Janot, le père de Christophe Dominici, ne s'est toujours pas remis de la mort de ce dernier. Lui, qui ne dort presque plus, s'est confié pour la première fois dans les colonnes de Paris Match. Il a ainsi évoqué son ultime conversation avec son fils, deux jours avant son décès.
Aux abords d'un parc privé de Seine-et-Marne, Hercule, un sanglier domestiqué, a été abattu par des chasseurs.
Le Premier ministre prendra la parole ce jeudi, pour faire le point sur la lutte contre l'épidémie de Covid-19, dont l'évolution est jugée "préoccupante" dans certaines régions.
Ce 23 février 2021, Eryl Prayer, l'un des meilleurs amis de Loana, a donné de ses nouvelles dans "Touche pas à mon poste". Le sosie d'Elvis Presley a lancé un message à Sylvie Ortega, l'agent de l'ancienne lofteuse, accusée d'être une mauvaise fréquentation.
Nuit difficile pour Alizée et Maxime, l'un des binômes mythiques de Pékin Express. Dans la nuit du 23 au 24 février ils ont conduit en urgence leur bébé Thi-Waï à l'hôpital. Une épreuve vécue difficilement par le jeune papa resté à l'extérieur en raison de la crise sanitaire...
Dans une interview accordée à W magazine, George Clooney s'est confié sur sa vie de père de famille et d'époux. L'acteur a également révélé la chose qu'il ne fera jamais à sa fille, par peur de la réaction d'Amal.
Dans Ici tout commence, Gaëtan avoue ses sentiments à Noémie. Antoine apprend la vérité sur Valérie et prend une décision concernant sa relation avec Rose. Quant à Hortense, elle fait une découverte déconcertante et choquante.
Ce jeudi 25 février, Régis Laspalès fête ses 64 ans. L'occasion de revenir sur le duo qu'il a formé pendant trente ans avec Philippe Chevallier et sur les raisons de leur séparation en 2016.
WASHINGTON (Reuters) - Le groupe français AXA, Baker Hughes et seize autres sociétés ont progressivement réduit leur participation au projet de construction de l'oléoduc Nord Stream 2 et ne seront pas sanctionnés par Washington, selon un document que l'administration du président américain Joe Biden a transmis la semaine dernière au Congrès et que Reuters a pu consulter. Gazprom, le géant gazier détenu par l'Etat russe et principal promoteur de Nord Stream 2, s'évertue avec ses partenaires occidentaux à finaliser au plus vite l'oléoduc, qui doit acheminer du gaz naturel de la Russie vers l'Allemagne.
Ce mercredi 24 février 2021, les internautes n'ont pas caché leur mécontentement envers le comportement de Matthias de Top Chef. Selon eux, le candidat de la brigade de Philippe Etchebest n'a pas manqué de sexisme et de machisme envers sa co-équipière Charline.
Les Hommes qui arpentaient la Terre à cette époque ont peut-être cru à la fin des temps. C’était il y a 42.000 ans. Le champ magnétique de notre Terre s’est inversé provoquant, selon les chercheurs, une série d’événements dramatiques qui ont changé notre histoire.
Le maire RN de Perpignan réagissait sur BFMTV-RMC à la mort de deux adolescents en Essonne dans le cadre de rixes.
Un nouveau variant qui circule activement à New York inquiète les scientifiques en raison d'une mutation qui pourrait réduire l'efficacité des vaccins.
Sur le plateau de C à vous, ce mardi 23 février, Jordan Bardella a taclé les militants d’Europe Ecologie-Les Verts, en assurant qu’ils souhaitent que l’on "abandonne nos libertés".
