Epave du Titanic, espèces marines inconnues et premiers chasseurs d'Amérique : l'actu des sciences en ultrabrèves

Au sommaire des ultrabrèves du 4 septembre 2024 : de nouvelles images de l'épave du Titanic montrent que la balustrade de proue "de Jack et Rose" s'est effondrée, 20 espèces marines jusqu'alors inconnues découvertes dans les abysses du Pacifique et les pratiques de chasse des premiers Américains.

L’actualité scientifique du 4 septembre 2024, c’est :

En archéologie : de nouvelles images de l'épave du Titanic montrent que la balustrade de proue "de Jack et Rose" s'est effondrée.

  • L'épave du Titanic repose depuis le 15 avril 1912 à 3.800 mètres de profondeur dans l'Atlantique nord.

  • De nouvelles images à haute résolution de l'épave ont été dévoilées par la société détentrice de ses droits.

  • Elles révèlent qu'une partie de la balustrade de proue du navire, rendue célèbre par les personnages de Jack et Rose dans le film Titanic, a hélas disparu.


En animaux : 20 espèces marines jusqu'alors inconnues découvertes dans les abysses du Pacifique.

  • C'est la 3e fois cette année que l'Institut océanographique Schmidt organise une expédition dans les abysses de la dorsale de Nazca, une chaîne de montagnes sous-marine située dans l'océan Pacifique, au large des côtes péruviennes.

  • Après celles de janvier et de février, cette nouvelle mission menée à l'été 2024 a été riche de trouvailles animales.

  • Il y aura là, estime l'équipe, "20 nouvelles espèces potentielles". Mais aussi les représentants d'autres, déjà connues, bien que rarissimes.


En archéologie : les premiers Américains chassaient-ils la mégafaune autrement qu’on le pensait ?

  • De la culture Clovis, on connaît essentiellement des pointes acérées dont on présume qu’elles ont équipé des lances pour chasser les animaux préhistoriques.

  • Mais s’attaquer à un animal gigantesque avec de simples lances, est-ce bien efficace ?

  • Une équipe de chercheurs américains propose une autre technique de chasse, particulièrement redoutable.


En santé : la douleur des femmes est sous-estimée par le corps médical, et ce n'est pas sans conséquence.

  • La douleur est subjective, le mieux placé pour la juger est celui ou celle qui la ressent.

  • Pourtant, le corps médical aurait tendance à faire plus ou moins confiance à ce jugement, en fonction du genre de la personne concernée.

  • Deux études récentes montrent en effet que la douleur des femmes [...]

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