Fausses couches : la fin d’un tabou ? (Téva) - "Si la parole était davantage libérée, il y aurait plus de connaissances"

En France, une grossesse sur quatre se solde pourtant par une fausse couche, soit environ 200 000 femmes, chacune avec son vécu et son parcours. Elles se sont peut-être tues par honte, culpabilité, pudeur ou tristesse mais elles n'oublient pas. Certaines témoignent...

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« Celles qui traversent l’épreuve d’une fausse couche ont l’impression que le ciel leur tombe sur la tête. Elles se pensent les seules concernées par cet événement, alors que cela touche nombre de femmes. Si la parole était davantage libérée, il y aurait plus de connaissances », déclare le Dr Richard Beddock. Elles sont plus de 200 000 en France à être confrontées à une interruption spontanée de grossesse.

Une gestation sur quatre aboutit à une fausse couche, et une femme sur dix en fera au moins une au cours de sa vie. Ce drame a longtemps été vécu par les femmes avec un sentiment de culpabilité. Mais les choses changent. Aujourd’hui, des personnalités comme Amel Bent, Michelle Obama ou Beyoncé se livrent sans tabou. Dans ce documentaire, trois femmes, parmi lesquelles Anaïs Delva, la voix française d’Elsa dans La Reine des neiges, qui n’a pas fait le deuil de sa fille Alma, morte au bout de 4 mois et demi de grossesse, évoquent sans détour leur drame personnel...

Fausses couches : la fin d’un tabou ?, mercredi 28 août à 22h35 sur Téva

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