Faire ses courses sans se ruiner, c'est possible !

© Pixabay

Avant même de décortiquer son ticket de caisse, la priorité pour baisser la facture alimentaire est de lutter contre le gaspillage. « Chaque Français jette en moyenne 100 euros de nourriture par an soit 20 kilos dont 7 toujours emballés, comme des yaourts ou des barquettes», alerte Célia Rennesson, fondatrice de Réseau vrac, l’association interprofessionnelle pour le développement de la vente en vrac. C’est loin d’être une fatalité. En 2019, via une opération de l’Ademe, 243 foyers ont réussi à réduire leur gaspillage alimentaire de 59 %, soit 10,7 tonnes de nourriture sauvée, en choisissant trois gestes parmi les neuf proposés, comme conserver les restes de repas, adapter les quantités et les dates de conservation, établir les menus à l’avance…

Nous nous débarrassons souvent de produits parfaitement comestibles. Ainsi, si la DLC (date limite de consommation) indique la durée de vie maximale d’une denrée, au-delà de laquelle il y a des risques pour la santé, la DDM (date limite de durabilité minimale, le « à consommer de préférence avant fin »…) signale, elle, que le produit peut perdre de la saveur ou de la texture mais reste comestible. C’est le cas des boîtes de conserve (tant qu’elles ne sont pas bombées), des pâtes, du riz, des biscuits secs, du chocolat, du miel… De même, le lait UHT se boit jusqu’à deux mois après sa date de péremption. Quant aux yaourts nature, même s’ils ont une DLC dépassée, vous pouvez les consommer sans danger jusqu’à deux semaines après.

« Préparer (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

5 bonnes raisons de se (re) mettre au sport
Louer, réparer, vendre... rien ne se perd
Amazon : comment se faire rembourser un achat ?
Comment faire un album photo en ligne ?
Métro parisien : que se passe-t-il dans les stations fantômes ?