Les destinations les plus lucratives pour les spécialistes du cloud

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L’entreprise Revolent, spécialisée dans la formation et le recrutement de professionnels expérimentés de la technologie du cloud, a effectué une enquête pour déterminer lesquels parmi les 14 pays offraient les rémunérations les plus élevées dans le domaine.

Elle a ainsi établi une liste de ceux offrant les meilleurs salaires annuels médians dans tous les rôles :

Suisse : 134 140 € États-Unis : 115 470 € Australie : 103 050 € Canada : 90 020 € Royaume-Uni : 77 550 € Irlande : 76 010 € Singapour : 71 790 € Allemagne : 69 820 € Japon : 66 290 € France : 47 940 € Pays-Bas : 46 340 € Belgique : 46 340 € Espagne : 42 340 € Italie : 32 250 €

“Les États-Unis et l’Australie se sont tous deux classés parmi les trois premiers”, signale Business Today. L’enquête démontre également, selon le site, que “le Canada, le Royaume-Uni, l’Irlande, Singapour, l’Allemagne et le Japon” figurent parmi les nations les plus généreuses pour cette catégorie d’employés, alors que la France domine le dernier tiers du peloton, composé de pays d’Europe de l’Ouest qui offrent des salaires moindres à ces spécialistes du cloud.

Dans son étude, indique Business Leader, Revolent a également pu identifier les dix postes technologiques du secteur du cloud les mieux payés dans le monde, “avec des questions centrées sur l’expérience, les connaissances, l’expertise technologique, les tendances du marché, les ventes et l’expertise technique”. En voici la liste :

Conseiller technique : 161 098 € Architecte de solutions Salesforce/nCino : 158 090 € Gestionnaire de programme : 143 370 € Consultant avant-vente : 139 090 € Développeur ou ingénieur MuleSoft : 137 040 € Analyste d’affaires : 127 520 € Gestionnaire de compte - cadre : 126 960 € Formateur : 125 450 € Consultant en automatisation du marketing : 105 580 € Directeur des ventes : 102 810 €

Mis à part les testeurs, relève Business Leader, “la plupart des emplois bien rémunérés aux États-Unis ressemblent à ceux offerts en Suisse et en Australie”, et cette logique se répercute dans les autres pays analysés. La présidente de Revolent, Nabila Salem, estime qu’avec le rapport de sa firme les professionnels du cloud technologique “peuvent voir ce que d’autres avec un niveau d’expérience et de compétences similaires gagnent actuellement, leur permettant de mieux comprendre leur valeur marchande”.

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