Ce facteur environnemental pourrait contribuer à l'apparition du lupus
Le lupus érythémateux disséminé ou lupus systémique est une maladie auto-immune assez rare. En France, elle toucherait entre 30 000 et 60 000 personnes, majoritairement des femmes. Elle peut être modérée avec des problèmes cutanés et articulaires ou grave, allant jusqu’à mettre en danger les organes du malade. Les symptômes surviennent par poussées, pouvant durer des semaines ou plus. On ignore encore ce qui les déclenche ou les fait disparaître. Quant à ce qui favorise l’apparition de la maladie, la génétique joue mais plusieurs facteurs environnementaux ont également été identifiés. Parmi eux, les rayons UV, le tabac ou encore l’exposition à des virus (dont celui d’Epstein Barr, à l’origine de la mononucléose infectieuse). Mais des chercheurs viennent de découvrir un nouveau facteur possible : l’exposition à long terme à la pollution atmosphérique. Leur étude est parue le 10 juillet dans la revue Arthritis and Rheumatology. A terme, cette recherche pourrait « éclairer l’élaboration de réglementations plus strictes en matière de qualité de l’air afin de réduire l’exposition aux polluants nocifs, réduisant ainsi le risque de lupus », se félicitent-ils. Pour en arriver à ces conclusions, les scientifiques ont utilisé l’étude UK Biobank qui comptabilise 460 000 patients, dont 399 souffrant du lupus. Après analyses des niveaux moyens de six polluants proches du domicile des participants, ils ont estimé qu’il existait (...)
Cette astuce vous permettra de profiter au maximum de tous les bienfaits de l'orange sanguine
Une nutritionniste conseille de remplacer les viennoiseries par cet aliment sucré pendant les vacances
Ce sérum au rétinol est le meilleur pour réduire les pattes d'oie, estime un dermatologue
Des scientifiques ont tranché : cet aliment est incontestablement la meilleure source de protéines
Comment se débarrasser des points noirs sur le nez ? Une dermatologue répond