Enora Malagré victime de remarques idiotes pour ses avortements, elle lève son majeur et s'insurge !
Enora Malagré victime de remarques idiotes pour ses avortements, elle lève son majeur et s'insurge !
Enora Malagré victime de remarques idiotes pour ses avortements, elle lève son majeur et s'insurge !
Un parquet international chargé de rassembler des preuves du crime d'agression commis par la Russie en Ukraine peut être établi "rapidement", dans une "première étape" avant la mise en place d'un tribunal spécial, a estimé vendredi le commissaire européen à la Justice Didier Reynders.
En Chine, les chiffres de la consommation continuent d'inquiéter. Les ventes de smartphones ont baissé de 13% en 2022 dans la seconde puissance mondiale et les livraisons de téléphones intelligents sont passées sous la barre des 300 millions pour la première fois depuis 2013. Signe d'un marché qui commence à saturer. Moins 13% en un an, c'est la plus grosse chute observée sur le marché des smartphones en Chine depuis une décennie, selon une étude du cabinet IDC.Une chute qui s'explique par les d
Les syndicats appellent à de nouvelles manifestations massives mardi, mais la Première ministre s'est montrée ferme dimanche sur le report de l'âge de départ qui n'est "plus négociable".
C'est un important contrat qui a été signé ce samedi matin 28 janvier à Tripoli : le groupe ENI va investir 8 milliards de dollars dans le développement des sites gaziers offshore au nord de la Libye. À terme, ce sont 850 millions de mètres cube de gaz par jour, qui seront produits. L'Italie ambitionne ainsi de devenir un nouveau hub de l'énergie entre l'Afrique et l'Europe. Preuve de l’importance de ce contrat : la cheffe du gouvernement italien Georgia Meloni a fait le déplacement à Tripoli ce
Voici - Le comédien et metteur en scène Gérard Caillaud est mort à l’âge de 76 ans
La compagnie aérienne britannique Flybe a annoncé samedi avoir cessé son activité et annulé tous ses vols."Il est toujours triste de voir une compagnie aérienne (être placée sous) administration (judiciaire) et nous savons que la décision de Flybe de mettre fin à son activité sera éprouvante pour tous ses employés et clients", a-t-il déclaré.
Plusieurs architectes se mobilisent au côté d'habitants de la cité populaire du Mirail, à Toulouse, pour éviter la destruction de 1.400 logements des années 1960, plaidant leur réhabilitation et dénonçant un projet désastreux sur le plan écologique et économique.Le "Grand d'Indy", barre massive de onze étages, se détache au dessus des arbres, non loin du lac de la Reynerie. L'immeuble, érigé en Y, abrite 243 logements sociaux et doit être détruit en 2023.Six autres bâtiments du quartier sont condamnés à disparaître pour laisser place à de plus petits, allant du pavillon individuel à l'immeuble collectif, suivant un plan soutenu par l'agence nationale de renouvellement urbain."Alors même qu'on manque de logements à Toulouse, c'est une aberration !", s'emporte Michel Retbi, architecte du collectif opposé au projet.Toulouse, quatrième ville de l'hexagone avec plus de 493.000 habitants, figure en zone immobilière tendue en raison d'une offre insuffisante.La démolition des ensembles bâtis par les architectes Candilis, Josic et Woods, inspirés de Le Corbusier, n'est plus défendable dans le contexte actuel de flambée des prix des matières premières et de crise climatique, selon le collectif."Démolir et reconstruire coûte trois fois plus cher que réhabiliter" et "le bilan carbone d'une démolition est le triple de ce que représente une réhabilitation", assure M. Retbi.La rénovation du quartier, à quinze minutes en métro du centre-ville, pourrait se mener sans démolition, martèlent-ils, plaidant pour un moratoire sur les destructions et un concours d'architecture pour imaginer le Mirail du futur.