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Covid-19: Emmanuel Macron attendu lundi en Seine-Saint-Denis pour évoquer l'insertion des jeunes

Emmanuel Macron le 4 février 2021 à l'Elysée - Ludovic MARIN © 2019 AFP
Emmanuel Macron le 4 février 2021 à l'Elysée - Ludovic MARIN © 2019 AFP

Emmanuel Macron se rend lundi à Stains (Seine-Saint-Denis) pour promouvoir la plateforme "1jeune1solution" et l'engagement des entreprises en faveur des jeunes, particulièrement touchés par les conséquences sociales de l'épidémie de Covid-19, a annoncé vendredi l'Elysée.

Ce déplacement prend place dans le cadre de "l'agenda Egalité des chances" que décline le chef de l'Etat afin de tenter de réduire les inégalités et d'enrichir le bilan social de son quinquennat.

Échanges avec des jeunes, des formateurs et chefs d'entreprise

Emmanuel Macron va inaugurer L'Industreet, un nouveau campus de 11.000 m2, financé par la Fondation Total, dont l'objectif est de former des jeunes de 18 à 25 ans avec ou sans qualification à des métiers industriels.

Il échangera avec des jeunes, des formateurs et des chefs d'entreprise participant à l'initiative "Les entreprises s'engagent", créée en 2018 et qui rassemble aujourd'hui 7.000 sociétés.

Accompagné d'Elisabeth Borne, ministre du Travail, et de Sarah El Hairy, secrétaire d'État à la Jeunesse, il fera aussi un état des lieux du plan "1 jeune, 1 solution", lancé en juillet 2020 dans le cadre du plan de relance pour proposer à chaque jeune une solution adaptée à sa situation, selon l'Elysée. Il propose environ 100.000 offres d'emploi et mettra en ligne, à partir de lundi, des propositions de stages, selon l'Elysée.

Le troisième déplacement de l'année consacré aux jeunes

Cette plateforme ouvrira aussi en avril un "simulateur" qui permettra à chaque jeune de savoir à quels dispositifs d'aides il peut avoir accès.

Ce déplacement sera le troisième consacré aux jeunes par Emmanuel Macron depuis le début de l'année, après celui à l'université de Saclay, où il avait notamment annoncé que tous les étudiants auraient accès à deux repas par jour à un euro, et celui à Nantes, où il avait entrouvert la voie d'accès à des prestigieuses écoles de l'administration, comme l'ENA, à des jeunes d'origine modeste.

Article original publié sur BFMTV.com