“Diablo IV” est pavé de bonnes intentions

Une nouvelle fois, les joueurs vont pouvoir s’amuser à écraser les légions infernales qui s’abattent sur eux. Diablo IV, qui sort ce 6 juin sur PC et consoles, “réunit de prime abord tous les ingrédients traditionnels de la série”, estime Polygon. Au cœur du récit, “un voyageur solitaire se retrouve plongé au cœur d’une guerre éternelle, et devient le dernier rempart contre le mal absolu”. Dans un cadre de fantasy médiévale, le monde de Sanctuaire est un royaume mortel pris dans l’Éternel Conflit, un feu croisé entre les armées des Cieux et les hordes des Enfers, rappelle NME. “Dans l’introduction plutôt gore du jeu, Lilith, la mère des Nephalems [hybrides d’ange et de démon] de Sanctuaire, est réveillée par des rituels, et déchaîne sa puissance sur le royaume.” L’intrigue consiste donc à faire le ménage dans tout ce chaos, “en essayant de voir clair dans son jeu avant de révéler son plan au grand jour”.

Pour ce faire, comme on peut s’y attendre dans le genre vidéoludique du jeu de rôle et d’action, la violence est la solution. “Durant les six actes de la campagne, préparez-vous à frapper, démembrer et décapiter des milliers d’ennemis, du simple cannibale affamé au vampire rapide comme l’éclair”, détaille le magazine britannique.

Une esthétique délicieusement macabre

Du point de vue de l’histoire comme des mécanismes de jeu, le critique du NME est des plus enthousiaste. La grande antagoniste Lilith est pour lui un personnage réussi, “l’une des méchantes les plus abouties de l’histoire de Diablo, une matrone polymorphe dont le sens du devoir et le charisme impérieux sont les deux faces d’une même pièce”. Et pour ce qui est du jeu, offrir une grande liberté d’expérimentation au sein de chaque classe permet de satisfaire tous les goûts et de forger son propre style. Alors qu’il joue la classe de nécromancien, le critique découvre les possibilités offertes par le contrôle des cadavres de ses ennemis ;

“Si ‘Diablo 4’ ne laissait pas autant de liberté au joueur dans la personnalisation de ses profils, je ne me serais pas découvert une vocation pour le management de zombies.”

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