Emma Stone sera à l'affiche du prochain film de Yorgos Lanthimos
Emma Stone va collaborer à nouveau avec le cinéaste Yorgos Lanthimos. L'actrice sera la star de «Poor Things», une adaptation du roman d'Alasdair Gray.
Accusée d'avoir une mauvaise influence sur son amie Loana, qui a été hospitalisée à la suite d'une overdose, Sylvie Ortega Munos a répondu à Steevy Boulay, Kenza Braiga et d'autres Lofteurs. Elle a notamment dénoncé leur hypocrisie, eux qui ne prendraient jamais de nouvelles de la star.
À l’occasion du 53e anniversaire de la journaliste Carole Gaessler, ce mardi 23 février, découvrez les circonstances du décès de son premier amour, Laurent Lépinasse.
Janot, le père de Christophe Dominici, ne s'est toujours pas remis de la mort de ce dernier. Lui, qui ne dort presque plus, s'est confié pour la première fois dans les colonnes de Paris Match. Il a ainsi évoqué son ultime conversation avec son fils, deux jours avant son décès.
Johnny Depp est ce soir à l'affiche du film Pirates des Caraibes : jusqu'au bout du monde diffusé sur 6ter. L'occasion pour Closer de revenir sur sa relation méconnue avec l'actrice d'un film culte.
Ce jeudi 25 février, Régis Laspalès fête ses 64 ans. L'occasion de revenir sur le duo qu'il a formé pendant trente ans avec Philippe Chevallier et sur les raisons de leur séparation en 2016.
Le Premier ministre prendra la parole ce jeudi, pour faire le point sur la lutte contre l'épidémie de Covid-19, dont l'évolution est jugée "préoccupante" dans certaines régions.
Hélène Darroze est l'une des amies les plus proches de Laeticia Hallyday. La cheffe, qui fête ses 54 ans ce 23 février, s'est toujours montrée d'un soutien à toutes épreuves.
En Chine, la vaccination anti-Covid-19 sera-t-elle bientôt possible pour les enfants ? C’est, en tous cas, ce que laisse entendre les responsables de Sinopharm, l’un des géants chinois du médicament. De notre correspondant à Pékin,Il ne s’agit encore que d’une annonce, mais elle n’est pas passée inaperçue. Différents sites des médias d’état dont celui du Pangpai ont repris cette annonce de Liu Jingzhen, le président de Sinopharm qui a également donné une interview à la télévision centrale de Chine. Il rappelle que le vaccin inactivé proposé par le groupe pharmaceutique chinois a déjà été administré a plus de 43 millions de personnes dans le monde, dont 34 millions en Chine… Et puis qu’un nouveau vaccin est en phase de développement et que ce dernier pourrait être administré à l’avenir aux plus jeunes. « Pour la tranche d’âge 3 à 17 ans, le résultat de nos expérimentation clinique ne montre pas de grande différence par rapport aux personnes âgées de 18 à 59 ans. Voilà pourquoi je pense que nous pourrons bientôt vacciner les plus jeunes également quand la vaccination sera ouverte », dit-il. 50 millions de Chinois bientôt vaccinésIl n’y a pas de date précise annoncée. Mais cette élargissement de la vaccination aux enfants et aux adolescents serait une première. Pour l’instant en Chine, le vaccin est réservé aux 18 à 59 ans.►À lire aussi: Covid-19: en Chine, une campagne vaccination de masse avant le Nouvel An lunaireEn principe 50 millions de Chinois de cette tranche d’âge devaient être vaccinés avant les vacances du nouvel an lunaire. C’était en tout cas l’objectif affiché par les autorités sanitaires. Deux vaccins inactivés sont utilisés ici principalement : Sinovac et Sinopharm. La campagne de vaccination dite « d’urgence » -avant la fin des essais de phase III- a commencé l’été dernier. Des soldats, des diplomates, des hommes d’affaires, des étudiants se rendant à l’étrangers, puis les soignants, les travailleurs médicaux, les personnels de la chaîne du froid comme les employés de restaurants et des supermarchés, les taxis aussi.Quand on commande un taxi à Pékin, on peut voir via l’application si le chauffeur est vacciné ou non. On est donc toujours dans cette phase dite d’urgence réservée à certains groupes professionnels et limitée en âge effectivement, 18 à 59 ans.Un dentiste sexagénaire interrogé disait regretter de ne pas avoir eu sa dose. Une décision basée sur la prudence disaient les laboratoires qui ont manqué de cohortes de gens mineurs et de personnes âgées dans leurs essais.Des essais de phase II sur les enfantsDans le cas de Sinopharm, des chercheurs ont parlé d’essais de phase II menés sur les 3 à 17 ans avec un nouveau vaccin cette fois à protéines recombinantes développé en partenariat avec l’institut de virologie de Wuhan. Ces essais seraient concluants selon Yang Xiaoming, le PDG du China National Biotec Group, filiale de Sinopharm.Ces essais se poursuivent, le système immunitaire des enfants étant encore en développement, ça demande une plus longue surveillance. La Chine se prépare en tous cas à étendre sa campagne de vaccination. Les plus âgés comme à l’étranger, au Maroc notamment où les vaccins chinois inactivés sont déjà administrés aux plus de 60 ans. Mais aussi auprès des plus jeunes.En tout cas, des affiches ont fleuri devant les résidences en Chine depuis le début du mois, invitant les habitants à prendre contact avec les autorités sanitaires pour se porter candidat au vaccin.
