"On m'a enfermée" : Clotilde Courau pas épargnée après son mariage avec Emmanuel-Philibert de Savoie, des conséquences difficiles
En 2003, Clotilde Courau, alors actrice, épousait Emmanuel-Philibert de Savoie, prétendant au trône d'Italie. A son grand dam, leur somptueux mariage a également eu des répercussions sur sa carrière dans le 7ème art, comme elle l'a rapporté sur les ondes de RFM France.
Une histoire digne d'un conte de fée. Il y a plus de vingt ans, la célèbre comédienne Clotilde Courauépousait Emmanuel-Philibert de Savoie, prétendant au trône d'Italie, lors d'une somptueuse cérémonie tenue en la basilique Sainte-Marie-des-Anges-et-des-Martyrs à Rome. Avec ce mariage, l'ancienne compagne de Guillaume Depardieu est ainsi devenue princesse de Venise et duchesse de Savoie. S'aimant comme au premier jour, les principaux intéressés sont également devenus les parents de deux filles Vittoria (2003) et Luisa (2006).
Malgré ses titres, Clotilde Courau a fait de la simplicité et de la discrétion une règle de vie. A ce jour, elle continue de s'illustrer dans l'industrie du 7ème art tout en assumant ses engagements en tant que membre de la famille royale italienne. Mais la mère de famille a dû se battre pour poursuivre sa carrière artistique. Chose qui n'a pas été aisée comme elle l'a souligné ce week-end dans 1 heure avec... l'émission de Bernard Montiel diffusée sur RFM.
Clotilde Courau se confie sur sa traversée du désert
"Je pense que les gens m'ont enfermée", a regretté Clotilde Courau qui a notamment a trouvé du réconfort dans le répertoire musical et les correspondances d'Edith Piaf . "Après ton mariage ?", s'est interrogé l'animateur, interloqué. "Bien sûr, ils m'ont enfermée et c'est normal", a ajouté son interlocutrice. Des confidences qui ont naturellement fait réagir Bernard Montiel : "Tu penses que certains ont eu peur de te faire tourner parce que tu étais princesse ?".
Les choses se sont énormément ralenties pour moi
Avec philosophie, Clotilde Courau a alors souligné : "On met les gens dans des cases. Et que c'est malheureusement un endroit où on est dans le communautarisme des choses, on le voit. On en souffre tous. Mais parfois on a tellement peur d'aller vers un ailleurs, que c'est tellement vertigineux qu'on a tendance à s'auto-détruire. Ou s'auto-censurer".
A ses yeux, "des gens par envie" peuvent également dévoiler leur face sombre. "Parce que l'envie fait partie de notre humanité et que ce n'est pas la plus belle des choses. La jalousie, l'envie donc tout ça fait qu'à un moment donné, Les choses se sont énormément ralenties pour moi", a poursuivi Clotilde Courau, en toute transparence. "Et encore une fois je les ai prises comme une épreuve mais aussi comme un défi. Cela m'a permis de voir à quel point j'aimais mon métier pour les bonnes raisons (...)".