Délestée de 18 kilos, Rebel Wilson dit qu'elle était "payée pour rester en surpoids"

Elle n'est pas dans une quête de la silhouette parfaite, juste déterminée à conserver une santé physique et mentale. Rebel Wilson a fait quelques confidences à propos de sa perte de poids, révélant avoir été encouragée par Hollywood à garder ses rondeurs afin de coller à certains types de rôles.

Rebel Wilson est actuellement en «mission santé» et semble déterminée à atteindre son objectif de peser 75 kilos à la fin de l'année, un défi qui porte visiblement ses fruits. Kate Save, la diététicienne de l’actrice, révélait à la version australienne du «Daily Mail» penser que sa cliente avait perdu environ 18 kilos. Une victoire dont se réjouit la comédienne australienne et dont elle partage les résultats flagrants sur Instagram en postant des clichés de sa nouvelle silhouette. Le 18 juin 2020, elle s'est livrée à «The Sun» à propos de ses objectifs concernant son poids et sa santé. «J’ai eu 40 ans en mars alors j’ai pensé que ce serait l’année où je me concentrerais sur les bienfaits pour la santé», a-t-elle expliqué.

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Miss you when is the world reopening again?

Une publication partagée par Rebel Wilson (@rebelwilson) le 17 Juin 2020 à 2 :53 PDT

Un défi relevé haut la main

Pour elle, la perte de poids n’est pas une question de chiffre mais de gestion psychologique. «Il s’agit de gérer mentalement la raison pour laquelle je mangeais trop et j’avais un travail où j’étais payée pour rester en surpoids, ce qui peut parfois perturber», a-t-elle tristement déclaré. Rebel Wilson avait été révélée au grand public en 2012 dans son personnage d’«Amy la grosse» dans la série de films «Pitch Perfect», un rôle qui lui avait collé l’étiquette d’actrice drôle et en surpoids et dont elle a eu du mal à se détacher.

«Maintenant, j’essaye de travailler sur l’aspect mental, physique, nutritionnel et de faire beaucoup d’entraînement personnel, c’est cool, je devrais sûrement écrire un livre un jour parce que les gens semblent être intéressés», a-t-elle reconnu. «Il n’y a pas(...)


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