PARIS (Reuters) - Le ministère français de la Santé a fait état samedi de 23.306 nouveaux cas de contamination au COVID-19 dans l'Hexagone en l'espace de vingt-quatre heures contre 23.
Interviewée par Le Parisien ce dimanche 7 mars sur l'arrêt du Grand échiquier, Anne-Sophie Lapix a réagi aux accusations de viols à l'encontre de Patrick Poivre d'Arvor. La journaliste de 48 ans a côtoyé l’ancien présentateur phare à ses débuts sur LCI.
Lors de la diffusion, ce vendredi 5 mars sur TF1, du spectacle Les Enfoirés à côté de vous, les téléspectateurs ont été agréablement surpris par la prestation d’Isabelle Nanty, lorsque celle-ci s’est mise dans la peau de la rappeuse Diam’s.
De la nostalgie avec Jean Gabin, un retour sur la vie de Dalida, un western signé Jacques Audiard ou encore de la science fiction à la sauce Luc Besson... Découvrez notre sélection de films à ne pas manquer à la télé ce dimanche 7 mars, sur les chaînes gratuites.
Invitée de La Team Virgin Radio jeudi 4 mars, Estelle Denis a confié être accro à un célèbre jeu… Et non, ce n'est pas le poker.
La famille royale s'agrandit. Confinée seule depuis l'hospitalisation de son époux, le prince Philip, la reine Elizabeth II a décidé de s'offrir de la compagnie en adoptant deux chiots.
Le pape François a célébré samedi une messe à Bagdad, en Irak.
Vendredi, dans "Sans rendez-vous", la sexologue Catherine Blanc a répondu à la question de Valentine, qui se demande pourquoi son compagnon refuse d'arrêter de porter un préservatif lors de leurs rapports sexuels. Pour notre spécialiste, il est important de respecter le choix de son conjoint.
Omar Sy était l’invité de l’émission de Jimmy Fallon, aux États-Unis. Il a profité de son passage pour raconter une drôle de mésaventure qui lui est arrivée en compagnie de l’acteur Tom Hanks au cours d’un tournage.
Ce sont des élections législatives ivoiriennes avec, en toile de fond, le désir d'un retour à une vie politique apaisée. Près de 7 millions et demi d’électeurs ivoiriens sont attendus dans les bureaux de vote, ce samedi 6 mars, afin de renouveler les 255 sièges à l'Assemblée nationale. Le RHDP, le PDCI, Le FPI, les trois principales forces politiques participent au scrutin 4 mois après une présidentielle boycottée par les opposants et des violences qui avaient fait 87 morts. Tour d’horizon avec nos correspondants et envoyés spéciaux. Tout d'abord, une affluence mitigée dans les bureaux de vote à Abidjan ce matin, note notre correspondant à Abidjan, Pierre Pinto.Peu de monde à Cocody, un peu plus à Koumassi et davantage encore dans la commune du Plateau. Pas d’incidents majeurs signalés par les observateurs, si ce n’est quelques couacs somme toute habituels dans ce genre d’élections à savoir, des retards à l’allumage, ce matin, dans certains bureaux de vote. Des forces de sécurité ou encore du matériel qui se sont fait attendre ont provoqué ces retards. Une bagarre entre militants adverses a été signalée à Port-Bouët dans le sud d’Abidjan mais globalement, une situation calme.Le président Alassane Ouattara a voté, lui, en fin de matinée, à Cocody. Il a salué « la première élection pluraliste depuis vingt ans », puisque les pro-Gbagbo y participent.« La campagne a été apaisée et je m’en réjouis », a encore déclaré le président ivoirien qui a souhaité que les épisodes malheureux de 2020 et 2010 soient définitivement derrière nous et que les Ivoiriens puissent choisir leurs représentants en toute quiétude.Henri Konan Bédié, quant à lui, a voté une heure plus tôt au même endroit, au lycée Sainte Marie de Cocody. Il a appelé les Ivoiriens à aller voter massivement pour leur candidat. Il a exhorté aussi le gouvernement « à prendre toutes les mesures nécessaires pour la sécurisation du scrutin et pour empêcher des violences ».La participation, c’est un enjeu de ce scrutin. Pour la première fois depuis dix ans, tous les partis politiques y participent y compris les partisans de Laurent Gbagbo sous les couleurs de la plateforme EDS (Ensemble pour la démocratie et la souveraineté). Tous les camps jouent gros et ont appelé leurs électeurs à se mobiliser.Aux dernières législatives, en 2016, la participation avait à peine dépassé les 34 % mais après une présidentielle de 2020, boycottée par l’opposition et marquée par des violences politiques, les états-majors espèrent que les électeurs vont se rendre cette fois massivement aux urnes pour s’exprimer : les partisans du