Victorieux en déplacement de l'Atalanta Bergame (1-0) et de Mönchengladbach (2-0), le Real Madrid de Zinédine Zidane et le Manchester City de Pep Guardiola se sont rapprochés mercredi des quarts de finale de Ligue des champions, avant les huitièmes de finale retour prévus en mars.
Nuit difficile pour Alizée et Maxime, l'un des binômes mythiques de Pékin Express. Dans la nuit du 23 au 24 février ils ont conduit en urgence leur bébé Thi-Waï à l'hôpital. Une épreuve vécue difficilement par le jeune papa resté à l'extérieur en raison de la crise sanitaire...
Le 29 juillet 1981, le prince Charles passait la bague au doigt de Lady Diana devant près d’un milliard de téléspectateurs à travers la planète. La veille, le prince Charles lui avait brisé le cœur en lui avouant l'inavouable.
Marilou Berry a accordé lundi une interview au journal "Libération". La jeune femme a une nouvelle fois affirmé sa position en faveur de sa cousine Coline Berry et en a profité pour s'en prendre à ses détracteurs.
Pour souffler et profiter des siens, Claude Dartois a décidé de quitter Paris quelques jours, direction Dives-Sur-Mer. Un séjour dont il a fait profiter ses nombreux abonnés sur Instagram.
RRRrrrr!!! - A Lampaul-Plouerzel, le comédien Eric Hervé défile dans la commune pour dénoncer l’absurdité du couvre-feu
Ce mercredi 24 février, la légende Alain Prost souffle ses 66 bougies. S'il n'a plus rien à prouver sur les circuits, le pilote peut également être fier de ses trois enfants, Nicolas, Sacha et Victoria.
Au Cameroun, le comité Idaho France, une ONG qui organise des actions contre l'homophobie, rapporte mardi l'assassinat de trois homosexuels en l'espace de deux semaines. Deux personnes transsexuelles, soutenues par cette association et défendues par l'avocate Alice Nkom, ont également été arrêtées et incarcérées la semaine dernière. "C’est le troisième meurtre en quinze jours." Alexandre Marcel, le président du Comité Idaho France, tire la sonnette d’alarme. Cette ONG qui organise des actions contre l’homophobie fait état de trois récents assassinats à l’encontre d’homosexuels au Cameroun.Selon elle, un couple a été assassiné il y a une quinzaine de jours à Yaoundé et un autre homme a été tué, lundi 22 février, à Douala, en raison de leur orientation sexuelle. "Il n’y a aucune information qui circule. Aucun média local n’en parle. Nous savons ce qu’il se passe car nous sommes alertés par des réseaux associatifs et des militants LGBT qui nous font remonter ces affaires", explique le président du Comité Idaho France.En 2013 et 2014, le pays avait déjà fait face à une série d’assassinats retentissants. Éric Lembembe, un militant homosexuel camerounais, et Roger Jean-Claude Mbédé, condamné en avril 2011 à trois ans de prison pour homosexualité, avaient été retrouvés morts à leur domicile. "À l’heure actuelle, il y a un regain d’homophobie en Afrique et particulièrement au Cameroun", constate Alexandre Marcel. Pour le président du Comité Idaho France, la crise sanitaire actuelle n’a d’ailleurs fait qu’exacerber les tensions : "À cause de la pandémie de Covid-19, les homosexuels sont obligés d’être dans leur famille et ne peuvent plus avoir de vie privée. Les choses se savent plus facilement.""C’est de pire en pire"L’avocate Alice Nkom, présidente de l’Association pour la défense des droits des homosexuels (Adefho) au Cameroun, ne confirme pas ces récents assassinats, même si elle en a aussi été informée et que cela lui semble "plausible". Depuis plus de 20 ans, cette militante se bat pour les droits des homosexuels dans un pays où avoir un rapport sexuel avec une personne du même sexe est un délit, puni de six mois à cinq ans d’emprisonnement. Elle observe également que leur