux déclarationx du CIO affirmant qu'"aucun athlète ne devrait être interdit de compétition sur la seule base de son passeport"
Laura Felpin a fait quelques confidences sur sa vie sentimentale dans le podcast de Lauren Bastide, La Poudre.
GALA VIDEO - Michel Legrand pas serein face à la mort : "Il en avait une peur bleue…”
La joueuse biélorusse a battu en trois sets en finale la Kazakhe Elena Rybakina.
Loin de faire l'unanimité auprès des téléspectateurs, Léa Salamé s'est d'ailleurs récemment attiré les foudres de ces...
La Bélarusse Aryna Sabalenka, 5e mondiale, a remporté samedi l'Open d'Australie, son premier titre du Grand Chelem, en battant en finale à Melbourne la Kazakhe et 25e mondiale Elena Rybakina 4-6, 6-3, 6-4.
La Bélarusse Aryna Sabalenka, 5e mondiale, a remporté ce samedi l'Open d'Australie, son premier titre du Grand Chelem, en battant en finale à Melbourne la Kazakhe et 25e mondiale Elena Rybakina 4-6, 6-3, 6-4. Avec ce titre, la joueuse de 24 ans va retrouver lundi le deuxième rang mondial, le meilleur classement de sa carrière.
Deux jeunes militantes thaïlandaises pro-démocratie ont entamé le 18 janvier 2023 une grève de la faim en prison pour demander la libération de plusieurs activistes arrêtés pour crime de “lèse-majesté” – c'est-à-dire pour avoir critiqué la famille royale. Notre Observatrice, leur avocate, détaille comment ce motif permet largement de museler l’opposition démocratique. Badigeonnées de peinture rouge pour imiter le sang, Tantawan "Tawan" Tuatulanon et Orawan “Bam” Phuphong, deux jeunes militantes
Son premier album qui sort vendredi s'appelle "Regarde-moi": pari gagné à 21 ans pour le Belge Pierre de Maere, avec deux nominations pour les Victoires de la musique françaises, avant des gros festivals d'été. Comme Stromae, qui travaille en famille, Pierre de Maere forme un binôme avec son grand frère, Xavier, 24 ans, ingénieur du son de formation.
Invité d'honneur du festival de la BD d'Angoulême, qui lui consacre une exposition, le célèbre mangaka révèle à BFMTV les secrets de ses histoires les plus terrifiantes. Attention spoilers.
En retrouvant sa femme après un séminaire, cet homme ne s'attendait certainement pas à trouver le caleçon d'un autre dans ses affaires.
Pour combler les manques de médecins spécialistes à l'hôpital de Nevers dans la Nièvre, un pont aérien vient d'être mis en place avec la grande ville voisine, Dijon. Ce jeudi, huit médecins sont arrivés en avion. Un déplacement hautement critiqué pour son impact carbone, mais qui simplifie la vie, assurent les docteurs.
Les observateurs soulignent un niveau "alarmant" de désinformation sur les réseaux sociaux lors de ces élections
Le Conseil de sécurité de l'ONU se réunit ce vendredi 27 janvier pour discuter de sa mission au Mali. Cette réunion intervient alors que le Haut Commissariat aux réfugiés (HCR) fait part d'exactions de groupes armés dans la nord du pays. Des violences qui poussent sur les routes de l'exil de nombreux habitants.Lire la suite sur FRANCE 24
Des centaines de manifestants en Iran, Irak et au Liban, ont dénoncé la "profanation" du Coran en Suède et aux Pays-Bas la semaine dernière. Ils appellent également au boycott de toutes les importations suèdoises.
Éric Zemmour a écopé de la plus lourde sanction. Seuls quatre candidats n’ont pas été sanctionnés par la CNCCFP.
La compagnie aérienne britannique Flybe a annoncé samedi avoir cessé son activité et annulé tous ses vols."Il est toujours triste de voir une compagnie aérienne (être placée sous) administration (judiciaire) et nous savons que la décision de Flybe de mettre fin à son activité sera éprouvante pour tous ses employés et clients", a-t-il déclaré.
