Faire l’amour une fois par semaine pour retarder la ménopause, vraiment ?

Il n’y aurait pas que la consommation d’huîtres et de poissons gras qui serait susceptible de repousser la ménopause, il y aurait aussi une vie sexuelle active.

Les premiers signes de la ménopause se font sentir en moyenne à l’âge de 47,5 ans. La ménopause survient quant à elle à 51 ans (toujours en moyenne). Elle correspond à l’arrêt définitif des menstruations pendant douze mois consécutifs. Si les symptômes qui l’accompagnent ne sont pas toujours des plus agréables à vivre - bouffées de chaleur, suées nocturnes, sécheresses vaginales… - ils ne sont pas une fatalité et ne touchent pas toutes les femmes. Certaines passent entre les gouttes quand d’autres se dirigent vers un traitement hormonal ou bien des médecines douces. Toujours étant que la ménopause reste perçue comme une étape compliquée, parfois même insupportable, si bien que nombreuses femmes l’appréhendent. Ainsi, une même question revient souvent : comment repousser la ménopause ? Une étude récente propose une nouvelle réponse. En trois mots, une sexualité active.

Tout ne se joue pas dans l’assiette

On sait aujourd’hui que les poissons gras protègent les ovaires du vieillissement et qu’en consommer peut différer de plusieurs mois la ménopause. Des apports élevés en vitamine B6 et en zinc semblent aussi retarder la ménopause. A l’inverse, il faudrait éviter de trop avaler de pâtes blanches et de riz. Mais les « solutions » ne se trouvent pas toutes dans l’assiette. Selon une étude publiée en janvier 2020 dans la revue « Royal Society Open Science », avoir des rapports sexuels une fois par semaine...

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