Cyril Féraud se confie comme rarement sur la naissance de son fils : "Il fallait que je rencontre la bonne personne" (EXCLU)

Vous rayonnez... Ce mois de septembre se passe bien ?

Je suis sur un nuage ! J’ai abordé cette rentrée avec une zénitude que je n’avais jamais connue. Depuis le mois de juillet et l’arrivée de mon fils, Tim, je suis comme en lévitation.Tous mes proches me le disent : être devenu papa m’a transformé. Quand j’ai entendu ses premiers cris, j’ai senti que je lâchais prise. Ce fut un tsunami d’émotions ! Je suis beaucoup plus détendu au quotidien, par rapport à la charge de travail.

La paternité a changé Cyril Féraud

Aussi sur l’organisation, vous qui êtes très à cheval sur le sujet ?

C’est vrai que j’ai toujours été très organisé. J’ai un planning militaire. Mais, évidemment, je savais qu’avec mon bout de chou, il allait falloir tout revoir. J’avais tout prévu pour son arrivée, alors même que personne n’était au courant de cette future paternité à France Télévisions. Je voulais passer l’été au maximum avec lui. Et puis, le miracle de la vie a fait qu’il est arrivé début juillet et que, grâce aux Jeux olympiques et paralympiques, c’est la première fois, en quinze ans de télé, que j’ai eu deux vrais mois de vacances. J’ai donc passé mon été à lui donner le biberon, à jouer et à apprendre à le connaître. Les premiers sourires arrivent, il réagit beaucoup à ma voix. Je vois même ses yeux s’écarquiller quand il l’entend dans une bande-annonce de France 2 ! Je lui parle énormément, je lui raconte son histoire, que papa fait un métier particulier... Ce bonheur est au-delà de ce que j’avais imaginé. Tim a chamboulé ma vie.

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Comment allez-vous gérer votre emploi du temps de ministre sur France Télévisions ?

J’ai tout prévu, même les amplitudes horaires, pour passer le plus de temps avec Tim. J’ai toujours la même passion pour mon métier. C’était mon rêve d’enfant, et cela ne me quittera jamais. Mais, aujourd’hui, c’est Tim qui guide mon planning, pas l’inverse. Face à toutes les contraintes que je m’imposais professionnellement, j’ai très vite compris que là, j’allais pouvoir lâcher du...

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