pouvoir pour conforter la victoire de leur champion, Alassane Ouattara, et lui permettre d’avoir les mains libres à l’Assemblée pour mener sa politique ; ceux de l’opposition à l’appel de leur leader pour ne pas laisser ce qu’ils appellent « le pouvoir absolu » au RGDP d’autant que, cette fois-ci, la campagne s’est déroulée dans un climat apaisé, plus propice à faire en sorte que les électeurs qui ne sont pas forcément des militants, décident d’aller glisser un bulletin dans l’urne.Bouaké, résumé de cette électionCe scrutin est marqué par le retour dans le jeu électoral des partisans de l'ancien président Laurent Gabgbo, après 10 ans d'absence. François Mazet, notre envoyé spécial à Bouaké, la deuxième ville de Côte d'Ivoire dans le centre du pays, a pu constater que les bureaux de vote ont pris un peu de retard.Ainsi, à la bourse de travail du quartier Koko, un centre de vote qui compte 11 bureaux, ces derniers ont ouvert en ordre dispersé. La plupart l’ont fait dans le dernier quart d’heure, le temps de vérifier les listes, de tout installer et de sceller les urnes.Un peu de monde tout de même pour cette ouverture, la plupart des électeurs intéressés étaient là bien avant 8 heures dans l’espoir d’aller vite aux urnes faire leur devoir de citoyen et ensuite de vaquer à leurs occupations, d’aller travailler.Quatre listes s’offrent aux électeurs de Bouaké qui résument un peu le panorama de cette élection. Il y a le RHDP, le parti au pouvoir, Bouaké est un fief du parti d’Alassane Ouattara ; la liste est menée par le ministre des Transports Amadou Koné qui espère faire un score triomphal.Face à lui, trois adversaires, PDCI-EDS d’un côté, les deux grandes formations de l’opposition qui font cause commune aujourd’hui, d’autres partis d’opposants autour du FPI et un candidat indépendant.De forts enjeuxDans la circonscription de Gagnoa sous-préfecture et celle de Gagnoa commune, signale notre envoyé spécial Francois Hume Ferkatadji, PDCI et EDS font cavalier seul. Dans le centre scolaire Henriette Dagri Diabaté qui comporte 5 bureaux de vote, les électeurs étaient peu nombreux, dans la matinée. Le vote s'est déroulé dans le calme.Cela a été beaucoup plus tendu, par contre, à quelques pas de là, à la bourse du travail, où une bagarre a éclaté entre les superviseurs des différentes listes, celle des candidats RHDP et celle de candidats indépendants concurrents, chacun s’accusant de vouloir frauder en modifiant le contenu de la liste électorale. Vers 11 heures, l’intervention des forces de sécurité - près d’une centaine de policiers et de gendarmes - a été nécessaire pour ramener l’ordre. Le vote a repris un peu plus d’une heure après.Dans cette circonscription n°69, un siège est à pourvoir et l’on compte pas moins de 17 candidatures, 13 indépendants, la plupart des pro-Gbagbo et 4 candidats issus des grands partis.Ici, l’enjeu est de taille. Le PDCI et EDS, la plateforme des pro-Gbagbo, n’ont pas réussi à trouver un accord, alors que dans la plupart des autres circonscriptions, ils se sont alliés.Ce sont même deux mastodontes politiques qui s’affrontent faisant dire à certains commentateurs qu’il s’agit d’un « match par procuration » entre les deux anciens présidents, Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo. Un observateur nous a dit, hier, en plaisantant: « Ici, un cadavre va mourir », autrement dit une personnalité importante va chuter. En lice, Maurice Kakou Guikahue, numéro 2 et secrétaire exécutif du PDCI, pressenti pour prendre la succession de Henri Konan Bédié à la tête du parti et de l’autre côté, Marie-Odette Lorougnon, vice-présidente du FPI, deux enfants du pays.Le résultat est donc très attendu ici car ce serait un coup dur pour l’un ou l’autre des candidats. En cas de défaite d’EDS, on pourrait y voir la perte d’influence du FPI Gbagbo dans l’un de ses fiefs emblématiques après une décennie de boycott des urnes. Et en cas de défaite du PDCI, le parti historique devra justifier la chute de l’un de ses plus hauts cadres, par ailleurs pressenti pour prendre la succession de Henri Konan Bédié à la tête du parti.Aujourd’hui 254 postes des 255 postes de députés sont en jeu. Le vote a été reporté dans la circonscription 97 - celle de Tortiya - en raison du décès d’une candidate.Calme à YopougonCa vote dans le calme à Yopougon, commune populaire d’Abidjan, depuis ce matin, raconte notre envoyée spéciale sur place, Paulina Zidi. Les bureaux