- Logements spacieux -Baptisés des noms de compositeurs et de peintres (Le Tintoret, Messager, etc.), ces grands ensembles "font partie des rares bâtiments qui n'ont pas bougé après AZF", précise Gilbert Pedra, autre membre du collectif.L'explosion de l'usine d'engrais AZF en 2001 a fait 30 morts et détruit ou endommagé près de 30.000 édifices.Ceux du Mirail ont conservé "une structure saine", assure l'architecte, poursuivant dans un éclat de rire: "les logements de luxe en plein centre-ville de Toulouse sont moins bons que ça, et en espace et en qualité, et c'est un architecte qui vous le dit !"Les appartements, presque tous logements sociaux, vont du T2 au T6 et sont "super", sourit Jacques Rovaris, 79 ans, qui occupe depuis plus de 40 ans un T2 au cinquième étage du Grand d'Indy.Avec 66 m2, un séjour lumineux et un large balcon d'où il voit les Pyrénées par beau temps, le retraité se dit "heureux". Un relogement dans "un appartement bien, mais plus petit" lui a été proposé, mais il "ne demande pas à partir, juste à faire quelques petites améliorations"."On peut imaginer toutes sortes de réhabilitations", assure Michel Retbi. Un argument appuyé par la présidente du conseil national de l'ordre des architectes, Christine Leconte, et les architectes Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal, lauréats du prix Pritzker 2021.- Mauvaise image - Ces bâtiments sont vus comme "des cages à lapin" et pâtissent d'une "mauvaise image", regrette Claire Martin, membre du collectif, regrettant l'"association faite entre la paupérisation du quartier et le bâti".Leur destruction s'inscrit dans la volonté politique de transformer le Mirail, miné par le trafic de drogue. Les autorités souhaitent créer de la mixité sociale en diminuant la part de logements sociaux au dessous de 50%.Si l'opération est onéreuse - le coût de la seule destruction est estimé à plus de 87 millions d'euros - Gaëtan Cognard, maire du quartier, assume ce choix: "les architectes pensent aux bâtiments, moi aux habitants"."Il s'agit de démolir maintenant pour nos générations futures", argue-t-il, estimant que les émissions de carbone d'une reconstruction aux normes actuelles seront compensées sur le long terme.Quant au manque de logements, "on ne va pas arrêter tous les chantiers de démolition, surtout quand" ils visent à "renouveler et améliorer le cadre de vie des habitants", estime-t-il.Un objectif auquel peine à croire Brigitte Touillet, 69 ans, habitante opposée au projet. Elle cite un autre secteur du Mirail où "ils ont construit des petits cubes partout"."On nous dit que cela a fait plus de mixité sociale, mais rien n'a changé. Quand on sort du métro, on peut toujours acheter toutes les herbes qu'on veut", raconte-t-elle, en allusion au trafic de drogue.cha/fpp/gvy
Le leader Insoumis considère que l’organisation d’une manifestation le week-end permettrait une plus ample mobilisation et ne concernerait pas seulement les salariés en emploi.
VOICI - "On fait de son mieux" : Patrick Bruel fait de rares confidences sur son rôle de père
Voici une sélection de 7 BD pour célébrer l’édition 2023 du plus grand festival BD du monde, qui fête cette année son 50e anniversaire du 26 au 29 janvier.
Dans ses mémoires, Pamela Anderson raconte une incroyable anecdote. Alors de passage dans le manoir Playboy, la comédienne est tombée sur Jack Nicholson dans le plus simple appareil.
VOICI - Astérix et Obélix : pourquoi il y a eu de nombreux blessés sur le tournage du film
Voici - Mike Horn : son passé militaire trouble en Afrique du Sud fait polémique
Changer d'aire pour pouvoir respirer: depuis 2013, sur un terrain d'accueil de gens du voyage près de Lille pris en étau entre une centrale à béton et une briqueterie, des femmes mènent le combat pour revendiquer un environnement vivable."Qui habiterait à côté de ces usines? Normalement pas des êtres humains". Dans la cuisine de sa baraque, au côté de ses trois soeurs, Sue Ellen Demestre affiche une indignation intacte après une décennie d'engagement. Sa famille est sédentarisée, de fait, depuis 15 ans sur cette aire, où se serrent selon son décompte quelque 280 personnes. Un rideau d'arbres les séparent de la centrale à béton, un talus d'une concasserie de gravats. A l'origine, des familles avaient établi un campement "sauvage" sur un terrain tout proche pour y passer l'hiver. En 2007, une aire d'accueil est créée, la loi Besson imposant aux communes de plus de 5.000 habitants d'en disposer. D'abord satisfaits, les occupants déchantent quand apparaissent gale du ciment, conjonctivites et problèmes respiratoires, rapporte Sue Ellen. Sans compter le bruit et le ballet des camions. Mais faute d'autre solution et pour scolariser les enfants, ils prennent racine. Jusqu'à ce qu'en 2013, les Briqueteries du Nord s'installent. C'est la nuisance de trop, des femmes, dont la mère de Sue Ellen, créent un collectif, Da so vas, "Tendre la main" en dialecte tzigane. Pétitions, manifestations, réalisation d'un film s'enchaînent.