Comment faire entrer de l'alcool en festival ?

Parce que la musique, c'est bien, mais que vous n'avez pas prévu d'hypothéquer votre petit frère pour goûter à l'ivresse, «Libé» vous guide à travers les techniques pour filouter.

Derrière votre ordi, suant à grosses gouttes (merci la clim' cassée), vous rêvez sans doute, là maintenant, de vos vacances et de ce(s) festival(s) où vous allez enfin pécho de la zouze/du BG, écouter des supers groupes et floader les fils Facebook de vos potes avec des photos préalablement passées sous trois filtres.

Bien sûr, vous êtes là pour l’amour de l’Art, avec un grand «A», mais faudrait voir à pas oublier de s’hydrater. Et comme vous avez cassé votre PEL (hahaha, non, vous n’avez pas de PEL) pour payer le voyage, vous n’avez pas envie de vous ruiner en bières coupées à l’eau et gin tonics sous-dosés (1). Ni d’acheter à un inconnu qui passe les éventuelles drogues que vous songeriez à consommer (2), le rapport qualité/prix/risque d’arrêt cardiaque risquant fortement d’être merdique. Du coup, on a compilé les techniques pour tromper la vigilance de la sécurité et faire entrer vos breuvages et autres adjuvants du plaisir.

[Attention : l’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération, modération n’étant pas votre +1]

1. Les techniques éventées ou nulles

Passons d’abord sur les techniques qui, trop répandues, ne la font plus à personne. Ou qui, trop périlleuses, vous exposent à un échec aussi terrible pour votre modjo que pour votre porte-monnaie. Il faut vous y résoudre : le coup de la pom’pote ne marche plus. Tout vigile rompu à l’exercice de la fouille sait pertinemment que les festivaliers remplacent la compote par de l’alcool fort (ou le mélangent pour donner un aspect proche du produit d’origine), et même si vous insistez, vous risquez de vous voir rétorquer qu’il n’y a aucune raison que vous vous trimbaliez avec 25 pom’potes dont la petite languette de sécurité en plastique a été ôtée.

Le coup de la bouteille au fond du paquet de céréales, (...)

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