Changer d'aire pour pouvoir respirer: depuis 2013, sur un terrain d'accueil de gens du voyage près de Lille pris en étau entre une centrale à béton et une briqueterie, des femmes mènent le combat pour revendiquer un environnement vivable."Qui habiterait à côté de ces usines? Normalement pas des êtres humains". Dans la cuisine de sa baraque, au côté de ses trois soeurs, Sue Ellen Demestre affiche une indignation intacte après une décennie d'engagement. Sa famille est sédentarisée, de fait, depuis 15 ans sur cette aire, où se serrent selon son décompte quelque 280 personnes. Un rideau d'arbres les séparent de la centrale à béton, un talus d'une concasserie de gravats. A l'origine, des familles avaient établi un campement "sauvage" sur un terrain tout proche pour y passer l'hiver. En 2007, une aire d'accueil est créée, la loi Besson imposant aux communes de plus de 5.000 habitants d'en disposer. D'abord satisfaits, les occupants déchantent quand apparaissent gale du ciment, conjonctivites et problèmes respiratoires, rapporte Sue Ellen. Sans compter le bruit et le ballet des camions. Mais faute d'autre solution et pour scolariser les enfants, ils prennent racine. Jusqu'à ce qu'en 2013, les Briqueteries du Nord s'installent. C'est la nuisance de trop, des femmes, dont la mère de Sue Ellen, créent un collectif, Da so vas, "Tendre la main" en dialecte tzigane. Pétitions, manifestations, réalisation d'un film s'enchaînent.- "On paie pour mourir" -"On a perdu notre belle-sœur de 42 ans d'un cancer généralisé. Son frère a aussi eu un cancer. Sur dix naissances, sept enfants finissent asthmatiques. Les personnes âgées ont des bronchites à répétition", liste Sue Ellen, qui pointe un "racisme environnemental". "Ici, on paie pour mourir", lâche sa sœur Lisa, car les occupants payent un loyer. "En juillet-août, c'est invivable: vous posez un téléphone, en deux minutes il est couvert de poussière". Sa nièce de 20 ans, mère de deux filles de 9 mois et 6 ans, sort le moins possible sa cadette, qui souffre de problèmes respiratoires et d'irritations des yeux. Aucun lien officiel n'a été établi entre l'état de santé des résidents et la pollution du site. En novembre 2020, la préfecture a demandé à la société bétonnière CCB d'évaluer à ses frais ses émissions. Les mesures seront réalisées "au deuxième trimestre 2023", assure CCB. Jusque là, aucun bureau d'études n'a accepté d'intervenir en raison du "risque de dégradation" du matériel par les résidents, plaide la société. "On peut faire toutes les mesures qu'on veut, de toute façon il y a de la poussière et elles ne veulent plus vivre là", balaie l'élu référent de la métropole lilloise pour les gens du voyage, Patrick Delebarre. La relocalisation de cette aire est désormais actée dans le Schéma Départemental d'Accueil des Gens du Voyage. Mais trouver d'autres terrains est complexe, souligne-t-il. - Une mobilisation "unique" -"La loi demande aujourd'hui qu'on mette ces gens dans des lieux salubres", alors qu'à l'époque, "la façon de voir consistait à dire +la loi oblige à les mettre dans un coin, mettons-les dans un coin+". Le Schéma départemental prévoit des terrains familiaux ou de l'habitat adapté, mêlant maisons et emplacements pour caravanes, car les aires "ne correspondent plus aux attentes des gens du voyage du Nord", largement sédentarisés, explique-t-il. Les communes de Ronchin et Hellemmes cherchent des terrains mais "on n'a plus beaucoup de parcelles publiques constructibles" et la place manque, affirme la mairie de Ronchin. Pour William Acker, juriste issu de la communauté des gens du voyage, le combat des femmes de cette aire, "parmi les pires" de France, est unique "même à l'échelle européenne". "Habituellement, les luttes sont éparses et s'épuisent très vite, le public des aires d'accueil ne peut pas se permettre de s'opposer frontalement à l'administration". "Qu'on le veuille ou pas, ils ont réussi à nous sédentariser", résume Sue Ellen. "Mais je veux qu'on le soit à notre façon. On veut aussi que plus tard nos enfants ait un boulot qui leur donne envie de se lever le matin".bj/cab/cbn