condition est loin de s’améliorer : "Il suffit de lire les commentaires sur les réseaux sociaux. C’est de pire en pire."Depuis plusieurs semaines, l’avocate travaille sur le dossier de Shakiro et Patricia, deux femmes transsexuelles qui sont en détention provisoire à la prison de New Bell. Arrêtées le 8 février alors qu’elles se trouvaient dans un restaurant, elles sont aujourd'hui accusées d’homosexualité, d’outrage privé à la pudeur et de défaut de carte nationale d’identité. Pour leur avocate, il s’agit d’une violation des droits de l’Homme : "L’homosexualité est un acte. Vous ne pouvez pas dire que vous les avez prises en flagrant délit alors qu’elles étaient en train de manger du poisson !"Alice Nkom dénonce surtout la loi pénalisant l’homosexualité, qui n’a selon elle pas lieu d’être : "Elle est caduque. Elle ne devrait pas être appliquée car elle viole des lois qui lui sont supérieures." L’avocate met en avant la Constitution et la primauté donnée aux lois internationales qui luttent contre les discriminations. Le Cameroun n’est cependant pas un cas isolé. Si le Gabon a voté le 23 juin dernier une loi au Parlement dépénalisant les rapports entre personnes de même sexe, l'homosexualité reste encore punie dans de nombreux pays du continent africain. Dans certains, comme la Mauritanie, le Nigeria, la Somalie ou encore le Soudan, elle est même passible de la peine de mort.Les défenseurs des gays menacésEn 2015, la FIDH avait également mis en lumière dans un rapport les persécutions et les menaces contre les défenseurs des gays au Cameroun. Locaux incendiés, cambriolages, arrestations arbitraires ou encore "mort violente" : plusieurs membres d’associations de défense des droits des homosexuels et des droits de l’Homme, cités par la FIDH, se disaient en danger et assuraient ne pas pouvoir compter sur la police. En première ligne, Alice Nkom, que certains prennent plaisir à critiquer en la surnommant "la maman des pédés", en fait régulièrement les frais. "J’ai tout eu. On m’a jeté des cailloux, envoyé des menaces. Ils sont même passés à l’acte quelques fois. Mais qu’ils économisent leurs cailloux. On ne tire pas sur une ambulance", s’amuse-t-elle avec bravade.Pour Alexandre Marcel, il faut d’abord changer les mentalités. Dans les discours populaires et politiques, l'homosexualité reste souvent considérée comme un phénomène importé d’Occident, étranger à la "culture locale". "Il y a tellement de légendes urbaines sur les homosexuels qui sont exacerbées par les religions. Certains osent dire aussi que chez eux en Afrique, il n’y a jamais eu d’homosexualité", résume-t-il.Alice Nkom déplore également un manque d’éducation, mais selon elle, c’est avant tout le système qu’il faut changer. "Cela n’évoluera pas tant qu’il n’y aura pas un minimum de démocratie et de respect des valeurs des droits de l’Homme", affirme-t-elle. "Quand le pouvoir est entre les mains d’une seule personne et que la séparation des pouvoir est un leurre, il faut bien détourner l’attention des populations sur quelque chose. Les homosexuels sont une cible toute trouvée."Shakiro et Patricia doivent passer en jugement le 10 mars prochain. D'ici là, Me Alice Nkom espère leur obtenir la liberté provisoire. À 76 ans, l'avocate entend continuer le combat : "Cela me donne envie de redoubler d’efforts et de chercher de nouvelles stratégies. Les gens doivent accepter la diversité et respecter les homos."
Opéré d'urgence aux jambes après un terrible accident de la route, mardi, dans la banlieue de Los Angeles, Tiger Woods est toujours hospitalisé mais ses jours ne sont pas en danger.
Le maire RN de Perpignan réagissait sur BFMTV-RMC à la mort de deux adolescents en Essonne dans le cadre de rixes.
