“Il me fallait détruire, salir, tuer” : la lettre de suicide glaçante du “Grêlé” dévoilée

Elle a été la femme de François Vérove, dit le "Grêlé", ce tueur en série, accusé de meurtres et de viols sur mineurs de moins de 15 ans. Interrogée par une juge d'instruction, nos confrères du Parisien ont pu obtenir ses propos et les ont publiés dans un article du 6 décembre. Le 27 septembre dernier, l'homme est retrouvé mort, suicidé par overdose médicamenteuse. Avant de commettre l'irréparable, il laissera une lettre d'aveux à sa femme. L'ancien gendarme aurait avoué dans ce courrier qu'il se savait démasqué quand, le 24 septembre dernier, la PJ de Montpellier le convoque.

Son épouse se rappelle alors de sa dernière journée à ses côtés et "Le Grêlé" aurait été imperturbable : "Il n'a pas eu de changement de comportement du tout, c'est ça qui est incroyable (...) On dirait deux personnes. Il ne s'emportait pas, jamais de colère, jamais (...) Il m'a dit bisous, au revoir, chérie", se rappelle-t-elle. Mais le lendemain elle retrouvera une carte dans la cuisine d'un appartement loué au Grau-du-Roi. "Mon nom est François Vérove. Je viens de me suicider, en cas de coma ne pas me réanimer. Merci".

"Le Grêlé" : "Je traînais une rage folle"

Dans cette lettre, elle découvrira l'horreur : son époux qui vient de se donner la mort, reconnaît ses crimes : "Je traînais une rage folle qui a (sic) fait de moi un criminel. Par période, je n'en pouvais plus et il me fallait détruire, salir, tuer quelqu'un d'innocent". Un choc pour cette femme qui (...)

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