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Ex-espion empoisonné, Russie, plan antiracisme... L'essentiel de l'actu de ce lundi

Le président russe Vladimir Poutine lors d'un rassemblement et un concert à Moscou pour le 4e anniversaire de l'annexion de la Crimée, le 18 mars 2018

Vous n'avez rien suivi aujourd'hui ? On fait le point.

Ex-espion empoisonné. Les chefs de la diplomatie de l’Union européenne ont affirmé leur «solidarité sans réserve» avec Londres dans le dossier de l’ex-espion russe empoisonné au Royaume-Uni, où des experts internationaux doivent mener l’enquête. Tout juste réélu pour un 4e mandat avec un score écrasant, le président russe Vladimir Poutine a lui vivement rejeté toute responsabilité, parlant de «grand n’importe quoi».

Russie. Emmanuel Macron a adressé à son homologue russe Vladimir Poutine, réélu la veille, «ses voeux de succès pour la modernisation politique, démocratique, économique et sociale du pays», lors d’un entretien téléphonique.

Israel. Un agent consulaire français a été inculpé par la justice israélienne pour avoir participé à un trafic d’armes dans les Territoires palestiniens en se servant des privilèges associés aux activités diplomatiques. Un juge de Beer-Sheva a prolongé la détention de Romain Franck, arrêté mi-février, jusqu’au 28 mars, dans un premier temps. Cinq Palestiniens, membres présumés du même réseau, ont également été inculpés.

Plan antiracisme. Halte aux «torrents de boue» qui se déversent sur internet: Edouard Philippe a dévoilé un nouveau plan contre le racisme et l’antisémitisme, avec l’ambition de mener une lutte «plus efficace» sur internet en contraignant les plateformes à «prendre leurs responsabilités».

Chômeurs. Le gouvernement a présenté son nouvel arsenal de sanctions contre les demandeurs d’emploi qui ne rempliraient pas leurs obligations. Selon nos informations, le refus de répondre aux convocations de Pôle emploi conduirait à 15 jours de radiation des listes de l’opérateur (contre deux mois actuellement). Autre assouplissement: la sanction pour refus de formation est supprimée.

«Chemise arrachée». De trois à cinq mois de prison avec sursis ont été requis lundi contre quatre ex-salariés d’Air France, jugés en appel à Paris pour l’épisode de la «chemise arrachée» de (...)

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