Plus d'un an après avoir abattu, officiellement « par erreur », un avion d'Ukraine International Airlines au-dessus de Téhéran, les explications fournies par l'Iran ne convainquent pas les experts des Nations unies. Ils dénoncent une tentative pour dissimuler la vérité et s'interrogent sur le caractère accidentel des tirs de missiles à l'origine du crash. De notre correspondant à GenèveTrois jours après le drame, l'Iran avait expliqué avoir pris le Boeing pour un missile américain, en pleine tension militaire avec les Etats-Unis après l'assassinat en Irak du puissant général iranien Qassem Soleimani. Sauf que des zones d'ombre demeurent. Et que Téhéran ne fait rien pour les dissiper. Pire : les explications des autorités iraniennes « ajoutent à la confusion » selon la rapporteure spéciale de l'ONU sur les exécutions extrajudiciaires, Agnès Callamard, et le rapporteur sur la situation des droits de l'homme en Iran, Javaid Rehman, les deux experts indépendants chargés d'enquêter sur le drame.Dans une lettre de 45 pages adressée en décembre au gouvernement iranien et tout juste rendue publique, ils démontent point par point la ligne de défense des autorités. L'unité des Gardiens de la révolution à l'origine des tirs a par exemple affirmé qu'elle n'avait eu que « 10 secondes » pour prendre sa décision. Faux répondent les enquêteurs, qui estiment que les militaires ont eu 45 secondes, sinon plus, pour réaliser qu'il s'agissait d'un avion civil. Un mauvais alignement des missiles serait également en cause. Mais l'Iran « n'a pas expliqué la raison de ce mauvais calibrage de radar, et pourquoi il a conduit à viser [le Boeing] ».Pour Agnès Callamard, « les explications de l'Iran ne tiennent pas la route : elles sont pleines de contradictions et sont contredites par les faits et par les analyses techniques. […] J'ai interrogé des dizaines d'experts, des militaires à tous les niveaux. Et eux non plus ne comprennent pas pourquoi ces procédures basiques n'ont pas été suivies, que ce soit au niveau de l'approche visuelle ou de l'instruction sur les radars ».Le 8 janvier 2020, deux missiles, à 30 secondes d'intervalle, ont touché le vol PS 752 d’Ukraine International Airlines, dont la carlingue s'est ensuite écrasée dans un champ près de Téhéran. 176 personnes ont été tuées : 169 passagers, en majorité des Iraniens et des Canadiens, ainsi que 9 membres d'équipages.D'après les enquêteurs de l'ONU, si l'Iran redoutait une frappe américaine, elle aurait dû fermer son espace aérien. Si l'Iran l'avait fait, « 176 personnes n'auraient pas été tuées ». Au regard du droit international, l'Iran aurait ainsi manqué à son devoir de protéger le « droit à la vie » des victimes.Des responsabilités à tous les niveauxMais la réaction des autorités après le drame interpelle également. L'Iran a mis trois jours avant d'admettre les tirs de missiles. Pendant ce temps, des bulldozers ratissaient sans ménagement le site du crash, « compromettant les tentatives de comprendre sa véritable cause ». L'Iran a également fait obstacle au rapatriement des corps des victimes canadiennes et menacé d'autres familles de victimes, érigées en « martyrs ».Quant aux manifestations spontanées qui ont suivi partout dans le pays pour réclamer que toute la lumière soit faire sur les causes du drame, elles ont été durement réprimées. Des centaines de manifestants ont ainsi été arrêtés et interrogés, pendant que les services de téléphonie et internet étaient coupés. Les forces de sécurité n'ont pas hésité à tirer à balles réelles sur les manifestants, visant parfois « directement la tête ».Au début du mois, un autre élément est venu jeter le trouble. Les médias publics canadiens ont révélé l'existence d'un enregistrement, attribué par CBC Radio Canada au ministre iranien des Affaires étrangères Mohamad Javad Zarif, dans lequel il laisse entendre que les tirs de missiles pourraient bien avoir été prémédités. La vérité sur le crash « ne sera jamais révélée » peut-on l'entendre dire. Les autorités « ne nous le diront pas, ni à personne d'autre, parce que s'ils le font, cela va ouvrir les portes du système de défense national, et ce n'est pas dans l'intérêt du pays ». Les services de renseignement canadiens n'ont pour le moment pas confirmé l'authenticité de l'enregistrement.« Pourquoi l'Iran ment ? Instinctivement, on se dit que c'est parce qu'ils veulent cacher quelque chose, qu'il y a peut-être beaucoup plus grave », interroge Agnès Callamard. L'Iran a mené sa propre enquête. Au moins trois personnes auraient été interpellées par les autorités. Mais leurs identités n'ont pas été communiquées, ni même les raisons de leur arrestations. En avril 2020, un responsable religieux a même affirmé que « contrairement aux informations officielles, personne n'avait été arrêté » en lien avec le crash.Les experts doutent que trois individus seuls puissent être responsables de la mort des 176 personnes à bord du vol PS 752. Pour Agnès Callamard, la liste des responsables est sans doute bien plus large. « C'est d'abord à l'État iranien de reconnaître sa responsabilité. Mais ce n'est pas vraiment ce que nous avons vu pour le moment. »
ANIMAUX - C’est la première opération du genre organisée depuis un an