«Emmanuel a le souci de l’autre, toujours. Il ne supporte pas qu’on aille mal autour de lui.»

On doit cette révélation à Brigitte Macron, dans un entretien au magazine Elle, où l’épouse du Président confirme notamment que son statut de première dame ne sera pas rémunéré et que ses activités seront rendues publiques. On pourrait objecter qu’il existe des pays, comme l’Allemagne, où la question ne se pose même pas : Joachim Sauer, mari d’Angela Merkel, poursuit ses activités professionnelles dans la plus grande discrétion et refuse tout entretien qui ne serait pas lié à son activité de scientifique. Mais enfin ! De l’écume de la com du couple Macron, retenons cette phrase, celle d’un chef de l’Etat qui ne supporte pas la souffrance. Songeons-y à l’aune de la tempête sociale qui s’annonce dès septembre, avec une pensée spéciale pour - liste non exhaustive - les ouvriers de GM&S, les livreurs à vélo de Deliveroo ou les réfugiés de Calais persécutés par la police de Gérard Collomb.

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