EXCLUSIF. Brad Pitt sur la menace de taxe de Trump : "On boira toujours du rosé aux Etats-Unis"

Casquette vissée sur la tête, sourire au coin des lèvres, bouteille d’eau dans une main, l’autre chaleureuse pour accueillir le visiteur, l’acteur trop célèbre pour être vrai existe bel et bien. Et il ne fait pas son âge, 55 ans. A Venise, Brad Pitt a accordé quelques rares interviews internationales à l’occasion de la présentation à la Mostra d’AdAstra, le nouveau film de son ami James Gray, qu’il produit. Alors que le temps imparti à chaque tête à-tête est très compté, surveillé par une armée d'attachés de presse tendus et rivés à leur chronomètre, sa douceur et sa décontraction ont de quoi surprendre.

Sortie d’un divorce médiatique et de démêlés avec l’alcool qui lui ont valu un stage aux Alcooliques anonymes entre deux tournages et non des moindres (Once upon a Time in… Hollywood et Ad Astra), la star discrète est manifestement rodée à ce petit jeu. Imperturbable au milieu de l’hystérie qu’il suscite, l’acteur multimillionnaire s’affiche en bon gars solaire et solitaire, relax et gentiment fuyant.

Ad Astra est votre premier film dans l’espace. Avez-vous réalisé un rêve d’enfant?
Non, je n’appellerais pas ça un rêve d’enfant. Mais j’ai toujours aimé la science-fiction. La première chose qui m’a séduit dans ce projet, c’était de voir mon vieil ami James Gray se jeter dedans à corps perdu. Nous sommes potes depuis les années 1990. On s’est toujours raconté ce qu’on faisait et ce qu’on pourrait faire ensemble. Au vu de ses films précédents et de son goût pour le réalisme, c...


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