Denis Olivennes et Inès de la Fressange attaqués en justice par leur domestique

Denis Olivennes et Inès de La Fressange en 2014, à Paris.

Selon le «Canard enchaîné», le couple a été poursuivi pour travail dissimulé et licenciement abusif par une ex-employée, logée depuis deux ans dans un mobile home attenant à leur villa provençale construite illégalement.

Le paradis provencal de Denis Olivennes et sa compagne Inès de la Fressange, au Pas de Bouquet, à Tarascon (Bouches-du-Rhône), n'abrite pas qu'une maison d'une centaine de mètres carrés établie sans permis de construire et destinée (normalement) à être détruite. Elle y cache aussi, au milieu des pins, un petit baraquement en bois, lui aussi érigé illégalement. Selon le Canard enchaîné, le couple glam-chic y logeait depuis 2013 sa «gouvernante» : Chantal Moreau, 55 ans, femme à tout faire des lieux, comprendre les basses besognes, veiller sur les 9 hectares du domaine, entretenir la piscine, faire les courses au supermarché, jouer les taxis pour les rejetons etc. Pour son labeur, Chantal Moreau était rémunérée 1 560 euros bruts par mois, un montant un peu plus élevé que le SMIC (de 94 euros), moins les 350 euros que la domestique devait débourser en retour pour la location de la maisonnette, qu'elle partageait avec son fils, et qui n'avait rien de luxueuse, en tout cas en comparaison à la villa principale. Il s'agit d'un vulgaire mobile home coiffé d'un toit en tôle, si l'on en croit une photo de la bicoque publiée mercredi dans le Canard Enchaîné.

L'hebdomadaire satirique révèle que les relations entre les deux tourtereaux et leur «servante» ont pris une tournure judiciaire, début décembre, quand la bonne a trainé ses ex-employeurs devant les prud'hommes, notamment pour travail dissimulé et licenciement abusif. Elle avait été limogée en septembre après son refus de prendre le statut d'autoentrepreneur, selon le Palmipède. Denis Olivennes et Inès de la Fressange ayant en outre arrêté de lui régler tout salaire depuis cette date, ils ont été condamnés à verser à Chantal Moreau 4 680 euros d'arriérés (...)

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