ont, dans l’ensemble, ouvert à l’heure ; le matériel électoral était présent. Il y a quelques retards notamment dû aux mandats manquants des représentants des candidats. A noter aussi, dans pas mal de bureaux de vote visités ce matin, des difficultés avec les tablettes numériques qui sont censées faire l’enregistrement biométriques des électeurs. Elles ne marchent pas bien - voire pas du tout - et finalement le décompte se fait souvent à la main sur les feuille d’émargement. Les électeurs arrivent vraiment au compte-goutte. Parmi eux, il y avait Christian qui tenait vraiment à venir voter parce que Yopougon, c’est un vrai enjeu... contrairement à la plupart des circonscriptions, ici, c’est une liste qui sera élue, et qui enverra directement six députés à l’Assemblée nationale. Tous les grandes formations, notamment celle de Laurent Gbagbo dont cela reste un fief, vous le disiez, sont présentes. Et cet enjeu, malgré le calme ambiant apparent, il crée un peu de tension. Au groupe scolaire Gandhi, ce matin, il y a eu une altercation entre des représentants de candidats, des responsables de bureau de vote parce que deux personnes ont voté dans un bureau par erreur. Très vite la discussion s’est envenimée, et il a fallu l’intervention d’un superviseur de la Commission électorale pour ramener le calme. Un incident isolé, il faut le souligner, car dans l’ensemble, c’est calme et il n’y pas de véritable engouement du côté des populations de Yopougon.Les bureaux de vote sont ouverts jusqu'à 18h00, heure locale.
L’acteur a épousé sa compagne Riko Shibata lors d’une cérémonie à Las Vegas.
De plus en plus critiquée sur les réseaux sociaux, Maeva Ghennam a pris la parole afin de faire une petite mise au point. Elle a ainsi accusé Kevin Guedj de lui avoir montré de fausses preuves afin de tenter de la convaincre de l'innocence de Carla Moreau.
Depuis un mois, le nombre de patients de plus de 75 ans hospitalisés est en baisse. Daniel Levy-Bruhl, responsable de l'unité infections respiratoires de l'agence Santé publique France, y voit "le bénéfice de la vaccination". Une personne de plus de 75 ans sur quatre a en effet déjà reçu au moins une dose de vaccin.
EN TOUTE DISCRETION - Détective privé est un métier en pleine expansion en France. A mille kilomètres de l’image véhiculée par les polars et le cinéma américain, les directeurs d’enquête investiguent dans un cadre très réglementé pour des missions allant de l’adultère à la fraude en entreprise
Depuis trois jours, des scènes d’émeutes et de pillage ont lieu dans les rues de Dakar au Sénégal. Ce sont des violences rares dans un pays réputé comme le plus stable d’Afrique. Quatre manifestants sont morts. Le cri de ralliement des émeutiers : "libérez Sonko". Ousmane Sonko est un ancien candidat à la présidentielle. Il a été arrêté il y a trois jours pour “troubles à l’ordre public”. Une arrestation qui a mis le feu aux poudres Le mercredi 3 mars, Ousmane Sonko se rendait au tribunal. Il avait été convoqué pour des accusations de viol. Accompagné par une foule de partisans, il été placé en garde à vue. Son arrestation a mis le feu aux poudres. Mais entre la crise sanitaire et économique, les problèmes sont plus profonds. La France étant considérée comme un soutien du président sénégalais, les émeutiers s’en sont pris à des symboles français.
Après la condamnation de Nicolas Sarkozy, François Hollande réclame au gouvernement de défendre l'institution judiciaire.
Le 5 mars, Maeva Ghennam a une nouvelle fois réagi à l'affaire de sorcellerie supposément commanditée par Carla Moreau. La star des Marseillais à Dubaï évoque notamment la présence de sa meilleure amie dans les futurs épisodes du programme de télé-réalité.
Selon l'un des deux enseignants, les accusations d'islamophobie à son encontre ont démarré en décembre dernier, après un cours durant lequel il se disait opposé de comparer l'islamophobie au racisme et à l'antisémitisme.
Deux professeurs de Sciences Po Grenoble sont accusés d'islamophobie. Leurs noms ont été placardés devant l'établissement ce 4 mars. L'un d’eux, critiqué pour avoir questionné la notion même d'islamophobie, dénonce auprès de Marianne un climat tendu où la liberté d'expression est menacée et où les débats autour de la religion musulmane sont devenus tabous.
Vendredi 5 mars sur Instagram, Kylie Jenner a de nouveau mis son impressionnante plastique à l’honneur, pour le plus grand bonheur de sa communauté.