Coronavirus : tests de grossesse et protections périodiques ne seraient pas des produits de première nécessité ? On croit rêver !

Depuis le début du confinement, il est possible de sortir pour effectuer quelques achats de première nécessité. Mais il semblerait que pour certains membres des forces de l’ordre, un test de grossesse ou des protections périodiques n’en fassent pas partie.

Insensé. Le 17 mars dernier, le gouvernement a pris la décision d’instaurer des mesures de confinement afin d’enrayer la pandémie de coronavirus qui se répand à travers le globe. Car, rappelons-le, rester chez soi permet de sauver la santé d’autrui. Depuis, les allées et venues des Français sont limitées et contrôlées par le biais d’attestations de déplacement dérogatoire, afin d’éviter les abus. Seuls quelques motifs sont acceptés, comme se rendre chez son médecin, faire un peu d’exercice physique ou bien encore effectuer des achats de première nécessité. Voilà qui relance le débat sur ce qui peut être considéré comme tel ou non. Car, récemment, des jeunes femmes se sont vu menacer d’une amende ou encore rabrouer par les forces de l’ordre, parce qu’elles étaient sorties acheter des produits féminins, à l’instar d’un test de grossesse dans une pharmacie ou encore de protections périodiques dans un supermarché.

Des témoignages aberrants

« Je suis tout à fait ok pour limiter au maximum nos circulations à l’extérieur et de nous contrôler pour qu’on les limite. Mais par contre que la police estime que chercher un test de grossesse à la pharmacie n’est pas un motif de santé nécessaire, ça me pose question là », écrit Anlya, une jeune influenceuse, sur son compte Twitter. Des propos qui n’ont pas tardé à provoquer un élan d’indignation sur le réseau social. Et malheureusement, il semblerait qu’elle...

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