Publicité

Des espions assurent que Vladimir Poutine souffre de trouble cérébral lié à un traitement contre le cancer

Le président russe pourrait souffrir d'un cancer, de la maladie de Parkinson ou de démence (Getty Images)

Des sources du renseignement suggèrent que le président russe pourrait souffrir d'un cancer, de la maladie de Parkinson ou de démence.

Ce sont des nouvelles peu rassurantes sur l’état de santé du président russe. Depuis ces derniers jours, des espions scrutent chaque apparition de Vladimir Poutine à la recherche de la moindre information sur son état de santé.

Le chef d’État de 69 ans pourrait être atteint d’un cancer, de démence ou de la maladie de Parkinson, d'après "des sources du renseignement", affirment nos confrères du Dailymail. Selon eux, il souffrirait même d’un trouble cérébral lié à un traitement contre le cancer. Les médicaments seraient responsables de cette apparence physique gonflée et de la distanciation apparente avec les évènements actuels. En effet, le gonflement du visage et du cou pourrait être la conséquence d’un traitement prolongé de stéroïdes.

VIDÉO - Carnet de Santé - Dr Christian Recchia : "C’est le premier signe de la maladie de Parkinson, ne le négligez pas"

Des changements psychologiques

Encore plus préoccupant, des hauts responsables de l'alliance du renseignement Five Eyes (dont l’Australie, le Canada, la Nouvelle-Zélande, le Royaume-Uni et les États-Unis) pensent qu'il existe une explication physiologique à la décision mondialement décriée du président russe d'envahir l'Ukraine.

"Il y a eu un changement identifiable dans sa prise de décision au cours des cinq dernières années environ. Ceux qui l'entourent voient un changement marqué dans la force et la clarté de ce qu'il dit et dans la manière dont il perçoit le monde qui l'entoure", soulève une source proche des services de renseignements. Une incapacité à penser clairement aggravée par l'absence de "boucle de rétroaction négative". Au quotidien, le dirigeant russe n’est "tout simplement pas informé" concernant les éléments d'échec de l'invasion.

VIDÉO - Vladimir Federovski : "Je n’exclus pas la guerre mondiale. Je suis perturbé et déchiré. Poutine, il est psychorigide, il ne recule jamais"