Hier, face à la presse, le mouvement Rohy est monté au créneau en incriminant le régime et sa manière d'« instrumentaliser les forces de l’ordre ». Avec notre correspondante à Antananarivo, Sarah Tétaud Madagascar, le 18 février dernier, alors qu’il participait à une manifestation estudiantine pour réclamer le versement des bourses d’études, suspendu depuis quatre mois, un étudiant de Tamatave décède des suites d’une blessure par balle. Deux jours après, le gouvernement publie un communiqué dans lequel il explique que la mort du jeune homme est imputable à « un tir de sommation ». La goutte d’eau de trop pour la société civile malgache qui s’est dite « atterrée » par de telles explications.Faraniaina Ramarosaona, coordinatrice nationale du mouvement Rohy, a fait part de sa grande inquiétude face au climat de peur ambiant, soigneusement entretenu par le pouvoir actuel. « Un maintien de l’ordre plus répressif que préventif », une utilisation des forces de l’ordre dévoyée de sa fonction première. « Nous avons l’impression nette que les forces de l’ordre, à l’heure actuelle sont là pour protéger politiquement le pouvoir au lieu d’assumer leur vrai rôle dans le maintien de l’ordre. A savoir de faire en sorte que les manifestations pacifiques se passent bien. Le pouvoir actuel ne supporte aucun doute, aucune critique, il a une très faible volonté de concertation ou d’écoute alors qu’on est quand même en 2021 et non plus dans les années 80-90. Il considère comme ennemis de la nation tous ceux qui sont détracteurs - dont l’opposition -, et tous ceux qui veulent manifester pacifiquement et ils imputent un complot politique derrière toute manifestation publique. C’est un jeu dangereux parce que manifester, je le rappelle, est un droit, dans un pays qui se dit démocratique. »Quant à l’attitude actuelle de l’opposition, décrite comme « jusqu’au-boutiste et peu constructive » par la société civile, cette dernière rappelle que « pendant les élections présidentielles, il y a eu 52% de taux d’abstention. C'est-à-dire que plus de la moitié de la population a décidé de ne voter ni pour M. Rajoelina ni pour M. Ravalomanana. Ce qui signifie également que les deux protagonistes et leurs partisans n’ont pas le droit de penser que le pays leur est acquis. » En cas de nouvelle crise politico-sociale, prévient enfin la société civile, les deux parties seront tenues pour pleinement responsables de l’avènement de cette situation.
Opéré d'urgence aux jambes après un terrible accident de la route, mardi, dans la banlieue de Los Angeles, Tiger Woods est toujours hospitalisé mais ses jours ne sont pas en danger.
Plus d'un an après avoir abattu, officiellement « par erreur », un avion d'Ukraine International Airlines au-dessus de Téhéran, les explications fournies par l'Iran ne convainquent pas les experts des Nations unies. Ils dénoncent une tentative pour dissimuler la vérité et s'interrogent sur le caractère accidentel des tirs de missiles à l'origine du crash. De notre correspondant à GenèveTrois jours après le drame, l'Iran avait expliqué avoir pris le Boeing pour un missile américain, en pleine tension militaire avec les Etats-Unis après l'assassinat en Irak du puissant général iranien Qassem Soleimani. Sauf que des zones d'ombre demeurent. Et que Téhéran ne fait rien pour les dissiper. Pire : les explications des autorités iraniennes « ajoutent à la confusion » selon la rapporteure spéciale de l'ONU sur les exécutions extrajudiciaires, Agnès Callamard, et le rapporteur sur la situation des droits de l'homme en Iran, Javaid Rehman, les deux experts indépendants chargés d'enquêter sur le drame.Dans une lettre de 45 pages adressée en décembre au gouvernement iranien et tout juste rendue publique, ils démontent point par point la ligne de défense des autorités. L'unité des Gardiens de la révolution à l'origine des tirs a par exemple affirmé qu'elle n'avait eu que « 10 secondes » pour prendre sa décision. Faux répondent les enquêteurs, qui estiment que les militaires ont eu 45 secondes, sinon plus, pour réaliser qu'il s'agissait d'un avion civil. Un