Diabète de type 2 : une étude souligne le rôle du cerveau dans la maladie
Une équipe de chercheurs de l'Inserm, de l'Université de Lille et du CHU de Lille au sein du laboratoire Lille Neuroscience et Cognition, a étudié le rôle du système nerveux central dans le développement du diabète . Ils se sont rendu compte qu'une hormone (qui gère l'appétit) appelée leptine pouvait être directement à l'origine du diabète de type 2, comme le suggère leur étude.
Moins d'hormone de satiété, plus de risques de diabète
C'est l'hromone coupe-faim qui a été au coeur de cette recherche, celle qui permet au cerveau de dire au corps : j'ai eu assez à manger, lançon le processus d'assimilation du sucre. Cette dernière s'appelle la leptine : elle est "sécrétée par le tissu adipeux, proportionnellement aux réserves de graisses dans l'organisme, transportée vers le cerveau par des cellules appelées tanycytes, dans lesquelles elle entre en s'arrimant à des récepteurs appelés LepR" explique l'étude.
Des chercheurs ont étudié des souris chez qui ils avaient retiré ces récepteurs LepR (essentiels pour informer le cerveau que le corps a assez mangé, donc) et se sont aperçus qu'en 3 mois les souris avaient doublé en masse grasse et perdu la moitié de leur masse musculaire. Chez ces animaux, pour maintenir une glycémie normale, le corps a d'abord sécrété beaucoup d'insuline pendant 4 semaines. Puis, il est arrivé à cours de stock et n'a plus pu en diffuser assez. Résultat : les souris ont développé un état "pré-diabétique" écrivent (...)
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