Un favori puni et un plan B à trouver chez les Bleus : la Coupe du monde au jour le jour
Place aux favoris
S’il n’y a qu’un favori, c’est lui : le Brésil de Neymar, pourvu dans tous les secteurs de jeu et bien guidé par Tite. Les quintuples vainqueurs de la Coupe du monde referment les matches de la première journée de la phase de poules, ce soir, contre la Serbie. Les exemples à ne pas suivre ? L’Argentine et l’Allemagne. Mercredi, la Mannschaft a pris la même impasse que l’Albiceleste dans un curieux numéro de mimétisme.
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Poussé par leurs fans, comme l’Arabie saoudite l’avait été la veille, le Japon a marqué deux buts en quelques minutes en seconde période alors qu’il était mené et largement dominé avant la pause (18 % de possession seulement). Il est permis de douter que le sélectionneur Hajime Moriyasu ait bombé le torse et haussé le ton comme Hervé Renard avec ses joueurs, mais les Japonais ont été transfigurés. Quant aux Allemands, ils ont longtemps bien joué mais ont oublié ce qui a fait leur légendaire réputation : la « Deutsche effikacität ». S’ils ne gagnent pas dimanche contre l’Espagne, très impressionnante face au Costa Rica (7-0), ils n’iront pas plus loin qu’en 2018…
La phrase : « C’est le meilleur gardien au monde, qui en doutait ? »
Eden Hazard se vante d’avoir senti le penalty arrêté par son partenaire Thibaut Courtois, bien aidé par le tir mou et presque au milieu d’Alphonso Davies. Après cet échec, le Canada a tenté une vingtaine de tirs mais le portier du Real Madrid, décidemment i...