Les causes de la disparition du petit Émile sont toujours recherchées et aucune piste n'est encore privilégiée. Alors que la famille est parfois critiquée, le maire du Vernet a décidé de prendre sa défense lors d'une interview.

Le 8 juillet dernier le jeune, Émile âgé de 2 ans, a disparu du Vernet, une minuscule commune située dans les Alpes-de-Haute-Provence, alors qu'il était chez ses grands-parents. Un fait divers qui bouleverse tout le pays depuis car on ne sait toujours pas ce qu'il s'est passé et aucune piste ne semble émerger. Un drame national et avant tout familial.

Les parents et les grands-parents d'Émile qui résident aujourd'hui au Vernet - lieu bouclé jusqu'au 31 août - se murent dans le silence depuis le début de l'affaire. Ils ne disent pas un mot et ne communiquent même pas par le biais de leur avocat. Une absence de déclarations qui perturbent et qui font dire à certains que leur comportement est étrange. À l'inverse, François Balique, le maire de la ville ne rechigne pas à donner des interviews. Et auprès de Ouest-France, il vient de prendre la défense de la famille d'Émile, laquelle est tant décriée. "Cette famille est avant tout victime. Et le fait qu'ils soient croyants ou qu'ils aient telle opinion politique, n'a rien à voir avec l'affaire", clame-t-il. Rappelons que les membres du clan sont en effet très traditionnels.

Des victimes dont le comportement perturbe

Même au village leurs agissements, ou plutôt leurs silences, font jaser. "Ce ne sont pas des gens qui se mélangent", a déclaré un voisin au même journal. D'autres avaient fait part de leur étonnement face à la nonchalance du père et du grand-père lors...

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