Disparition de Lina dans le Bas-Rhin : ce mobile lunaire pour lequel le suspect n°1 pourrait s’en être pris à elle
Samuel Gonin, 43 ans, n'était pas un inconnu des services de police. Toxicomane et instable psychologiquement, il avait un passé marqué par la violence et les délits mineurs. Le 25 août 2023, il agresse une vieille dame à Besançon, puis braque une supérette le même jour, rappelle Le Nouveau Détective. Ces actes marquent une escalade dans sa spirale destructrice. L'homme semblait vivre une vie double, oscillant entre des phases de dépression et des périodes de comportements dangereux. L'homme, décrit comme bipolaire par son psychiatre, a souvent été interné et ses addictions à l'alcool, au cannabis et à la cocaïne n'ont fait qu'aggraver son état. Malgré tout, ceux qui le côtoyaient ne pouvaient imaginer à quel point il était capable de sombrer dans la criminalité. Son suicide, survenu quelques jours avant que l'ADN de Lina soit formellement identifié dans la Ford Puma volée, ajoute une couche de mystère et de frustration à l'affaire.
Qu'est-ce qui aurait poussé Samuel Gonin à s'en prendre à Lina ?
Pourquoi Samuel Gonin s'en serait-il pris à Lina ? Cette question taraude les enquêteurs. La piste la plus plausible semble être un vol qui aurait mal tourné. Le matin de sa disparition, Lina tenait son téléphone portable en main alors qu'elle marchait le long de la D350. Ce détail, insignifiant à première vue, pourrait être crucial. Samuel Gonin, désespéré et en quête de fonds pour soutenir ses addictions, aurait pu voir dans ce téléphone (...)
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