Disparition de Sabine Dumont : les propos glaçants du juge d’instruction hanté par l’affaire

Entre mai et juin 1987, ce sont quatre fillettes qui disparaissent d’une manière similaire en région parisienne. Virginie, Hemma, Perrine et Sabine Dumont. Le 27 juin 1987, Sabine Dumont, neuf ans, sortait de chez elle pour acheter un tube de gouache dans le centre de Bièvres.

Il était 17h30. La petite fille ne rentrera jamais chez elle. Le lendemain, son corps nu, sans vie et partiellement brûlé, sera retrouvé le long de la Nationale 118 à Vauhallan. Une autopsie de la petite fille confirmera qu’elle a également été violée.

Disparition de Sabine Dumont, les propos glaçants du juge

Immédiatement, une enquête est ouverte. Marc Brisset-Foucault, en poste au tribunal d’Evry entre 1986 et 1989, est nommé juge en charge de son instruction. Évidemment, la mort de Sabine Dumont l’a marqué profondément. « C’est une affaire à laquelle je pense maintenant depuis quarante ans presque tous les jours » confiait-il au micro de Radio France. « A chaque fois que je repasse devant l’endroit où l’on a retrouvé le corps, j’y repense » ajoutait-il. Coordonnant l’enquête, Marc Brisset-Foucault fait part de son attachement à l’enquête aux inspecteurs. « Eux-mêmes étaient extrêmement motivés parce qu’une affaire comme ça, personne ne peut rester indifférent » soulignait-il.

L’intuition d’un juge

Malheureusement, dans cette affaire, les témoignages sont peu nombreux et peu probants. A l’époque, il n’y a ni téléphone portable ni caméra (...)

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