mauvais alignement des missiles serait également en cause. Mais l'Iran « n'a pas expliqué la raison de ce mauvais calibrage de radar, et pourquoi il a conduit à viser [le Boeing] ».Pour Agnès Callamard, « les explications de l'Iran ne tiennent pas la route : elles sont pleines de contradictions et sont contredites par les faits et par les analyses techniques. […] J'ai interrogé des dizaines d'experts, des militaires à tous les niveaux. Et eux non plus ne comprennent pas pourquoi ces procédures basiques n'ont pas été suivies, que ce soit au niveau de l'approche visuelle ou de l'instruction sur les radars ».Le 8 janvier 2020, deux missiles, à 30 secondes d'intervalle, ont touché le vol PS 752 d’Ukraine International Airlines, dont la carlingue s'est ensuite écrasée dans un champ près de Téhéran. 176 personnes ont été tuées : 169 passagers, en majorité des Iraniens et des Canadiens, ainsi que 9 membres d'équipages.D'après les enquêteurs de l'ONU, si l'Iran redoutait une frappe américaine, elle aurait dû fermer son espace aérien. Si l'Iran l'avait fait, « 176 personnes n'auraient pas été tuées ». Au regard du droit international, l'Iran aurait ainsi manqué à son devoir de protéger le « droit à la vie » des victimes.Des responsabilités à tous les niveauxMais la réaction des autorités après le drame interpelle également. L'Iran a mis trois jours avant d'admettre les tirs de missiles. Pendant ce temps, des bulldozers ratissaient sans ménagement le site du crash, « compromettant les tentatives de comprendre sa véritable cause ». L'Iran a également fait obstacle au rapatriement des corps des victimes canadiennes et menacé d'autres familles de victimes, érigées en « martyrs ».Quant aux manifestations spontanées qui ont suivi partout dans le pays pour réclamer que toute la lumière soit faire sur les causes du drame, elles ont été durement réprimées. Des centaines de manifestants ont ainsi été arrêtés et interrogés, pendant que les services de téléphonie et internet étaient coupés. Les forces de sécurité n'ont pas hésité à tirer à balles réelles sur les manifestants, visant parfois « directement la tête ».Au début du mois, un autre élément est venu jeter le trouble. Les médias publics canadiens ont révélé l'existence d'un enregistrement, attribué par CBC Radio Canada au ministre iranien des Affaires étrangères Mohamad Javad Zarif, dans lequel il laisse entendre que les tirs de missiles pourraient bien avoir été prémédités. La vérité sur le crash « ne sera jamais révélée » peut-on l'entendre dire. Les autorités « ne nous le diront pas, ni à personne d'autre, parce que s'ils le font, cela va ouvrir les portes du système de défense national, et ce n'est pas dans l'intérêt du pays ». Les services de renseignement canadiens n'ont pour le moment pas confirmé l'authenticité de l'enregistrement.« Pourquoi l'Iran ment ? Instinctivement, on se dit que c'est parce qu'ils veulent cacher quelque chose, qu'il y a peut-être beaucoup plus grave », interroge Agnès Callamard. L'Iran a mené sa propre enquête. Au moins trois personnes auraient été interpellées par les autorités. Mais leurs identités n'ont pas été communiquées, ni même les raisons de leur arrestations. En avril 2020, un responsable religieux a même affirmé que « contrairement aux informations officielles, personne n'avait été arrêté » en lien avec le crash.Les experts doutent que trois individus seuls puissent être responsables de la mort des 176 personnes à bord du vol PS 752. Pour Agnès Callamard, la liste des responsables est sans doute bien plus large. « C'est d'abord à l'État iranien de reconnaître sa responsabilité. Mais ce n'est pas vraiment ce que nous avons vu pour le moment. »
Les affrontements entre jeunes bandes rivales auraient augmenté en France. Doit-on y voir un lien avec la pandémie de Covid-19 ?
ANIMAUX - C’est la première opération du genre organisée depuis un an
Dans le match au sommet de la soirée de mercredi en NBA, Utah a donné un récital face aux Los Angeles Lakers, qu'il a laissé à 25 points pour s'imposer 114 à 89 et rester maître de la Conférence Ouest.