- "On paie pour mourir" -"On a perdu notre belle-sœur de 42 ans d'un cancer généralisé. Son frère a aussi eu un cancer. Sur dix naissances, sept enfants finissent asthmatiques. Les personnes âgées ont des bronchites à répétition", liste Sue Ellen, qui pointe un "racisme environnemental". "Ici, on paie pour mourir", lâche sa sœur Lisa, car les occupants payent un loyer. "En juillet-août, c'est invivable: vous posez un téléphone, en deux minutes il est couvert de poussière". Sa nièce de 20 ans, mère de deux filles de 9 mois et 6 ans, sort le moins possible sa cadette, qui souffre de problèmes respiratoires et d'irritations des yeux. Aucun lien officiel n'a été établi entre l'état de santé des résidents et la pollution du site. En novembre 2020, la préfecture a demandé à la société bétonnière CCB d'évaluer à ses frais ses émissions. Les mesures seront réalisées "au deuxième trimestre 2023", assure CCB. Jusque là, aucun bureau d'études n'a accepté d'intervenir en raison du "risque de dégradation" du matériel par les résidents, plaide la société. "On peut faire toutes les mesures qu'on veut, de toute façon il y a de la poussière et elles ne veulent plus vivre là", balaie l'élu référent de la métropole lilloise pour les gens du voyage, Patrick Delebarre. La relocalisation de cette aire est désormais actée dans le Schéma Départemental d'Accueil des Gens du Voyage. Mais trouver d'autres terrains est complexe, souligne-t-il. - Une mobilisation "unique" -"La loi demande aujourd'hui qu'on mette ces gens dans des lieux salubres", alors qu'à l'époque, "la façon de voir consistait à dire +la loi oblige à les mettre dans un coin, mettons-les dans un coin+". Le Schéma départemental prévoit des terrains familiaux ou de l'habitat adapté, mêlant maisons et emplacements pour caravanes, car les aires "ne correspondent plus aux attentes des gens du voyage du Nord", largement sédentarisés, explique-t-il. Les communes de Ronchin et Hellemmes cherchent des terrains mais "on n'a plus beaucoup de parcelles publiques constructibles" et la place manque, affirme la mairie de Ronchin. Pour William Acker, juriste issu de la communauté des gens du voyage, le combat des femmes de cette aire, "parmi les pires" de France, est unique "même à l'échelle européenne". "Habituellement, les luttes sont éparses et s'épuisent très vite, le public des aires d'accueil ne peut pas se permettre de s'opposer frontalement à l'administration". "Qu'on le veuille ou pas, ils ont réussi à nous sédentariser", résume Sue Ellen. "Mais je veux qu'on le soit à notre façon. On veut aussi que plus tard nos enfants ait un boulot qui leur donne envie de se lever le matin".bj/cab/cbn
Des centaines de manifestants en Iran, Irak et au Liban, ont dénoncé la "profanation" du Coran en Suède et aux Pays-Bas la semaine dernière. Ils appellent également au boycott de toutes les importations suèdoises.
Ce dimanche, ça fait sept ans jour pour jour que le journaliste malien, Birama Touré, a disparu. Selon une enquête de Reporters sans Frontières sortie l’an dernier, le reporter du journal d’investigation Le Sphinx serait très probablement mort des suites de sévices infligés lors de sa détention au secret dans les locaux des services de renseignement en 2016. Birama Touré enquêtait notamment sur Karim Keïta, fils de l'ancien président Ibrahim Boubacar Keïta. Depuis le coup d’État de 2020 au Mali,
Michel Drucker : son projet pour Paris 2024... et sa nouvelle formule de Vivement dimanche
Ellie et Joel, les deux personnages de la série adaptée du jeu vidéo, auront droit à une nouvelle saison sur HBO.
Manuel Bompard, député et coordinateur de LFI, est l'invité de BFM politique ce dimanche.
VIDÉO - Chimène Badi bouleversée face à son père Mohammed : il “m’accompagne partout depuis 20 ans”