« “Face aux territoires” permet à la parole des politiques d’aller au-delà de la France »

Télévision - L’émission politique de TV5 Monde reprend ce jeudi à 9h30 avec comme première invitée Ségolène Royal. Cyril Viguier présente les nouveautés de la saison

Après une saison consacrée en grande partie aux élections européennes, l’émission politique de TV5 Monde* « Face aux territoires » fait son retour deux jours après le discours de politique générale de Michel Barnier. « Un nouveau gouvernement, ça ouvre des perspectives d’invités », se réjouit Cyril Viguier.

Le présentateur de « Face aux territoires » présente la nouvelle saison, avec pour la première ce jeudi Ségolène Royal, et les nouveautés du programme.

La saison passée, l’ambition de « Face aux territoires » était d’être « la grande émission des élections européennes ». Quel est l’objectif de cette année ?

Celle d’être une grande émission politique qui reçoit les oppositions et la majorité dans cette période politique intense. Être une émission experte où la parole des politiques va au-delà de la France grâce à la diffusion de TV5 Monde dans 200 pays.

Un gouvernement tout juste constitué, est-ce que ça donne de nouvelles perspectives d’invités ?

Oui, c’est intéressant de recevoir les nouveaux ministres de ce nouvel exécutif. Mais c’est aussi intéressant d’avoir en plateau ceux qui ne sont pas au gouvernement. La nomination de Michel Barnier a démontré que d’autres personnalités connues avec de l’expertise ont fait(...) Lire la suite sur 20minutes

À lire aussi :
Législatives 2024: « Ceux qui pensent à la présidentielle de 2027 ont un pète au casque », balance Bruno Le Maire
Européennes 2024 : « Raphaël Glucksmann théorise les gauches irréconciliables », estime Manon Aubry (LFI)
Européennes 2024 : « On va rebattre les cartes » au Parlement européen, annonce Laurent Jacobelli (RN)
Européennes 2024 : Année en 4 égale mauvais score des Verts ? Mélanie Vogel refuse de « faire de la numérologie »
Européennes 2024 : « La menace d’une ingérence étrangère pèse sur la France », estime Valérie Hayer