Les experts français écartent un empoisonnement d'Arafat au polonium

Des jeunes Palestiniens portent des portraits de l'ancien leader Yasser Arafat lors d'une marche célébrant le 9e anniversaire de sa mort, le 11 novembre à Hebron.

Les analyses menées par le laboratoire français ayant reçu des échantillons de la dépouille du dirigeant palestinien plaident pour une mort naturelle.

Les experts mandatés par la justice française pour enquêter sur la mort de Yasser Arafat, décédé en 2004 près de Paris, écartent la thèse d’un empoisonnement du leader palestinien, a indiqué mardi à l’AFP une source proche du dossier.

«Ce rapport écarte la thèse de l’empoisonnement et va dans le sens d’une mort naturelle», selon cette source qui confirme une information de France Inter. De récents rapports d’analyses médicales suisses et russes sur les échantillons de la dépouille du chef historique palestinien avaient révélé la présence de quantités anormales de polonium-210 sur la dépouille et semblaient conforter la thèse d’un empoisonnement.



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